• Cliquez sur image pour agrandir .. 


    votre commentaire
  • Film sur le procès a Nuremberg des nazis sur la shoah de la guerre 39/45 Crime contre l'humanité .

    Nuremberg, 20 novembre 1945. Dans une ville encore en ruine, six mois à peine après la capitulation allemande, s’ouvre le procès des criminels nazis. États-Unis, France, Grande-Bretagne et Union soviétique sont réunis pour rendre une justice exemplaire aux motifs de crimes contre la paix et, pour la première fois dans l’histoire, de "crimes contre l’humanité".

    Sur le banc des accusés, 21 des plus hauts dignitaires nazis, parmi lesquels Hermann Göring, Rudolph Hess, Joachim von Ribbentrop et Wilhelm Keitel. Tous plaident non coupable. Pourtant, les "atrocités" commises sont immenses. Pour preuve, les films tournés à la libération des camps et qui, fait inédit, seront projetées au tribunal. Présentation des preuves à charge, confrontations, témoignages des bourreaux et des victimes se succèdent.

    Après dix mois d’audiences, le verdict est rendu : 12 condamnation à mort dont une par contumace, 7 peines d’emprisonnement et 3 acquittements. Ainsi s’achève le procès qui a ouvert la voie à la création d’une justice internationale.

    Le documentaire de Christian Delage évoque autant le procès lui-même que ses enjeux, la manière dont il est perçu par l'opinion ou encore la recherche des archives filmées de la guerre. Des témoignages d'acteurs de l'époque viennent enrichir le montage d'archives restaurées qui offre un point de vue inédit sur ce procès fondateur pour le droit international.

    Nuremberg en chiffres

    3000 tonnes de documents

    400 journalistes du monde entier sont présents à l'ouverture du procès

    94 témoins sont entendus au cours du procès (61 à décharge et 33 à charge)

    42 volumes contiennent l'intégralité des actes du procès

    24 accusés sont initialement sélectionnés. Trois ne comparaîtront pas: l'industriel allemand Gustav Krupp très âgé est écarté en raison de son état de santé; Martin Bormann, disparu au moment de la bataille de Berlin, et Robert Ley, responsable du Front allemand du travail, qui s'est suicidé en prison le 25 octobre 1945.

    8 juges composent le Tribunal

    4 langues officielles pour les débats (l'anglais, le français, le russe et l'allemand)


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Samuel Paty persona non grata à l’IEP Strasbourg

    La direction de Sciences Po Strasbourg a censuré ses élèves sur le choix d’un nom de baptême de leur promotion en modifiant les règles de désignation. Avant d’entamer le processus, elle avait recommandé de choisir une femme plutôt qu’un homme, afin d’alterner les sexes, mais sans que ce soit une obligation. Après quelques tergiversations ayant retardé la publication des résultats du premier tour, le nom de Samuel Paty était parvenu en tête du scrutin. Elle a alors décidé que seules des femmes pourraient être qualifiées pour le second tour. Ce n’est pas du goût de l’UNI, qui dénonce l’islamo-gauchisme latent mis en évidence par ce tour de passe-passe : ils ont sauvagement rebaptisé un amphithéâtre au nom de l’enseignant décapité. Est-il besoin de dire que le directeur de l’IEP alsacien, Jean-Philippe Heurtin, a signé la tribune – pétition « Vidal : Démission ! » publiée par Le Monde du 19 février ?

    Les enfants trop gâtés ou capricieux qui modifient les règles du jeu parce qu’ils perçoivent qu’ils sont en train de perdre, ça existe et c’est horripilant. Mais il n’y a pas de règle de désignation absolue ou universelle pour le choix d’un nom de baptême de promotion. Afin d’être exemplaire, il convient de choisir une personne inspirante et assez consensuelle parmi les élèves, tout en échappant au fade plus grand commun dénominateur. Et il vaudrait mieux a priori respecter le choix des élèves : c’est leur promotion.

    Bien sûr, chacun peut s’interroger sur l’opportunité de faire d’une victime une sorte de modèle. Oui, Samuel Paty a fait son travail en illustrant son cours d’instruction civique sur la liberté d’expression en montrant des caricatures de Mahomet. Il l’a fait avec tact en invitant ceux qui pensaient pouvoir être gênés à détourner leurs regards. Les mensonges d’une élève musulmane absente qui a déformé la restitution de cette leçon et la réaction vindicative de son père ne pouvaient qu’être confortés par les tenants d’un islam politique prompt à la surenchère victimaire et les lâchetés de l’Éducation nationale. Après le temps des menaces est venu celui de l’escalade, jusqu’à la décapitation par un islamiste en lien avec ce père.

