• Retraites : les syndicats rouges bloquent, le gouvernement papote


    Après dix-huit mois de consultations, de négociations et de concertations aussi bavardes que stériles, aussi oiseuses que sans effets, le gouverneur ouvre ce mercredi une nouvelle séquence de discussions avec les partenaires sociaux pour tenter de sauver sa réforme bancale des retraites et de débloquer une situation qui, chaque jour, devient plus pénalisante pour les Français, plus contraire à la cohésion nationale et sociale, et plus nuisible à l'économie du Pays.

    Face aux grèves, le pouvoir macronien a, dans un premier temps, joué le pourrissement en espérant que l'approche de Noël et des vacances de fin d'année lui offrirait une possibilité de sortie de crise. Il compte aujourd'hui sur les syndicats réformistes pour l'aider à sortir de l'impasse dans lequel il s'est lui même enfermé, quitte à abandonner toute référence à son plan, hasardeux et flou, d'équilibre du système par répartition.

    Deux stratégies perdantes. Dans le premier cas, malgré l'exaspération des Français empêchés de se déplacer, l'opinion publique reste hostile à la méthode comme au fond de cette réforme. Dans le second, ni la CFDT, ni l'UNSA ne sont en mesure de faire fléchir les grévistes ni de lever les blocages.

    Il est de la nature des pouvoirs faibles ,comme l'est cette république progressiste en marche arrière, de s'engager dans des processus politiques ou sociaux aventureux dont ils n'ont ni la maîtrise ni les moyens de les mener à leurs termes.

    Seul un pouvoir fort — ce ne pourrait bien entendu être que celui d'un régime de droite nationale — saurait imposer ses décisions, mener à bien ses entreprises de relèvement politique, économique et social de la Nation, et mettre au pas ses oppositions.

    Pour l'heure, l'actuel gouvernement n'a pas d'autre choix que de retirer une réforme mal ficelée, illisible et injuste.

    Et de consulter par référendum les Français sur l'avenir de leurs retraites.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France


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  • Macron mène une guerre à mort à son peuple pour lui imposer l’invasion

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     par Jacques Guillemain -

    Au plus haut niveau politique, chacun est parfaitement conscient de la situation explosive des banlieues et du  risque de guerre civile qui pèse sur la nation.
    Pourtant, l’inaction est de mise.

    Si l’État agit contre le terrorisme, il continue d’alimenter sa source principale : l’immigration musulmane de masse.
    Le combat est donc perdu d’avance.
    Entre un ex-président de la République qui évoque une partition du pays et un ex-ministre de l’Intérieur qui nous annonce un face-à-face entre communautés d’ici cinq ans, le message est limpide  et la menace parfaitement  identifiée :  une immigration musulmane de masse qui refuse de s’intégrer et  fracture le pays.
    Tout citoyen lucide ne peut que s’inquiéter de l’avenir de notre France millénaire.
    Car c’est un choc civilisationnel qui s’annonce.

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    Malheureusement, force est de constater que, faute de courage politique au sommet de l’État, c’est la soumission qui prévaut.
    Quant à la presse et les élites qui font l’opinion, elles trahissent le peuple en entretenant une omerta coupable.
    Lavage de cerveau, manipulations, désinformation, mensonges, sont leur spécialité.
    Souci de la vérité et éthique professionnelle sont aux abonnés absents.
    Peur des émeutes, peur d’un embrasement généralisé avec  affrontements mortels, le fait est que le pouvoir joue la carte du renoncement  permanent, en espérant éviter le pire.
    Comme si la politique de l’autruche était la meilleure solution pour relever un défi majeur !
    Les patriotes assistent, impuissants, à leur effacement culturel, à un basculement de civilisation au profit d’un islam conquérant qui n’a jamais caché son objectif vieux de 14 siècles, qui est  d’établir un grand califat mondial.
    Nombreux sont ceux qui tirent la sonnette d’alarme, en bravant la dictature du politiquement correct, comme Zemmour, Rioufol, Obertone et bien d’autres, mais qui les écoute ?
    Ils sont traînés en justice pour incitation à la haine, diabolisés, insultés, alors que ce sont les islamistes qui diffusent leur discours de haine chez la jeunesse des banlieues.
    La France se « salafise » à grande vitesse avec la complicité du pouvoir et des élites.
    Ce qui s’est passé dans nos banlieues, où les Français de souche ont été peu à peu chassés de chez eux, va s’opérer au niveau national dans les vingt années qui viennent, avec un basculement démographique que rien n’arrêtera, si Macron maintient le cap de sa politique immigrationniste et persiste dans ses délires mondialistes.
    Dans un article remarquable, Antonin Campana décortique la société française de 2019 et explique la fracture béante entre trois classes : les élites urbaines, le peuple autochtone et les populations allochtones des banlieues.
    Bien au-delà de la fracture identitaire, il y a une cassure irréversible entre la France des villes qui vote Macron, et la France populaire de souche qui subit de plein fouet le choc des cultures. Une cassure qui n’augure rien de bon.

