• Toulouse : un délinquant multirécidiviste en scooter percute un grand-père et son petit-fils de 2 ans, le grand-père grièvement blessé

    Un terrible accident de la route s’est produit ce vendredi après-midi à Toulouse. Un grand-père de 72 ans et un bébé de 2 ans ont dû être transportés de toute urgence à l’hôpital Purpan. À 15h05, le conducteur d’un scooter qui circulait sur l’avenue de l’URSS, quartier Saint-Agne, a perdu le contrôle de son engin avant de percuter de plein fouet un homme qui promenait un enfant alors qu’il se trouvait à pied. Les secours et la police ont très vite afflué sur place mais le jeune homme a réussi à prendre la fuite à pied, abandonnant son deux-roues. […]

    Il n’était même pas 16 heures lorsqu’il a été interpellé par la brigade anticriminalité (BAC) dans le quartier des Izards, au nord de Toulouse. Âgé de 28 ans, il est déjà très familier des services. Notamment pour des délits routiers. Son permis lui avait d’ailleurs déjà été retiré par le passé. Il a été placé en garde à vue dans les locaux de la brigade accidents et délits routiers (BADR) en charge de l’enquête. […]

    La Dépêche

    Les deux victimes sont transportées d’urgence à l’hôpital Purpan. L’enfant de deux ans est hors de danger, il souffre de quelques brûlures à la peau après avoir glissé de la poussette. Mais son grand-père est entre la vie et la mort. Après avoir subi plusieurs opérations, son pronostic vital est toujours engagé ce samedi matin, indique une source policière. […]

    Déjà connu des services de police pour de multiples délits routiers, ce jeune homme de 28 ans a été rapidement identifié . Il est interpellé 45 minutes plus tard par les hommes de la BAC dans le quartier des Izards, dans le hall de l’immeuble où il résidait. Son permis lui avait été retiré à plusieurs reprises, et il avait récemment été verbalisé pour non-respect du confinement. […]

    France Bleu


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  • « Comprendre la stratégie Warren Buffet pour comprendre la dynamique de la crise ! » L’édito de Charles SANNAT

     
     par 

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,
    Je vous souhaite à tous un joyeux jour du déconfinement. 
    Profitez-en bien, tout en restant prudent, car il se pourrait que nous ne soyons pas franchement au bout de nos peines, et comme le dit la blague, « la fin du confinement ne veut pas dire que la pandémie est terminée mais qu’il y a de la place pour vous en réanimation ».

    De la même façon, il est tentant et rassurant de croire ou d’imaginer que la fin du confinement sera également la fin de nos problèmes économiques, et que tout recommencera comme avant.
    A propos de tout sera comme avant, je viens de recevoir le petit fascicule à faire lire « plusieurs » fois à mes enfants pour « préparer le retour à l’école », et « même si tu as très envie de retourner à l’école, cela sera très différent d’avant »… et là toute une liste d’interdits qui va transformer l’école en quasi-calvaire pour les enfants.
    En supprimant l’intérêt de la socialisation et du copinage, il ne reste désormais presque plus rien à l’école.
    Déjà que côté ambition et boulot c’était devenu pas franchement terrible, si en plus il ne faut plus parler aux copains sans dépasser la ligne jaune, comme dans un pénitencier américain, il va falloir se poser quelques questions pour l’avenir de nos enfants.
    Bref, quand on voit tout cela ou plutôt malgré tout cela, nombreux sont ceux qui veulent « acheter » des actions, car elles ne sont pas chères, et qu’il ne faut surtout pas louper la fin de la crise…
     C’est qu’il y a « du pognon à se faire »… ou pas !
    L’argent facile me laisse toujours assez froid.

    Comprendre la stratégie Buffet !
    Faut-il acheter des actions ?

