•  Au delà des prescriptions gouvernementales, par ailleurs très contestées, des "petits chefs" en rajoutent ... certaines pompes funèbres, (par peur ou profit financier), certains fonctionnaires (pour êtres politiquement corrects) certains voisins "délateurs" comme sous l'Occupation, tout cela, au mépris de la dignité que l'on doit à tout être humain, à l'élémentaire humanité !!!

    Vigilance et résistance, donc !


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  • Loi Avia : à l’école aussi !

    Désormais, et à compter du 1er juillet, nous voilà prévenus : tout propos publié sur les plates-formes Internet assimilé à un « contenu haineux » pourra être supprimé dans les 24 heures. Sans que personne ne sache très bien à quoi correspond la définition de la haine. La loi française ne sait pas de quoi on parle, le juge judiciaire n’a pas « à en connaître » et les plates-formes menacées si sévèrement qu’elles n’auront d’autre choix, dans le doute, que de supprimer les contenus. La haine : ce « mot-valise », comme on dit à l’école, qui devrait pouvoir englober pas mal d’expressions, un outil souple et maniable à souhait…

    Mais ce n’est pas tout : cette loi Avia contient un volet éducatif non moins inquiétant ; son chapitre VI vient directement modifier le Code de l’éducation. Incongru au premier abord, mais en réalité bien pensé. Les trésors d’imagination déployés par l’Éducation nationale pour façonner de petits esprits numériquement responsables sont infinis. Comme sa grande sœur, la loi sur les « fake news » de décembre 2018, cette loi Avia s’invite directement dans les salles de classe et prétend éduquer nos enfants et les sensibiliser à la « haine en ligne » sans vraiment faire de bruit auprès des parents. La grande idée qui sous-tend tout cela ? Non pas la fabrique de crétins numériques, bien au contraire, plutôt le façonnage de citoyens numériques vertueux. Et c’est tout bénef pour la société qui n’aura plus à sanctionner des délinquants du Net puisque, dès le plus jeune âge (du CP à la terminale), ils auront été éduqués au bon usage des médias et des outils numériques. On appelle cela le deuxième niveau de la législation : « l’approche éducative » qui « mise, à terme, sur une capacité du citoyen numérique à passer l’information au tamis de la raison critique ». Réprimer, c’est bien ; éduquer, c’est mieux !

    Cette volonté de former au numérique et aux médias, gros chantier de l’Éducation nationale, ne date pas d’hier. On le doit principalement à Najat Vallaud-Belkacem, qui souhaitait beaucoup « renforcer dans la durée la capacité de l’école à transmettre les valeurs de la République ». Le formatage d’esprits critiques capables de trier parmi les infos le bon grain de l’ivraie répond bien à l’objectif.

    Ainsi, l’article 312-9 du Code de l’éducation revisité par la loi Avia améliore « la formation à l’utilisation des ressources numériques » afin de contribuer « au développement de l’esprit critique, à la lutte contre la diffusion des contenus haineux en ligne et à l’apprentissage de la citoyenneté numérique ».

    Le volet éducatif de la loi sur les « fake news » apprenait déjà aux les élèves « à vérifier la fiabilité d’une information » (art. L 321-15) afin de « produire une analyse critique de l’information disponible » (art. L 332-5) de manière à « ne pas se laisser duper par la manipulation de l’information » (art. L 712-2).

    Mais le ministère de l’Éducation nationale n’en reste pas là car le retour en classe après confinement n’est pas une mince affaire. La santé des élèves, les retards cumulés, passe encore, il y a plus inquiétant, semble-t-il : les dérives sectaires qui induisent des changements des comportements. À trop avoir fréquenté le cocon familial loin des profs pendant ces semaines de confinement, l’élève peut être en danger. D’où cette fiche Éduscol : Covid-19 et risques de dérives sectaires, outil mis en place pour guider les enseignants. Avec des recommandations de conduite à tenir propres aux soignants face à un patient zéro : identification, traitement, dénonciation, signalement « aux autorités compétentes ». Avec toujours cette consigne, toujours la même : « développer l’esprit critique des élèves pour mieux lutter contre la désinformation, les fake news, les rumeurs et les théories complotistes ».

    Après le virus, la surveillance des masses, le dépistage et la dénonciation, la rééducation ? On n’est pas en Chine, mais ça y ressemble !

    Sabine de Villeroché

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • Macron : « Nous n’avons jamais été en rupture » de masques

    Un mensonge éhonté de plus. Souvenons nous que la porte parole africaine du gouvernement, Sibeth Ndiaye, a déclaré en 2017 : « j’assume parfaitement de mentir pour protéger le Président ». En 2019 le député LREM Patrick Vignal osait à son tour : « s’il faut dire la vérité aux Français, cela veut dire dix ans de sang et de larmes (…) Vous voudriez dire la vérité aux gens sur le terrorisme ou sur le chômage ? » 

    Source : contre-info


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  • Bagnolet (93) : Le squat antifa servait-il d’entrepôt de cocktails Molotov pour l’ultragauche ? Quatre personnes interpellées

    aziz zemouri@azizzemouri1

    Le squat servait d'entrepôt de cocktails Molotov à l'ultragauche          https://www.lepoint.fr/societe/le-squat-servait-il-d-entrepot-de-cocktails-molotov-pour-l-ultragauche-19-05-2020-2376209_23.php 

    Le squat servait-il d'entrepôt de cocktails Molotov pour l'ultragauche ?