    http://www.autochtonisme.com/2019/08/guerre-civile-en-france-une-analyse-des-forces-en-presence.html

    Les élites mondialistes sont pour l’immigration, mais ce sont les Gilets jaunes qui en subissent les méfaits.
    Avant de sauver le climat et le tiers-monde, le peuple français veut sauver son patrimoine culturel et son identité.
    Pendant que les uns ne jurent que par Greta et  le multiculturalisme, les autres entendent défendre leurs racines judéo-chrétiennes.
    Pour l’élite urbaine, l’immigration est toujours une chance pour la France et le véritable danger est « le suprémacisme blanc » qui menace le « vivre-ensemble ».
    Pour le peuple de la périphérie, c’est  l’immigration qui est une menace existentielle.
    Pour ces élites, les peuples, les cultures, les religions peuvent se mélanger, pour la simple raison que les nations sont appelées à disparaître au profit du grand village mondial.
    Il n’y a plus de races, mais uniquement l’espèce humaine.
    Le Blanc est un Noir qui s’ignore et réciproquement.
    La culture française n’existe pas et n’est qu’un mélange d’apports extérieurs.
    Pour « ceux qui savent », les adversaires du mondialisme et de la globalisation sont des attardés, d’affreux populistes, des lépreux incultes, qui ne comprennent rien à la marche du monde.
    Macron les a assez  insultés !
    « Fainéants, illettrés, alcooliques, moins que rien, auteurs de crimes contre l’humanité »… Aucun chef d’État n’a dénigré son peuple comme l’a fait Macron.
    Et les élites applaudissent, persuadées de détenir la vérité.
    Pour elles, le peuple n’a rien compris :
    Patriotisme, famille traditionnelle, héritage culturel, Histoire de France, folklore et traditions ne sont que des valeurs ringardes pour xénophobes et attardés mentaux, pour ne pas dire l’expression d’un racisme des plus immondes.

    Face à ces deux classes qui ne se parlent plus et se méprisent réciproquement, il y a les immigrés.
    Une immigration encouragée par les élites mondialisées, qui est protégée par la dictature du politiquement correct et  défendue par une justice à deux vitesses, sévère à l’encontre des patriotes identitaires et clémente à l’égard des délinquants issus de la diversité.
    Le problème est que cette immigration toujours plus nombreuse et coûteuse a ruiné le pays et se finance aujourd’hui sur le dos des Gilets jaunes, en désossant notre modèle social.
    Le « label diversité » et  la discrimination positive font que les natifs sont les derniers servis au guichet social et au bureau emploi.
    Le Grand Remplacement, on le constate dans la rue, mais aussi dans les administrations et les services publics.
    En 2010, selon l’Ined, 20 % des policiers étaient  issus de l’immigration.
    La proportion de musulmans dans l’armée tourne autour de 15 %.
    Beaucoup de ces soldats ont servi loyalement en Afghanistan et au Sahel, mais certains d’entre eux ont refusé d’aller combattre d’autres musulmans en Afghanistan.
    Par ailleurs, des rébellions de jeunes musulmans ont eu lieu à bord de navires de la Marine nationale.
    Ce prétexte du musulman qui ne combat pas d’autres musulmans est d’autant plus hypocrite que les sunnites et les chiites se combattent depuis 14 siècles !
    Mais plus c’est gros, plus ça passe…

    Pour Antonin Campana, la classe dominante urbaine mène une guerre contre la France périphérique autochtone pour imposer sa vision du monde et la société multiculturelle de demain.
    Les élites s’appuient sur les minorités allochtones pour combattre le peuple autochtone, qu’elles sacrifient sur l’autel du mondialisme.
    Ce n’est pas faux.
    On notera que le combat contre le racisme est toujours à sens unique.
    On dénonce l’islamophobie à longueur de temps, mais on se tait sur les multiples actes de christianophobie et sur les profanations quotidiennes de lieux de culte chrétiens.
    Trois églises ou cimetières chrétiens sont saccagés chaque jour dans le silence le plus total.
    Mais un simple graffiti sur une mosquée et c’est la mobilisation générale contre l’islamophobie. Difficile de trouver élites et journalistes plus serviles, hypocrites et grotesques.
    Bref, pour nos élites, l’homme blanc est coupable de tous les maux et doit payer.
    Elles encouragent le racisme anti-Blancs en pleine expansion.
    Les enfants de ces élites vivront dans la haine, mais elles n’en sont même pas conscientes !
    C’est dire le niveau  intellectuel  de ces gens « qui savent » !!
    Dès lors que les élites mondialisées pensent que l’islam est une religion de paix et d’amour et que le mâle blanc est un oppresseur sexiste, raciste et esclavagiste, le peuple de la France profonde se retrouve bien seul pour défendre son identité et son héritage culturel.
    Mais cette classe dirigeante qui méprise tant le peuple de France ne réalise toujours pas qu’elle se trompe et que son erreur de jugement lui sera fatale.
    Son refus d’admettre que l’intégration est un échec et que l’islam conquérant n’acceptera jamais la soumission à un pouvoir autre que celui de la loi coranique va se traduire par un désastre.
    Perchée sur son nuage, à des années lumière du quotidien vécu par les Gilets jaunes, la classe dominante se croit protégée éternellement dans les beaux quartiers, comme la noblesse de l’Ancien Régime.
    Mais le réveil sera brutal.
    « La guerre civile sera sanglante » dit Zemmour.
    Quelle forme prendra le retour au réel ? s’interroge Antonin Campana.
    Tôt ou tard, le discours bien-pensant volera en éclats et la violence venue des banlieues révoltées s’imposera.
    Les élites paieront au prix fort leur aveuglement.
    « Ce retour au réel sentira le sang et les larmes ».
    C’est l’ensemble du peuple français qui paiera l’addition  pour les trahisons de ses élites, qui ont fait le choix ahurissant de persécuter les patriotes au lieu de combattre l’islam politique conquérant. Gérard Collomb l’a annoncé :
    Le vivre-ensemble paradisiaque va vite se transformer en enfer.
    Et les élites devront payer, elles aussi, le juste prix de leurs choix politiques hallucinants.
    Comme le dit  Campana : « Enjoy » !

    Jacques Guillemain

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  • Attaques antifas : Les hyènes dans la crèche...

    Par: Etienne Defay ..

