• Vol MH370 disparu: les Américains, «à la manœuvre depuis le début»?

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    Disparition du Boeing malaisien lors du vol MH370 (66) 

    Le 8 mars 2014, le vol MH370 disparaissait des écrans radars. Une journaliste du Monde consacre une enquête sur ce qui reste encore le «plus grand mystère de l’histoire de l’aviation civile». 

    Ghyslain Wattrelos, qui a perdu sa femme et deux de ses enfants dans la tragédie, accuse les États-Unis, notamment le FBI, de rétention d’informations.

    Sept ans après, va-t-on enfin connaître la vérité sur la disparition du vol MH370, qui devait relier Kuala Lumpur (Malaisie) à Pékin (Chine)? Avec 239 personnes à son bord, le Boeing 777 de la Malaysia Airlines a subitement disparu des radars la nuit du 8 mars 2014, sans laisser de trace. Parmi les victimes, quatre ressortissants français. Ghyslain Wattrelos, 56 ans, a perdu sa femme et deux de ses enfants dans le drame, souligne les incohérences de la version officielle. Et exige la vérité. «Je suis toujours dans le combat et dans la colère, car je veux toujours avoir une réponse», lance-t-il devant les caméras de Sputnik.

    «Pour moi, il est évident qu’on nous ment. Les gens à la manœuvre ici depuis le début sont les États-Unis, l’Australie et l’Angleterre», accuse Ghyslain Wattrelos.

     Et pour cause, le Français n’a jamais cru à la version officielle mise au point par les autorités malaisiennes, qui voudrait que l’avion ait effectué demi-tour au moment de la perte de contact, puis continué à voler pendant près de six heures avant de sombrer dans l’Océan indien, à court de carburant.

    «Les Américains sont parfaitement au courant de ce qu'il s’est passé», croit savoir Ghyslain Wattrelos. Ainsi relate-t-il qu’un membre haut placé des services secrets occidentaux lui aurait affirmé que les Américains auraient connaissance des circonstances de la disparition de l’avion.
    «Le FBI est sur place dès le lendemain» de la disparition de l’avion, rappelle-t-il. «Pourquoi mène-t-il l’enquête à Kuala Lumpur dès le 9 mars? Le FBI va chez le pilote, saisit et analyse son simulateur de vol. On a même des preuves qu’il supprime des données du simulateur. Le FBI n’a jamais versé un seul rapport à l’enquête officielle! Depuis six ans, les juges français demandent un rendez-vous avec le FBI». Sans succès. «Le FBI cache visiblement quelque chose.»

    Dans son livre La Disparition (Éd. Les Arènes), Florence de Changy, correspondante du Monde en Asie-Pacifique, émet l’hypothèse que l’avion aurait pu être abattu en raison d’une cargaison bien spécifique et non identifiée que transportait l’avion. De quoi agiter le spectre du complot, ou de la raison d’État? Une chose est sûre: l’avion contenait 2,5 tonnes d’une cargaison qui n’a pas été scannée, une chose impensable à bord d’un avion civil. Officiellement, il s’agit de talkies-walkies et de chargeurs de batterie. Il est également écrit dans le rapport officiel que ce cargo a été amené depuis Penang (Malaisie) en camion escorté par les autorités chinoises: du jamais vu.

    «Il y a un chargement extrêmement bizarre à bord de cet avion, qui est passé à travers toutes les procédures de l’aéroport de Kuala Lumpur. Il était probablement important que ce chargement n’arrive pas à destination», laisse entendre Ghyslain Wattrelos.

    «En ce qui me concerne, il est à peu près évident qu’il y a une négociation entre la Chine et les États-Unis sur cette histoire-là», poursuit le Français. «Il est très vraisemblable que ce soit une opération militaire, et il est très vraisemblable que ce soient les Américains à la manœuvre.»


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  • Covid-19 : Jupiter, l’impuissant

    Coronavirus, encore et toujours ! 

    Le 31 mars à 20 heures, le Président  a annoncé, avec le ton télévangélique qui le caractérise, un  national, mais nettement plus allégé qu’en mars 2020. 

    Car il n’est plus le maître des horloges face au « virus qui n’a pas de passeport », bien que satisfait d’être cantonné dans le rôle du Premier ministre de la parole, quand bien même creuse, l’essentiel étant qu’elle demeure un tant soit peu subsistante ! Juste de l’apparence, juste de quoi nourrir la Société du spectacle (Guy Debord). D’où, ainsi, l’utilité des chaînes d’intoxication en continu, ces dernières relayant à souhait les formules dont use le chef du moindre des États, de la ville dont le prince est un enfant.