    Quatre personnes ont été interpellées dimanche soir par la police, avant d'être déférées au parquet de Bobigny pour fabrication d'engins explosifs.

    lepoint.fr
    aziz zemouri@azizzemouri1
     

    Le squat des  à   @LePoint       4 défèrts pour fabrication d’engins incendiaires

    Voir l'image sur TwitterVoir l'image sur Twitter
     
    La police a-t-elle enfin trouvé le quartier général des « Antifa » (antifascistes, NDLR) parisiens ? Ou ne s’agit-il que d’un simple dépôt de « munitions » en vue de préparer « l’insurrection qui vient », voire « le grand soir » ? Dimanche, en filochant des militants considérés comme membre de l’ultragauche, les policiers en civil de la brigade anticriminalité ont découvert plusieurs dizaines d’objets incendiaires – des cocktails Molotov prêts à l’emploi – fabriqués dans l’ancienne clinique de la Dhuys située à Bagnolet, face au 46, rue Lénine.

    Ce lieu autrefois réputé de la Seine-Saint-Denis, mais tombé en déshérence, est devenu un squat de la mouvance anarcho et gauchiste, selon les ex-renseignements généraux de la préfecture de police. Sur les murs tagués, les baqueux ont pu noter quelques inscriptions, parmi lesquelles : « Bienvenue à notre QG Paris Antifa75 » ; « Un flic, une balle, justice sociale ».


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  • Derrière les « Marcheurs scissionnaires », saint Hulot, pape de la niaisitude…

    Dans un temps lointain où l’on ne craignait pas le pilori au moindre ricanement, un affreux jojo répondant au nom de Jean Yanne, affreux dont l’époque actuelle exciterait assurément la verve, avait porté sur les écrans un film intitulé Liberté, Égalité, Choucroute.

    Je ne résiste pas à vous en livrer le pitch, comme on dit aujourd’hui :

    « En avril 1789, le commandeur des croyants quitte Bagdad pour Paris afin d’acquérir au Salon de l’équipement de bourreau (le SEB) une machine à décapiter infaillible, la guillotine, car le pal ne le distrait plus. S’ensuit une présentation parodique de la Révolution française qui verra Louis XVI prendre la fuite pour arriver non pas à Varennes mais à Bagdad. »

    Si j’évoque ce film qui n’aurait, c’est sûr, aucune chance de sortir aujourd’hui, c’est parce que le nom de groupe choisi par les dissidents de La République en marche m’y fait irrésistiblement penser. Avouez, « Démocratie, écologie et solidarité » n’est pas très loin de Liberté, Égalité, Choucroute. Hélas, ce n’est pas l’esprit de Jean Yanne qui les habite.

    Les « Marcheurs scissionnaires », comme ils se nomment, ont donc décidé de naviguer à leur compte. Héros de ce groupe de randonneurs, Cédric Villani.

    Comment dire… Randonneuse moi-même, ce n’est pas le gars que je suivrais sur les sentiers de montagne. D’ailleurs, bien peu l’ont suivi sur le bitume parisien : 7,9 % seulement pour ses listes au premier tour des municipales. Pour celui qui devait tout emporter – bobos, écolos et intellos –, c’est un bide. Qu’importe. Il a pris le virus de la politique, je veux dire du pouvoir… Il se rêve en chef.

    En rejoignant dans la dissidence ses deux copains Matthieu Orphelin et Paula Forteza (le premier, député du Maine-et-Loire, est un écolo hulotiste ; la seconde est députée des Français de l’étranger pour l’Amérique latine et les Caraïbes), Villani espère pouvoir cheffer la liste LREM aux municipales… en remplacement d’Agnès Buzyn. Si le scrutin est reporté. Si si.

    Confidence : les maths, ce n’est pas trop mon truc, mais je crois être meilleure que Cédric Villani en probabilités. En ce qui le concerne, j’estime ses chances autour de zéro. Moins quelque chose, même.

    Si l’on se fie aux apparences, pas plus fausses que les probabilités, il semble donc que M. Hulot continue de tirer les ficelles. Parti en pleurnichant pour avoir rudement éprouvé le principe de réalité, il continue de nous gratifier de ses idées merveilleuses. Comme le disait Étienne Gernelle dans Le Point du 8 mai, il peut concourir pour l’Oscar de la bouffonnerie 2020. Ses Cent principes pour un nouveau monde, étalés sur deux pages du Monde, ne sont rien d’autre qu’un « galimatias qu’un élève de sixième n’aurait pas osé rendre à son professeur », écrit Gernelle. Une enfilade de platitudes sur « la symphonie mondiale de demain », parce qu’il le vaut bien et parce que :

    1) « Le temps est venu, ensemble, de poser les premières pierres d’un nouveau monde. »

    2) « Le temps est venu de transcender la peur en espoir. »

    3) « Le temps est venu pour une nouvelle façon de penser. »

    et on continue…

    18) « Le temps est venu d’applaudir la vie. »

    70) « Le temps est venu de nous réapproprier le bonheur. »

    Etc.

    Saint Hulot, pape de la niaisitude, a maintenant son église, son clergé et ses enfants de chœur et de cœur. Monseigneur Villani se voit déjà coiffer la mitre et bientôt arpenter les rues de Saint-Germain-des-Prés, le bâton de pasteur à la main.

    Crosse pour crosse, il pourrait bien s’en prendre encore un grand coup sur l’araignée.

    Marie Delarue

    Source : http://bvoltaire.fr


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