    Pour cela il faut comprendre quelques grandes tendances de la crise actuelle.
    Ces tendances, et bien d’autres, Warren Buffet, l’oracle d’Omaha, les connaît parfaitement.
    La Stratégie Warren Buffet nous en apprend en réalité bien plus sur ce qu’il faut sans doute faire que toutes les doctes analyses.
    Dans ce JT du grenier nouvelle « formule », voici quelques réflexions qui, je l’espère, vous seront utiles et viendront éclairer vos prises de décisions.
    Enfin, n’hésitez pas à me dire la formule du JT qui a le plus votre préférence.
    L’ancienne ou… la nouvelle.


    Alors que veut faire Buffet ?
    Simple.
    Attendre avec du cash, beaucoup de cash.
    Attendre quoi ?
    La seconde jambe de baisse, parce que pour lui et pour beaucoup d’autres, les cours vont baisser à nouveau.
    C’est parce que vous êtes très nombreux à me demander s’il faut acheter des actions là, maintenant, que j’ai consacré ces derniers jours à vous préparer et à vous rédiger un flash Stratégies justement consacré à la stratégie Buffet.
    Je vous analyse le bilan du fonds Berkshire Hathaway, je vous explique la modicité des pertes actuelles, les raisons pour lesquelles les actions devraient corriger encore une nouvelle fois, les indicateurs à surveiller, et je vous traduis l’essentiel de la lettre de Warren Buffet à ses investisseurs. Et enfin, si vous n’avez pas 260 000 dollars à placer, car c’est le montant d’une part dans le Bershire Hathaway je vous dis comment faire comme Warren Buffet… mais en moins cher !
    Plus plein d’autres choses.
    Pour tous les abonnés le flash sera disponible dans vos espaces lecteurs accès ici.
    Pour tous ceux qui n’ont pas d’accès, tous les renseignements pour vous abonner sont ici.

    Pour résumer l’essentiel, pour Warren Buffet, l’heure des courses sur les marchés, n’a pas encore sonnée et c’est très logique.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !



    Charles SANNAT

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  • La CGT, toujours en pointe pour plomber notre économie

     L’usine Renault de Sandouville, près du Havre, est contrainte de fermer ses portes quelques jours après la reprise de l’activité.
    Photo archives Ouest France

    Alors que l’usine Renault de Sandouville s’apprêtait à reprendre le travail, avec en plus un carnet de commandes plein à craquer, la  a pu obtenir de la Justice qu’elle suspende l’activité sur le site, sine die
    Motif : la protection jugée insuffisante de la santé des salariés sur le lieu de travail.

    On peut comprendre que les salariés défendent leurs conditions de travail et exigent d’être protégés, que les syndicats agissent en ce sens.
    Mais aller en Justice, cela veut dire se mettre entre les mains de tribunaux débordés, bloquer l’usine jusqu’à la date où le jugement sera rendu.
    La CGT le sait très bien, et plutôt que d’agir ainsi, elle aurait pu négocier avec sa direction et, en désespoir de cause, stopper les chaînes, bloquer l’activité pour obtenir de meilleures protections.
    Elle me semble suffisamment experte en la matière : cela aurait fait réagir la direction dans le bon sens et le travail aurait pu rapidement reprendre.
    Là, il y en a pour au moins deux semaines.
    Et pendant ce temps, Renault, déjà en grande difficulté, pâtit de la situation quand ses concurrents asiatiques et européens tournent désormais normalement.
    Avec ce coup de poignard dans le dos, la CGT montre une fois de plus son vrai visage : celui d’un syndicat replié sur ses seuls intérêts.
    La CGT est l’agent actif de la désorganisation de la France.
    Ça, on le sait depuis longtemps : chaque année, la France a droit à ses deux mois de block out plus ou moins général organisé ou encouragé par la CGT.
    Elle ne recule jamais, quitte à couler les PME et à défigurer l’image de la France dans le monde.

    Elle est aussi un agent actif de l’injustice sociale : pendant que les secteurs où elle est forte maintiennent des avantages particuliers, chez les fonctionnaires et les cheminots par exemple, d’autres secteurs, en revanche, semblent être au régime « général ».
    Ainsi a-t-elle entrepris des actions de l’ampleur de celle de Sandouville pour défendre, par exemple, les travailleurs exposés au risque de l’épidémie, dans des secteurs comme ceux de la livraison, de la distribution (pensons aux caissières).
    À l’heure où l’on parle de relocaliser, de réindustrialiser la France, chacun doit bien se rendre compte que cela ne se fera pas par des incantations.
    Des usines en France, soumises à la fiscalité et aux charges sociales les plus lourdes du monde, avec le droit du travail et les normes diverses et variées les plus contraignants, mais aussi livrées au diktat des syndicats, je demande à voir : qui voudrait investir son argent dans ces conditions, se retrouver à combattre la concurrence des Chinois et des autres en traînant de tels boulets ?
    La CGT ne joue pas du tout en faveur des travailleurs, des chômeurs qui pourraient retrouver un emploi si les choses changeaient : elle défend ses intérêts particuliers.
    Fût-ce au détriment de la France.

    Ce qui fit dire en son temps à Coluche que la CGT est bien le « cancer généralisé du travail, sauf qu’à la différence du cancer, la CGT, elle, n’évolue pas ».

    Plus que jamais d’actualité. À méditer si on veut relancer les industries en France.

     Olivier Piacentini

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  • "Vous ne rêvez pas"

    Ndiaye, une cigarette à la bouche... en plein direct sur BFMTV !

      La porte-parole du gouvernement a été filmée en direct sans savoir visiblement que les images étaient diffusées.
    La porte-parole du gouvernement a été filmée en direct sans savoir visiblement que les images étaient diffusées.
     
    LIRE LA SUITE AVEC VIDÉO SUR ;
     
    https://www.midilibre.fr/2020/05/10/vous-ne-revez-pas-le-cow-boy-clope-au-bec-en-direct-sur-bfm-est-bien-sibeth-ndiaye,8881400.php

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  • Laurence Peignot, généraliste : « J'ai arrêté d'applaudir mes confrères »

     Laurence Peignot, 33 ans, medecin generaliste : << Arretons d'affoler la population. >>
     Laurence Peignot, 33 ans, médecin généraliste : « Arrêtons d'affoler la population. »

      Par 
     Le Point.fr

    TÉMOIGNAGE. Cette jeune médecin s'agace de voir certains collègues s'ériger en héros et entretenir la peur. « Redonnons à nos patients le goût de vivre. »
    C'est son « petit coup de gueule », à la veille du déconfinement.

    « Il n'engage que moi », précise-t-elle d'emblée, un peu affolée à l'idée que ses propos soient « mal compris, voire déformés ».
    Il est vrai qu'ils brisent quelques tabous et se révèlent un tantinet iconoclastes.
    Elle s'attend d'ailleurs à recevoir « une tonne de réactions indignées » sur les réseaux, sur le mode : pour qui se prend-elle, celle-là ?
    On l'insultera, les plus énervés lui souhaiteront peut-être de finir en réanimation.
    Mais bon, elle avait envie de le dire.
    Alors voilà, elle le dit : « C'est terminé, je n'applaudirai plus mes confrères, le soir, à 20 heures. »
    Le Dr Laurence Peignot, médecin généraliste à Paris (18e arrondissement), 33 ans, trois ans d'exercice en libéral, a « un petit souci avec ça ».
    « Qu'on s'entende bien : j'ai beaucoup d'admiration pour mes collègues hospitaliers qui, aux urgences et en réanimation, se sont donnés sans compter pour soigner les gens, affrontant la mort, luttant au péril de leur vie, se sacrifiant, pour certains, face à un virus qu'ils ne connaissaient pas. »
    Elle les a d'ailleurs applaudis « 43 soirs de suite, à [sa] fenêtre ».
    Mais maintenant, elle pense que « ça suffit ».
     
    « On fait le job et c'est normal »


    « Ça va sûrement choquer que je dise ça, mais ceux qui se font passer pour des héros abusent », juge-t-elle.
    Ils seraient d'ailleurs minoritaires, parmi ses collègues, à prendre ces applaudissements vespéraux pour argent comptant.

