• Pillage, voitures en feu, heurts et gaz lacrymogène à Paris après le match PSG-Bayern

    Heurts à Paris après la défaite du PSG le 23 août.
     
    Magasin pillés, voitures brûlées, vitrines cassées : la nuit a été marquée par de nombreux incidents dans la capitale, après la défaite du Paris Saint-Germain.

    Des heurts ont par ailleurs éclaté avec les forces de l'ordre.
                                       
    Des incidents ont éclaté dans la nuit du 23 au 24 août à Paris, après la finale de Ligue des champions, remportée par le Bayern Munich face au PSG.
    Le match de football avait lieu à Lisbonne.

    Voitures détruites, magasin pillé

    Une voiture a notamment été prise pour cible par des dizaines d'individus, à proximité des Champs-Elysées.

    Des images de véhicules en flamme ont également circulé dans la capitale.

     Une bijouterie a par la suite été pillée, de même que plusieurs magasins vandalisés, comme l'ont rapporté des journalistes présents sur place.

    Un café a été saccagé.
    Un peu plus tôt dans la soirée, après la fin de la rencontre, du gaz lacrymogène avait été employé par les forces de l'ordre, réagissant à des heurts dans le secteur des Champs-Elysées.

    Des heurts pendant la rencontre
    Les forces de l'ordre avaient déjà fait usage de gaz lacrymogène aux alentours du stade parisien du Parc des princes avant même le début de la rencontre de football.

    Les tensions se sont poursuivies au cours du match.
    Selon les journalistes de RT France sur place, les forces de l'ordre avaient mis en place «plusieurs barrages», destinés à empêcher les supporteurs d'approcher en «masse aux abords du stade».
    Elles ont alors été prises pour cibles.
    Des feux d'artifice ainsi que d'autres projectiles ont été lancés envers les forces de l'ordre. Un véhicule de police a notamment été pris pour cible, engendrant une charge de CRS.
    La préfecture de Police a déclaré sur Twitter qu'elle avait procédé à la dispersion d'une «centaine de personnes» regroupées à la porte de Saint Cloud.
    Verbalisations, notamment pour non-port du masque

    La préfecture de Police a fait savoir en début de soirée sur Twitter, après les premiers incidents, que trois personnes avaient été interpellées et que plus de 270 personnes avaient été verbalisées pour non port du masque sur les secteurs «de port obligatoire».

    Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a salué pour sa part, également avant la fin de la rencontre, l'intervention rapide des forces de l'ordre pour «contenir les débordements inadmissibles de certains». 

    RT France

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  • Comme on s'embarque dans des pays anti-occidentaux pour faire de l'humanitaire sans connaître la terreur de ses kamikazes ,et bien on n'y va pas sans être lourdement escorter ,sinon l'on reste chez soi et on apporte du bien-être à son propre pays ...

    Six Français tués par des hommes armés au Niger | Arabnews fr

    Victimes "abattues par balle" 
    "La plupart des victimes ont été abattues par balle et une femme qui a réussi à s'enfuir a été rattrapée et égorgée. Sur place, on a trouvé un chargeur vidé de ses cartouches", a relevé cette source. "On ne connaît pas l'identité des assaillants mais ils sont venus à moto à travers la brousse et ont attendu l'arrivée des touristes. Le véhicule emprunté par les touristes appartient à l'ONG Acted".

    La région de Tillabéri est une vaste zone instable. Elle est située dans la zone de "trois frontières" entre Niger, Burkina Faso et Mali, devenue un repaire des jihadistes sahéliens, dont l'Etat islamique au Grand Sahara (EIGS).
    La circulation des motos est interdite de jour et de nuit depuis janvier pour tenter d'empêcher les déplacements de jihadistes.
    Le 8 janvier 2011, deux jeunes Français, Antoine De Léocour et Vincent Delory, enlevés la veille en plein centre de la capitale nigérienne Niamey, ont été tués en territoire malien au cours d'une intervention militaire franco-nigérienne destinée à les secourir.
    Selon les expertises des corps révélées en février 2012, Vincent Delory est mort brûlé dans l'incendie du véhicule qui le transportait, tandis qu'Antoine de Léocour a été exécuté par ses ravisseurs.


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