• Libération de Sophie Pétronin : apparemment, toutes les vies ne se valent pas

     

    Le relativisme délétère qui envahit notre société « progressiste » est l’un des signes du sens antinomique pris désormais par le mot « progrès ». 

    Celui-ci, en dehors des découvertes scientifiques et des innovations techniques, mais pas nécessairement de leur application ou de leurs conséquences, doit être systématiquement traduit par « décadence ». 

    Le flou et les incertitudes qui entourent désormais le respect de la vie illustrent cette inversion.

    La vie des individus est toujours sacralisée dans les discours, mais il s’agit de certains individus, dans certaines circonstances tandis que la réalité multiplie en fait les atteintes à une valeur de plus en plus relative. Notre pays offre, actuellement, une série d’exemples qui montrent que la vie d’une personne ne tire sa valeur que de trois critères extérieurs : la médiatisation, l’émotion et l’idéologie. La réflexion cohérente n’y a aucune part.

    Deux policiers ont fait l’objet d’une tentative d’assassinat après avoir été roués de coups parce qu’ils surveillaient un bâtiment susceptible de servir à des trafics. Dans un pays où la peine de mort a été abolie même pour les pires des salauds, il est donc devenu possible de tuer des policiers soit pour protéger une action illicite soit par fanatisme religieux, comme lors de l’assassinat d’un couple de policiers à Magnanville, le 13 juin 2016.

    Le système de défense des auteurs de l’agression d’Herblay va reposer sur le fait qu’ils croyaient avoir affaire à des concurrents et non à des policiers, ce qui paraît douteux, mais qui témoigne d’un curieux respect de la vie qui considère pratiquement justifiée l’exécution lors de règlements de comptes. La peine de mort a été retirée à l’État, mais elle se porte très bien dans une société parallèle qui échappe, justement, à celui-ci. Par ailleurs, la comparaison entre l’ampleur de la médiatisation des prétendues victimes de violences policières et l’oubli rapide qui suit la mort de membres des forces de l’ordre laisse pantois. Plaintes, procédures en cascade, défilés, rassemblements d’un côté, et hommage officiel suivi d’un long silence de l’autre. Et que dire de l’indifférence qui entoure les trop nombreux suicides de policiers ?

    Les Français se sont réjouis de la libération de Mme Pétronin. Certes, elle n’a pas été la seule otage libérée, mais deux aspects de cette libération auraient dû conduire l’État et son chef à être plus discrets qu’ils ne l’ont déjà été, en s’abstenant notamment d’une déclaration officielle qui était attendue à l’aéroport, comme si quelque chose les gênait dans cette affaire. Le président de la République ne pouvait être absent lors de l’arrivée de l’ex-otage en France pour bénéficier de la médiatisation et de l’émotion positive qui accompagnaient ce retour, mais il lui était difficile d’en faire trop, alors que cette femme clame son allégeance à l’islam, récemment évoqué pour séparatisme, refuse de voir dans des geôliers, qui l’ont bien traitée, des djihadistes et que, par ailleurs, 200 de ces derniers ont été relâchés en échange de sa liberté. Il s’agit de ceux que les soldats français combattent au , de ceux qui les tuent. Là encore, d’un côté, émotion collective, médiatisation considérable pour une détention finalement moins pénible qu’on ne le craignait, rançon pour une vie qui n’était pas menacée et, de l’autre, hommage d’un jour pour ceux dont les noms tombent vite dans l’oubli.

    Médiatisation, émotion, idéologie : c’est encore ce trio infernal qui couvre l’absurdité de l’attitude de notre société par rapport à la vie à sa naissance. Dans le temps où l’on facilite la création artificielle de la vie pour réaliser des désirs que la nature ne pourrait satisfaire, on accroît la possibilité de mettre un terme à des vies, à des personnes potentielles, en permettant l’avortement jusqu’à 14 semaines de grossesse, voire à la naissance pour « détresse psychosociale » de la mère. En France, on sacralise la vie d’un coupable mais on autorise le meurtre d’un innocent, on manifeste pour la mort d’un délinquant mais pas pour celle d’un policier, on se mobilise pour une otage qui attire les médias mais on ne célèbre guère les soldats qui luttent contre les ravisseurs. Et ce serait le progrès ?


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  • Par: Pieds Noirs 9A..

    Était t'elle vraiment otage ?. La question mérite d'être posée ! Moi PN j'en doute ,un arrangement pour la libération des agneaux !

    Belle échange! ,nous allons voir ce que nous allons voir ! Le Bataclan et le reste ne va pas suffire à Macron pour comprendre . 

    (((Macron échange une (convertie)musulmane contre 200 jihadistes ? Là, on est chez les fous furieux. Ou alors il poursuit le programme des mondialistes de destruction de l’occident . Macron est une catastrophe. Sophie Pétronin faisait savoir que les conditions de sa captivité n’étaient pas aussi dures qu’on pourrait le croire. En plus, elle a refusé de qualifier ses ravisseurs de « djihadistes », préférant les qualifier de « militaires »))).Macron a libéré une malade du syndrome de Stockholm.

    Pétronin ,l'Idole de l'année .

    La convertie qui n’a qu’une seule envie : retourner chez ses geôliers ! Et on veut nous la faire passer pour une vedette ! Hallucinant !Les propos de Mme Petronin sont pour le moins malvenus lorsque l'on connait les conditions de sa libération.
    Le va t’en guerre Macron devrait le premier à y penser. Cette femme est un affront pour toutes les familles des soldats tues au Mali. Lamentable pour un Président de la République Française qui rentre dans le jeu des fellouzes!...3 personnes sauvées, 206 jihadistes libérés et combien de millions de dollars versés? .Et combien de morts dans l'avenir par ces 206 jihadistes? Et combien pour l'avenir ? Le Bataclan ,Nice etc. ....,cela ne rappelle rien à Macron.

    Bravo pour la logique .
    De plus Madame Pétronin va retourner au Mali, elle les a trouvé respectueux. J'ai une pensée pour les futures victimes des ces jihadistes libérés. Dans quel monde vit on. Pour sauver sa vie , des dizaines vont mourir dans le futur. 

    Elle parle de son engagement.

    Mais elle ne parle pas de l'engagement de ces milliers de jeunes soldats dont certains ont été tués et qui méritait qu'on ne libère pas des jihadistes pour sauver sa petite personne. C'est ce qu'elle aurait pu dire au lieu de mépriser l'engagement de nos soldats en parlant de retourner se jeter dans la gueule du lion ,tous cela avec notre argent l'argent du contribuable Français .

    Le résultat ;

    Pieds Noirs 9A..


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  • La Honte de Macron !

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  • Message de Hervé Ryssen depuis la prison de Fleury-Mérogis



    Chers amis,

    Je reçois bien toutes vos lettres, tout votre courrier, toutes vos prières, et je sais qu’ici, d’autres prisonniers subissent sans doute une détresse plus grande que la mienne. Je vous en remercie du fond du cœur car je ne vous cache pas que l’on passe ici parfois par des moments difficiles.

    J’ignorais jusqu’à présent le pouvoir de la prière... à ma grande honte. Il m’aura fallu attendre 53 ans et une incarcération pour comprendre le message d’amour porté par le christianisme. J’ignore si ce sentiment perdurera en moi. Je ne suis même pas certain que l’on puisse parler de foi religieuse. Tout ce que je sais est que cette solitude qui m’est imposée depuis maintenant deux semaines et les conditions que l’on me fait subir ici m’ont remué l’âme.

    Toutes vos lettres m’ont été d’un grand secours. Elles ont aussi visiblement intrigué l’administration pénitentiaire qui, à mon arrivée, ignorait tout des causes de mon incarcération, résumées en un lapidaire chef d’inculpation : « Injure, provocation, haine, etc. » ; tant et si bien qu’ils ont jugé préférable de me placer à l’isolement ; c’est-à-dire qu’on est seul en cellule, au lieu d’être à deux, et à un étage séparé d’un bâtiment.

    La prison de Fleury-Mérogis, qui est la plus grande d’Europe, a libéré des centaines de détenus au mois de mars, du fait de la crise sanitaire. Il y a donc de la place pour les dissidents.