    Nos institutions judiciaires font en général peu de cas des victimes, préférant favoriser la chimérique réinsertion des gentils délinquants. Mais avec l’ubuesque médaille pour les victimes du terrorisme instituée par François Hollande, se faire égorger par un djihadiste est devenu un acte que la République peut honorer. C’est paradoxal, mais c’est inepte d’inventer un mérite exceptionnel à ceux qui subissent des violences atroces que l’État n’a pas su empêcher. Le mérite passif, ça choque, nonobstant le respect dû aux morts.

    Pour la promotion 1953-1955, la Straß de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr avait préféré « Ceux de Ðiện Biên Phủ » à un simple « Ðiện Biên Phủ ». Il est plus pertinent d’honorer des hommes dont le courage et l’abnégation forcent l’admiration qu’une amère défaite. Mais faut-il servilement se conformer au détestable politiquement correct ? Qu’il soit permis de déplorer l’imbroglio avec le général Loustaunau-Lacau, jugé in fine indigne de donner son nom à la promotion 2016-2019 de l’ESM : il eût été pertinent de s’assurer au préalable de la parfaite adéquation de sa biographie avec les canons de notre époque arrogante et bien prompte à déboulonner les statues au gré de normes nouvelles.

    Mais s’il faut faire le ménage, qu’il soit porté à la connaissance des autorités militaires que la promotion 1970-1972 de l’ESM honore un général condamné pour “désertion” en 1940 et qui s’est rendu indirectement complice du massacre des harkis en bradant l’indépendance de l’Algérie à des voyous. Je sais, ce n’est pas beau de balancer …Je sais, ce n’est pas beau de balancer…

    Rémy Mahoudeaux

    Source : http://bvoltaire.fr


    votre commentaire
  • L'auteur

    Bonjour tout le monde, c’est Marcel ! Dites… Pinochet je croyais qu’il était mort ? J’ai vu que le gouvernement français ouvre les stades pour des assassinats de masse par vaccins interposés ! Pinochet aussi, il avait ses seringues de 9 millimètres, le résultat était un peu plus rapide que le vaccin aimablement fourni par Macron et ses complices ! D’ailleurs Pinochet lui c’était pas un mauvais bougre, pas de voyous dans les rues, il savait faire respecter l’ordre ! Chez nous c’est loin d’être le cas, mais je note que Macron fait des efforts méritoires pour être nommé dictateur de l’année ! Bon faut espérer qu’il finisse pas comme Pinochet, dans son lit ! Je le mettrai volontiers dans la fosse à purin avant de lui envoyer un doublé de seringues de 12 ! Comme le vaccin, en 2 injections !

    Moi ce que je comprends pas (mais j’ai pas fait sciences-pipeau moi, ça explique tout !) c’est que personne parmi les ploucs de la ville ne se bouge le cul pour refuser tout ce cirque ! Ou alors ils acceptent tous ? Sont heureux d’être enfermés et piqués ? Des fois je me demande ! J’ai vu que dans plusieurs pays les gens bougent, même en Hollande ou ils sont pourtant tous abrutis de shit et de coco ! Alors chez nous ? Ils sont shootés au macron, dit Germaine ! Elle a toujours raison Germaine, elle a presque eu son Brevet d’Etudes tout de même, c’est une lettrée !

    Mais j’avoue que je suis bien inquiet, on a eu une réunion avec le maire hier au troquet, beaucoup pensent que les parigots ou autres fadas du même type vont finir par arriver chez nous ! Le maire a dit texto “ils vont finir par se pointer chez nous, les fadas”! Le gros Georges a aussitot sorti “Eux ils se pointent, on n’a qu’a les tirer !” C’est le champion de la pétanque le gros (on l’appelle comme ça !), il nous a fait connaitre le pastaga, il est de Marseille ! C’est un immigré mais on l’aime bien, on n’est pas raciste chez nous ! Donc voila si les malades du vaccin se pointent, on va pas les laisser agoniser bien longtemps ! On est charitables nous ! Pas de souffrance inutile !

    Et le mot de la fin avec l’idiot du village ! Par charité je ne le nomme pas, faut pas stigmatiser hein ! Après la réplique du Gros, donc le voila qui dit “Mais allons, on n’a pas de stade chez nous, on risque rien !”. Consternation, silence gêné, on en a profité pour une tournée générale à sa santé… et a la santé de ceux des villes, victimes complisantes du Pinochet français ! Pinomacron, a décrété Germaine! Levons notre verre !

    Marcel Berrichon


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique