• Le merdeux dans toute sa splendeur

     


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  • Réfugiés ukrainiens renvoyés par leur famille d’accueil

     

    En raison du bruit, des problèmes linguistiques ou de propreté, nombreux sont ceux, en Suisse, qui veulent se séparer des Ukrainiens qu’ils ont accueillis.

    Après la solidarité vient la désillusion pour de nombreux bénévoles. Actuellement, 22.000 réfugiés ukrainiens se trouvent en Suisse et environ 1.000 de plus arrivent par jour. Une grande partie d'entre eux - plus de 5.000 personnes - sont hébergés dans des logements privés, chez des collègues, des amis ou des bénévoles qui ont mis leur maison ou leur appartement à disposition.

    Des hôtes ne veulent plus de réfugiés… et vice-versa

    Il semble désormais que la solidarité s’érode. «Chez nous, 1.800 des 30.000 hôtes potentiels se sont désistés», explique ainsi Christian Messikommer, de l'association Campax.

    Plusieurs cantons confirment que des Ukrainiens en quête de protection ont dû être relogés. Dans le canton de Lucerne, il s'agit jusqu'à présent de 60 personnes. D'autres cantons ne donnent pas de chiffres, mais si l'on extrapole à l'ensemble du pays, il devrait y avoir des centaines de personnes dans la même situation.

    Silvia Bolliger, directrice du service lucernois de l'asile et des réfugiés, voit des problèmes des deux côtés. «Les annonces de familles d'accueil et de particuliers qui ne souhaitent plus héberger de fugitifs se multiplient», explique-t-elle. A l’inverse, elle souligne aussi le fait que plusieurs réfugiés se sont manifestés parce qu’ils souhaitent quitter leur logement privé et être attribués à hébergement cantonal. 

    Difficultés de communication sous-estimées

    Les tensions et les malentendus seraient à l'ordre du jour: «Les immigrés ne sont pas seulement assis dans leur chambre et reconnaissants pour le reste de leur vie», explique Christian Messikommer. Au contraire: «Ils sont souvent tristes et stressés en permanence, car ils sont dans l'incertitude, et beaucoup ont une vie sociale aussi active que leurs hôtes.»

    Ce que la plupart des gens sous-estiment, c'est la communication et la compréhension mutuelle. «Même avec une tablette de traduction, on finit par être à bout», dit Christian Messikommer. «Quand tu dois expliquer à quelqu'un dans une langue étrangère comment tu veux retrouver tes toilettes après utilisation, ce n'est pas toujours facile.»

    «Les personnes qui ont quitté leur pays sont déçues si elles doivent s'installer sur le canapé»

    Comme dans une colocation, les habitudes des gens diffèrent dans l'interaction sociale, l'hygiène ou le comportement alimentaire, poursuit Christian Messikommer. «Il est donc tout à fait normal que des conflits surviennent.»

    L'historienne ukrainienne Olha Martynyuk, qui vit actuellement en Suisse, estime que le problème vient des fausses attentes, tant de la part des réfugiés que des hôtes. «Après avoir fui, les réfugiés ne s'attendent pas à avoir leur propre maison ou leur propre appartement. Mais fuir sa propre maison et devoir ensuite se loger dans une petite chambre ou sur un canapé, ce n'est pas agréable.»

    Questions d’intimité

    Les deux parties manquent aussi souvent d'intimité. «Il est très important d'avoir une pièce à soi pour pouvoir se retirer», poursuit Olha Martynyuk. Elle estime qu’il faut veiller à ce que les réfugiés correspondent au mieux au mode de vie de l'hôte. «Il vaut mieux placer une femme âgée qui a besoin de calme chez des personnes âgées ayant les mêmes intérêts que dans une maison pleine d'enfants», explique Olha Martynyuk.

     

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  • Quelle horreur ! Il neige en avril !

    Quelle horreur ! Il neige en avril !

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  • Macron et McKinsey

    Mes chers compatriotes, chers amis.