    Si la solitude carcérale peut être propice à certains déplacements tectoniques dans l’âme humaine, je ne la conseillerais pourtant pas à certains qui, parmi vous, peut-être, pourraient être tentés par cette expérience. Il faut en effet savoir que les prisons françaises abritent 80 % d’étrangers ; la chose est connue. Mais pour avoir observé les cours de « promenade », où des groupes de 70-80 détenus viennent se dégourdir les jambes, je puis vous dire que la proportion d’Européens ne dépasse ici jamais les 5 % ; et l’on est même souvent plus proche des 2 ou 3 %.

    Tous ces prisonniers expriment évidemment bruyamment leur désir de se faire entendre et hurlent à n’en plus finir à la fenêtre en conversations croisées – quand ils ne mettent pas leur musique exotique pour réjouir toute la société. Vous comprenez ainsi aisément qu’un intellectuel patriote sensible des oreilles ne puisse pas consacrer autant de temps qu’il le souhaiterait à la lecture ou à l’écriture. J’essaie néanmoins de répondre à vos lettres, autant que faire se peut. J’espère que vous me pardonnerez si je ne suis pas parvenu au bout de cette correspondance à la fin de mon séjour.

    Je remercie encore une fois tous les sympathisants et les personnalités de la cause nationale qui œuvrent à la défense de la liberté d’expression.

    N’envoyez pas d’argent, pas de chèque, pas de mandat, pas de virement : rien. Faites un don à toutes les organisations patriotes dont les responsables se sont manifestés sans restriction. Sans omettre les personnalités avec qui nous avons pu autrefois avoir quelques différends et qui ont exprimé leur sympathie.

    Je n’ai besoin de rien ici mais je serai heureux de vous savoir avec moi le 2 décembre prochain, à la 17e chambre du tribunal de Paris.

    Que Dieu vous garde.
    Hervé Ryssen

    Post-scriptum : s’il y a un attentat « antisémite » deux jours avant mon procès, je saurai que c’est un coup de la LICRA !



    Nouvelle adresse pour écrire à Hervé Ryssen :

     Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis
     Hervé LALIN
     459091 - Bâtiment D3 - Cellule 4G05
     7 avenue des peupliers
     91700 Fleury-Mérogis
    Source

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  • Il faut inscrire la conversion à l'Islam au nombre des troubles psychiatriques de l'identité

    Pour résumer donc, ces derniers jours nous avons eu : un gamin de huit ans qui vient à la télévision avec la complicité de sa mère pour nous raconter qu'il a des pulsions suicidaires parce qu'il enrage de vivre fille dans un corps de garçon, et une vieille toquée qui, revenant de quatre années de séquestration chez les islamistes africains, nous déclare qu'elle est désormais musulmane et qu'il faut l'appeler Mariam.

    Ce qui m'a conduit à me faire cette remarque : les convertis à l'islam sont, au même titre que les transgenres, des gens qui souffrent de troubles de l'identité. J'ai croisé quelques convertis dans ma vie, je vous certifie qu'ils avaient tous des psychologies olé olé.

    Celui-là se sachant trop laid pour trouver une femme, s'est converti auprès d'un barbu du quartier pour s'en faire fournir une directement du bled, déjà domestiquée et disposée à vivre avec n'importe quel moche tant qu'il prie Allah et paie le billet d'avion ; celle-ci qui, déçue par plusieurs Arnaud, s'est tournée un jour vers un Abdallah en signe de protestation et de sécession, avant de finir convertie, couverte d'un voile et mère de trois petits Arabes caractéristiques ; ou encore cette bourgeoise bohème et ménopausée qui se prend pour une artiste mystique depuis qu'elle a visité Casablanca, et qui rompt avec ses enfants qui ne comprennent pas son admiration aveuglante pour Adamou le brouteur mauritanien, etc, etc.

    Et la vieille cinglée qui manifestement n'a pas supporté la charge psychologique des événements, au point de se perdre suffisamment pour se croire une autre.

    Il faut inscrire la conversion à l'islam au nombre des troubles psychiatriques de l'identité, sous-section Schizophrénie.

    Jonathan Sturel


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