    À l'écouter, ils seraient au contraire nombreux, comme elle, à être « un peu gênés avec ça ». « Personnellement, je n'ai juste pas fait grand-chose, par rapport à d'habitude. Pour être honnête, je ne suis pas submergée et je ne l'ai jamais été. Pourtant, j'étais au "front", en "première ligne", comme on dit aujourd'hui. »
    Elle poursuit : « À l'hôpital, beaucoup considèrent qu'ils n'ont fait que leur boulot. Ils l'ont très bien fait, certains ont pris des risques, mais, à un moment, il faut dire les choses : on fait le job et c'est normal. D'une certaine façon, c'est une chance que de pouvoir travailler, gagner sa vie et sortir de chez soi. »
    Ça pique, on vous avait prévenus !

    Notre boulot, c'est de rassurer, pas d'affoler la population
    Mais pour le Dr Peignot, là n'est pas l'essentiel.
     « Certains médecins, pense-t-elle, détournent à présent leur savoir et leur pouvoir pour alimenter une psychose collective qui va nous coûter cher sur le plan médical, social, psychologique et économique. »
    Et pour le coup, elle « trouve ça dégueulasse ».
     Elle en veut à ceux qui « diffusent des informations complexes, encore non abouties scientifiquement, contribuant à entretenir des peurs irrationnelles face à la maladie et à la mort ».

     
    « Notre boulot de médecin, c'est aussi de rassurer les gens. En tout cas, ce n'est certainement pas d'affoler la population au moment où beaucoup hésitent à renvoyer leurs enfants à l'école et à reprendre le travail. »
    « Tous les jours, s'inquiète-t-elle, je vois défiler dans mon cabinet des gens angoissés. L'autre jour, un étudiant en panique m'a confié ne pas être sorti de son studio durant six semaines, pas même pour aller faire ses courses. Des profs, des salariés me demandent des certificats pour ne pas retourner travailler. Je vois des patients effrayés, renfermés sur leurs angoisses de mort, qui préfèrent tout arrêter, garder leurs enfants à la maison plutôt que de ressortir, vivre, bosser, retrouver leurs proches et leurs amis. Je trouve ça triste. Quand on est en bonne santé, on ne devrait pas se complaire dans le confinement, le repli et la docilité. »
    C'est pourquoi, dit-elle, « l'urgence est peut-être de redonner confiance aux gens, de les aider à retrouver le goût de vivre et d'être ensemble, plutôt que de dépendre d'un système lui-même à bout de souffle ».

    Elle évoque ses « cours de médecine ».
    « On apprend ça à la fac : la santé est un tout. Ce n'est pas seulement se prémunir d'une maladie ou d'une infirmité, c'est être bien dans son corps, sa tête, son environnement social et familial. On a sacrifié tout ça et c'était nécessaire pour lutter contre cette fichue maladie, mais ça ne peut plus durer. Aujourd'hui, nous devons être raisonnables et ne pas oublier cette vision globale de la santé, si nous voulons tenir dans la durée. Le combat contre ce virus n'est pas terminé et nous allons continuer à faire de notre mieux pour protéger, dépister et soigner les personnes à risque atteintes du Covid-19. Mais notre boulot, c'est aussi de faire en sorte que la vie redémarre. Pas de faire peur aux gens à la télévision. Nous devons être des filtres, pas des générateurs d'angoisse. »

    Angoisses et insomnies

    Elle « commence seulement » à mesurer les conséquences insoupçonnées que deux mois de confinement ont produit chez ses patients.
    Elle cite, pèle-mêle, la dépression, la douleur physique, les insomnies, la peur de se faire soigner, les retards de diagnostic, l'isolement, les angoisses massives, « y compris chez les enfants ».
    « Le pire, c'est que personne n'ose se plaindre alors que ce qu'on vit est très difficile, même quand on n'est pas malade. »

