• Brigitte Bourguignon, ministre de la Santé : « La liberté des 10 % de non-vaccinés s’arrête là où celle des 90 % commence »


    On vient de retrouver un audio (voir vidéo ci-dessous) de Brigitte Bourguignon, notre nouvelle ministre des Solidarités et de la Santé qui date de ce début d’année, le 5 janvier 2022 très exactement sur RCF (Radio chrétienne francophone). Et ce que l’on peut en dire, c’est que ça n’annonce pas une rentrée dans le calme, mais plutôt un retour au bouc émissaire non-vacciné, ainsi qu’à la vaccination généralisée.

    « Notre stratégie, elle est claire, elle est cohérente. C’est de faire en sorte de faire peser la contrainte, non pas sur les Français qui, eux, en grande responsabilité, se sont fait vacciner dès le départ. Ou de ceux qui les ont rejoints, bon gré mal gré. Mais sur ceux qui refusent ostensiblement de se faire vacciner pour des raisons quelquefois politiques. Il y a un mouvement contestataire derrière tout ça, qui est violent, qui est très violent… Alors je pense que la liberté de ces 10 % de non-vaccinés s’arrête là ou celle des 90 % commence. Donc je crois qu’il faut être dans la société un peu cash, pour être plus clair. »

    Traduction : selon Brigitte Bourguignon, les non-vaccinés ont perdu la nationalité française et leur liberté s’arrête où commence celle d’Albert Bourla (0,0000000001 % de la population mondiale, mais il y a sûrement d’autres zéros à ajouter après la virgule).

    Nous rappelons à nos lecteurs — vaccinés ou non-vaccinés — à quelle sauce ils seront mangés : Restrictions Covid-19 : nouveau projet de loi le 22 juin 2022, juste après les législatives !

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  • La Vè République arrivera-t-elle à se désintégrer seule ?

    La lecture des premiers résultats du premier tour de la législative de 2022 laisse perplexe. Ce dont on peut être sûr, c'est que, sauf l'expérience de 1988 où Mitterrand avait peiné à constituer une majorité après sa réélection, jamais la Vè République ne s'était si mal portée, avec un Président sortant réélu, mais potentiellement privé d'une majorité absolue à l'Assemblée Pour des raisons mystérieuses, le Rassemblement National reste en retrait dans ce scrutin où il arrive troisième en termes de voix. Jean-Luc Mélenchon, qui réclamait une sorte de plébiscite ne l'a pas eu, mais, pour autant, sa situation ne sera pas forcément inconfortable la semaine prochaine. Le jeu est ouvert, avec un grand perdant : le Président de la République, dont les électeurs représentent désormais moins de 12,5% du corps électoral.

    Ce que seront les résultats définitifs des législatives, nous ne le savons pas encore, mais ce qu’ils ne seront pas, nous le savons déjà. 

    Les législatives ne sont pas un scrutin de confirmation

    Depuis l’instauration du quinquennat par Jacques Chirac, la tradition veut que les législatives soient un scrutin de confirmation de la présidentielle. On connaît la théorie selon laquelle il faut donner une majorité parlementaire au Président fraîchement élu. Manifestement, c’est tout de même un peu plus compliqué que ça et, aujourd’hui, la confirmation semble bien incertaine. 

    Les législatives ne sont pas toujours une formalité pour le Président sortant…

    Faut-il rappeler ici que, au deuxième tour de la présidentielle de 2022, Emmanuel Macron a recueilli 18,7 millions de voix, alors qu’il en avait recueilli 20,7 millions cinq ans plus tôt ?

    Mélenchon ne gagne pas haut la main

    Contrairement au tapage de la France Insoumise, il n’y a pas eu de raz-de-marée mélenchonien au premier tour. Cela ne signifie pas que la majorité, au moins relative, soit inaccessible à la France Insoumise, mais il faudrait un sacré coup de chance, ou une sacrée réussite pour y parvenir. 

    En revanche, il est quasiment acquis que la France Insoumise sera la semaine prochaine le deuxième parti de l’Assemblée, même s’il ne faut pas sous-estimer la percée du Rassemblement National sur le terrain. 