    Je veux vous parler de l’affaire McKinsey. Toute la France commence à en parler et elle a raison d’en parler. Cette affaire démontre de manière éclatante tout ce dont nous ne voulons plus et tout ce que symbolise Emmanuel Macron : le manque absolu de respect pour votre argent, le copinage et le cynisme dangereux qui règnent à l’Élysée depuis cinq ans.

    Vous méritez la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, sur cette affaire comme sur les innombrables zones d’ombre du quinquennat d’Emmanuel Macron. Vous méritez la vérité, et vous méritez de voter pour le candidat qui vous dit la vérité. Je suis ce candidat.

    Sur l’affaire McKinsey, je veux insister sur quatre points essentiels. Écoutez bien.

    D’abord, la crise du Covid n’a pas vraiment été gérée par Emmanuel Macron, mais par la société McKinsey, un cabinet de conseil américain. Et vous en avez terriblement souffert, chaque jour pendant deux ans. Qui sait aujourd’hui si une société américaine – et donc l’Etat américain - ne possède pas des informations sur nous, sur notre vie privée, sur notre Etat, qui auraient dû rester secrètes ? Premier scandale.

    Ensuite, l’argent du contribuable, votre argent, a été jeté par la fenêtre trois fois par Emmanuel Macron. Une fois pour payer des fonctionnaires qui n’ont donc pas été sollicités, car on a préféré confier leur travail à une société privée. Une deuxième fois pour rémunérer très grassement cette société américaine. Une troisième, parce que cette société rémunérée par vos impôts refuse de payer ses impôts en France. Deuxième scandale.

    De plus, une information dont nous disposions déjà il y a un an refait cruellement surface : en 2017, Emmanuel Macron a fait travailler McKinsey gratuitement pour sa campagne. Une personne morale a donc fait ce don à la campagne d’En Marche, ce qui est interdit. Pourtant aucune enquête n’a été ouverte. Le renvoi d’ascenseur a été immédiat avec l’explosion du chiffre d’affaires généré par les contrats publics offerts à McKinsey. La collusion entre la politique et l’argent est ici complète. Troisième scandale.

    Quatrième scandale ? Le silence assourdissant des médias (pas tous !). J’en parle depuis plusieurs jours, au point qu’un journal a publié un article tout à l’heure en demandant : « Pourquoi Eric Zemmour insiste-t-il autant sur l’affaire McKinsey ? ». Que les médias se posent cette question démontre parfaitement qui ils sont, et qui je suis. J’en parle parce que je ne suis pas un politicien, parce que je dis la vérité et que la Macronie est une usine à mensonges.

    Vous le savez, j’ai consacré ma vie entière à dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. J’ai passé ma vie à défendre la vérité contre le mensonge, comme journaliste, comme écrivain, et désormais comme candidat à l’élection présidentielle. Elle est ma passion, ma mission et mon engagement. Sur ce sujet comme sur tous les autres – la réalité de notre école, de notre économie, la vérité sur l’immigration ou sur la sécurité des Français - je ne laisserai pas Emmanuel Macron vous priver de la vérité.

    Pour elle, je veux devenir votre Président de la République. Pour elle, grâce à elle, avec elle, nous serons au second tour, et je la dirai à Emmanuel Macron, les yeux dans les yeux, devant le pays entier. Si vous le voulez, le débat du second tour sera le plus important de notre Histoire.

    Mes chers compatriotes, chers amis, en mettant notre bulletin dans l’urne, dans dix jours, vous direz la vérité, vous défendrez la vérité, vous offrirez la victoire à la vérité et donc à la France. Votez pour elle. Sauvez-la pour combattre l’insupportable mensonge des politiciens professionnels.

    Vous savez que vous pouvez compter sur moi. Je sais que je peux compter sur vous. Ne laissons pas la langue de bois, le politiquement correct et la censure vous voler l’élection. Nous sommes un grand pays, soyons le pays de la vérité. Vive la République et surtout, surtout, vive la France.

    Eric Zemmour


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  • Peut être une image de 15 personnes et personnes debout


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