    « Je ne regrette rien », chantonne celui qui, au début de son mandat, entendait être un Président « jupitérien ». Jupiter : dieu romain du ciel, de la terre et de ses locataires, jouant sur le registre de la communication maîtrisée, celle prônée, jadis, par Jacques Pilhan aux oreilles des feus Présidents Mitterrand et Chirac. Enfin, comment être discret et impérieux lorsqu’on n’est plus propriétaire de quoi que ce soit ? Dépendant des Chinois, hier, quand il s’agissait de commander des , puis dépendant des Américains et des Anglais, aujourd’hui, alors qu’il serait urgent d’avoir des doses massives de . Comme si la France était vouée à n’être plus qu’une ménagère insatisfaite.

    Clairement, Jupiter a chuté de son Olympe, lui qui n’aura jamais le sens du tragique. Comment, en effet, être un bouclier quand on néantise obsessionnellement les frontières, qui plus est sans policiers ni militaires ? Ou pas de paix sans business. Un « en même temps » moral qui ne vaut pas son pendant managérial : tout pour les vaccins et rien pour les soins ! Pire encore : le divin Emmanuel s’est laissé tordre le bras par les médecins de l’AP-HP, qui ont dégainé une tribune alarmiste, dans le Journal du dimanche, le 2, en écrivant qu’ils seraient obligés de faire le tri entre les malades, tels des pompiers qui arrêteraient d’éteindre des incendies. Puis, deux jours plus tard, le quotidien Libération a titré en une : « Il attend quoi ? » Certes devant ce tohu-bohu, là où tous les intéressés s’expriment sans surmoi : médecins contre technocrates, épidémiologistes contre politiques, enseignants contre gouvernants, « enfermistes » contre « rassuristes », etc.

    Définitivement, une démocratie libérale aux abois : liberté individuelle bridée, égalité des chances annihilée, mais fraternité en soirée, en toute illégalité, puisque seule la propriété privée reste le droit inaltérable.

    La situation est d’autant plus critique que la fracture observée, en septembre 2020, entre les « pro-masque » et les « anti-masque » a volé en éclats : dans tous les camps idéologiques, aucune religion n’est, à présent, faite en matière sanitaire. D’où la ligne de crête sur laquelle se trouve notre gouverneur, dans la mesure où son électorat ne devrait pas lui pardonner de telles erreurs. D’ailleurs, ce dernier n’a-t-il pas intégré cette terrible perte de pouvoir ? Une caste qui se sauve, ou qui biaise avec les règles, dans la  qui n’est plus .

    Plutôt un terrain en vrac : anglicisme et festivisme au menu de la « start-up nation », de la part de nos chers happy few, ceux qui sont si heureux d’être à l’heure du numérique, voire de ses gourous et de leurs potions magiques.


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  • Efficacité partielle des vaccins + variants = confinement perpétuel

    “Ah ? Mais je croyais qu’avec 39 doses de vaccin dans les fesses… je serais libéré ? On m’aurait menti ?” Cette nouvelle est savoureuse.

    Un retraité de 83 ans vacciné, qui réside en Ile-de-France, a déposé un recours devant le Conseil d’Etat pour demander la levée du confinement pour les personnes vaccinées.

    Le gouvernement s’y oppose dans un mémoire qu’Europe1 a pu consulter, en invoquant “l’efficacité partielle” du vaccin et une “efficacité devenue particulièrement contingente avec l’arrivée des nouveaux variants” (source Europe 1)

    Et quid de ceux qui ont des anticorps naturellement (après avoir été infecté par le Covid) ?

    Ce courageux citoyen a bien entendu perdu la partie… le Conseil d’Etat l’a débouté.

    Pas de surprise puisqu’il n’y a plus aucun contre-pouvoir dans ce pays.

    Voilà. Le plan covidémentiel est étalé, là, sous vos yeux émerveillés.

    Avec une telle logique… il n’y aura jamais de retour à la normale, au “monde d’avant”. Car même avec 1, 2 ou 3 doses de vaccins et autres produits géniques, voire davantage… eh bien… euh… cela ne changera rien.

    Il y aura toujours un p’tit mutant de dessous les fagots, prêt à vous sauter à la gorge… il y aura toujours un “risque” (non évalué, possible, hypothétique, futur, incertain).

    C’est le Reich Couillonaviral de 1 000 ans.

    C’est le con-finement répété, perpétuellement.

    Nous sommes baisé(e)s.

    Excuse my french.

     By Docteur


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