    Attaques antifas : Les hyènes dans la crèche, par Etienne Defay
    La bêtise et la violence de l’extrême gauche n’ont décidément plus de limites. Ce dimanche, une meute de décérébrés a attaqué la crèche vivante des enfants à Toulouse. Ce sont nos confrères de La Dépêche et d’Info Toulouse qui rapportent l’événement.
    En marge des manifestations contre la réforme des retraites ou des Gilets jaunes, ou des deux ensemble après tout, la place Saint-Georges accueillait comme tous les ans un spectacle de Noël joué par des enfants et des associations locales.
    Mais c’était compter sans la violence et la bêtise d’une soixantaine d’individus qui ont déboulé sur la place aux cris de « Nous on est anticapitalistes » ou encore « Stop aux fachos ».
    Certains ont même fait irruption sur scène devant les yeux des petits dont certains se sont mis à pleurer, abasourdis par cette violence inexplicable.
    Heureusement la scène, si elle avait de quoi scandaliser toute personne douée de raison, n’a pas fait de blessés.
    En témoigne le ton de notre confrère de La Dépêche : « Affligeant. C’est aux cris de “Stop aux fachos”, sans même se rendre compte que c’est ce qu’ils sont eux-mêmes. »
    Le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc a pour sa part déclaré : « Je déplore et condamne fermement le comportement irresponsable de manifestants hier, qui a provoqué l’interruption de la crèche vivante, au détriment des Toulousains. Un événement organisé par l’association Vivre Noël autrement, que j’avais autorisé comme chaque année. »

    Mgr Le Gall a également réagi : « En tant qu’archevêque de Toulouse, je déplore que le simple rappel de la naissance de Jésus et des valeurs qu’elle véhicule (accueil de l’étranger, annonce de la Paix et signe d’une tendresse dont nous avons tous besoin) ne soit plus respecté dans notre pays et suscite même des actes de violences verbales et physiques de ceux qui s’érigent comme défenseurs de la liberté. »
    Hasard du calendrier, les enfants de la ville de Groningue aux Pays-Bas ont dû célébrer la Saint-Nicolas sous escorte policière : quelques centaines d’individus vêtus de noir ont manifesté contre la venue du célèbre saint et de ses pères Fouettard dont les visages sont noircis.Il n’en fallait pas plus pour choquer ces militants sans cerveau : « Blackface », hurlent-ils !
    En effet, selon les tenants de cette « idéologie » (écoutez notre ricanement), un Blanc ne peut se déguiser en Noir, cela s’appelle de l’appropriation culturelle donc du racisme…

    Comble de la bêtise : les Fouettards sont grimés en noir pour simuler la suie qu’ils attrapent en passant par les cheminées.

    De Toulouse à Groningue, nos villes sont peuplées de crétins politisés qui ont appris à prononcer anticapitaliste avant d’apprendre à réfléchir.
    Voici le brillant résultat de nos sociétés multiculturelles émancipées de culture chrétienne : des enfants sous escorte policière, des crèches vivantes détruites et des églises en flammes.
    Seule lumière dans ces ténèbres, la conclusion d’une bénévole toulousaine au journaliste de La Dépêche : « Tous ceux qui crient ne savent pas que Jésus n’était pas un bourgeois, mais un pauvre, un démuni. Je les plains. »
    Si la royauté du Christ commencée dans une mangeoire nous incite à tendre l’autre joue, le néant qu’incarnent ces gens ne peut que nous révolter.
    Etienne Defay
    Article paru dans Présent daté du 16 décembre 2019

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  • Le fric, le fric ,le fric !. Pour pouvoir vivre au paradis les pauvres
     
    La Balkany ne sachant ce que c'est la misère ,leur fric elle l'emportera pas au paradis .
    Comme elle vous dis ;«Je n'y peux rien si je suis née avec une cuillère en argent dans la bouche» Qu'elle honte !
     
    Ce ne sont pas des pieds Nicklés, mais bien des manipulateurs, qui savent créer et entretenir la confusion, sur fond de Misérabilisme Mondain et de victimisation du business.
    La justice finira bien par mettre en ordre tout cet écheveau d'histoire entremêlées.
    Les décennies suivantes seront celles qu’on sait : fric et flambe, gouaille et carambouille. Évidemment, Levallois-Perret est aujourd’hui l’une des villes les plus endettées de France. Logique : le clientélisme, ça rapporte dans les urnes, mais ça coûte cher aussi à la banque. Leur heure de gloire ? L’arrivée de Sarkozy à l’Élysée. Lui, le filleul ; eux, les parrains. Fouquet’s et Rolex à tous les étages : c’est le Miami à la française ; la coke en moins. Quoique.

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