    Pas de pacification du pays derrière Macron

    Au soir du second tour, Macron avait annoncé un changement de méthode et une nouvelle dynamique. Dans la pratique, le Président semble bien incapable de retrouver un souffle, et le pays paraît plus fracturé que jamais entre trois factions antagonistes : la caste mondialisée et sa bourgeoisie supplétive, les bobos de la mélenchonerie, et le bloc souverainiste dont on peine à voir quel projet d’avenir il dessine pour prendre un jour le pouvoir. 

    Dans cette triangulation complexe, l’exercice du pouvoir sera forcément complexe. 

    Le doigt dans l’engrenage d’une désintégration

    Donc, la France n’est pas un pays en voie d’apaisement. Les prochains mois devraient confirmer cette mauvaise pente où gouverner devient impossible, car aucun bloc majoritaire clair ne se dessine dans le pays. 

    Plus gravement, la légitimité d’Emmanuel Macron ne cesse d’être écornée par ses propres errements et sa propre caricature. L’affaire du Stade de France l’a montré : sur la scène internationale, les grosses ficelles du mal governo français suscitent un tollé, et aucune personnalité ne se dégage dans le pays pour rompre avec ces mauvaises habitudes de mensonges lamentables et de dénis éhontés qui dissimulent si maladroitement l’incompétence de responsables choisis pour leur docilité et non pour leur compétence. 

    Les ingrédients sont désormais réunis pour une bonne crise de régime. La question est de savoir quand elle surviendra. 

    De Charybde en Sylla

    Une chose est sûre, la situation sera tendue quoiqu’il arrive. 

    Si Macron sauve sa mise et dégage une majorité “claire” à l’Assemblée, il peinera à mettre en œuvre ses réformes plus ou moins radicales, notamment dans le domaine sanitaire. Rapidement, il devrait être confronté à une contestation que beaucoup s’emploient à préparer. 

    Si Mélenchon gagne, son programme de très forte hausse des salaires et de gestion administrée de l’économie accroîtra très rapidement les difficultés économiques. Il se propose par exemple d’adopter un blocage des prix dont on sait qu’il s’agit de la meilleure recette pour provoquer la spéculation. 

    Les prochains mois devraient être passionnants dans ce pays. Préparez-vous dès maintenant au désastre. 

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  • D'après ce que vient de publier le Lancet sur les myocardites du vaccin Véran devrait être au cachot pour dix ans et sera le premier à y être jeté après le changement de régime


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  •  Après “Hold Up” après “Mal Traités”, voici le documentaire qui va faire du bruit : Le crime parfait – par Olivier Probst 

    Cette vidéo ne m'appartient pas et je ne la revendique pas.
 

    Mon but est de porter ces éléments à la connaissance de ceux qui sont intéressés.
Pour enrichir une vision du monde dans lequel chacun à le droit de se poser des questions.


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  • L’interview-choc où Poutine accuse l’UE d’organiser la pénurie alimentaire

    par Éric Verhaeghe

    La crise alimentaire qui vient commence à susciter de nombreuses inquiétudes en Europe, où certains consommateurs acquis sans nuance à la propagande atlantiste ne demandent qu'une seule chose : croire aux discours officiels de Joe Biden sur la responsabilité russe dans le désastre qui arrive.

    Nous livrons ici une interview passionnante où Vladimir Poutine expose le point de vue russe. Un document à écouter, à regarder, de toute urgence.

    L’interview de Poutine est un document essentiel. 

    J’imagine bien que de nombreux commentateurs la rangeront au placard des documents de propagande. Une chose est sûre, Poutine, qui parle sans note, connaît remarquablement ses dossiers et se montre un analyste impressionnant de la situation et de ses différents déterminants. 

    Qu’on le veuille ou non, le Président russe livre ici une analyse magistrale que peu de chefs d’Etat occidentaux à la botte des Etats-Unis seraient capables de livrer. 

    Voilà un facteur (celui de l’intelligence personnelle des dirigeants) qui méritent d’être profondément pris en compte. 


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