    Elle ne milite dans rien, si ce n'est dans un cours de théâtre ; elle n'est encartée à aucun parti.
    Mais elle trouve ça « triste », cet « endormissement généralisé, cette docilité, ce manque de révolte ». Car « quand on vous prend votre liberté, qu'on vous oblige à mettre un masque dans les transports, même si c'est indispensable, ce n'est pas quelque chose de normal, ni d'anodin. On a le droit de dire qu'on n'est pas content, qu'on est en colère, que c'est dur. On a le droit de se plaindre, ça fait du bien. C'est ce que je fais avec ma petite bafouille. »
    Tout le monde a compris que nous étions indispensables. N'en rajoutons pas !
    Hier, elle a « vu passer un tweet » dans lequel un urgentiste de l'AP-HP réclamait des fonds pour acheter des stéthoscopes.
    « Je me suis dit : il abuse carrément, ce mec. Des tas de gens sont dans la panade et attendent de pouvoir rebosser et, nous, on est en train de demander des sous en jouant sur la peur des gens. »
     Là encore, du haut de ses 33 ans et de son statut de « généraliste », elle a trouvé ça « dégueulasse ». Elle ironise : « Tout le monde a compris que nous étions indispensables. Ce n'est peut-être pas la peine d'en rajouter et d'en profiter ! »

    Le calme aux urgences


    « Je déplore que certains médecins exagèrent en leur faveur la situation réelle dans les hôpitaux pour renforcer leur pouvoir, leur ego et obtenir un intéressement financier », poursuit-elle.
    « Or, il y a un décalage entre ce que rapportent certains médias et la réalité du terrain. Les internes que je côtoie me racontent leur stage hospitalier : les services qui ont été réorganisés pour accueillir les patients atteints du Covid ont été pleins durant deux ou trois semaines, au plus fort de la vague. Mais, depuis un mois, ce n'est plus du tout le cas. Les urgences sont désertes ; en tout cas, ceux qui, parmi mes patients, y ont fait un passage ont été traités plus rapidement que jamais. Je regrette donc de voir certains de mes confrères inquiéter davantage une population déjà à cran pour arriver à leurs fins, aussi légitimes soient-elles. Si ça continue, un jour, les gens nous diront : vous nous avez fait flipper pendant des semaines et ça se retournera contre nous ! »
    Le risque zéro n'existe pas, aidons les patients à l'assumer
    Elle dit souvent « ils », mais de qui parle-t-elle, au juste ?
    « De certains urgentistes médiatiques qui en font des tonnes » ; de « certains professeurs, souvent les mêmes, que l'on voit tout le temps à la télé, au point de se demander quand est-ce qu'ils sont dans leur service ».
    En même temps, elle « les » comprend »
    « Quand on a hérité du statut de héros, on n'est pas pressé d'en sortir ! » ironise-t-elle.
    Elle dit : « Nous ne sommes peut-être que des petits généralistes, mais les patients, nous les voyons vivre, travailler, évoluer en famille. Et ce que je peux dire, c'est que beaucoup sont atrophiés par ce qu'ils vivent. Notre rôle est de les aider à en sortir. »

    Deuxième vague


    Les risques ?
    « Le risque zéro n'existe pas. Certains patients viennent nous voir pour éviter d'avoir à en prendre en nous demandant un arrêt, par exemple. Ce que j'aimerais, c'est qu'ils assument ce risque, en tout cas quand leur santé le leur permet. À nous de faire en sorte que ce risque soit limité au maximum. »
    « Oui, il y aura sans doute une deuxième vague », mais le Dr Laurence Peignot pense que les mesures mises en place permettront d'y faire face.
    « De toute façon, on ne pourra pas s'empêcher de vivre indéfiniment. Il y a un équilibre à trouver entre le risque lié au virus et les risques que l'on prend en prolongeant l'enfermement. »
    « Voilà, c'était mon petit coup de gueule », conclut-elle, soudainement un peu stressée par « les retombées » qu'il pourrait susciter. Elle soupire : « Ça vaut ce que ça vaut, mais il fallait que ça sorte. Il fallait que je le dise. »

     lepoint

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