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  • Après le stade Vélodrome, le gouvernement va transformer le Stade de France en vaccinodrome !

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    Un grand «vaccinodrome» sera ouvert en avril au Stade de France en Seine-Saint-Denis. Ce site permettra, selon le président du Conseil départemental et le maire de Saint-Denis, de «vacciner chaque semaine des milliers de personnes».

    Le plus grand stade français, situé à Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, sera transformé en grand centre de vaccination qui permettra de faire des injections à des milliers de personnes chaque semaine, comme l’indique un communiqué publié le 19 mars sur le site du département.

    Selon ces informations, l’ouverture de ce «vaccinodrome» est programmée pour début d’avril. Mais la date de son ouverture n’est pas encore précisée.

    Ce centre permettra ainsi de vacciner chaque semaine «des milliers d’habitantes et habitants de la Seine-Saint-Denis mais aussi de l’Île-de-France».

    Le communiqué précise que ce projet est le résultat d’un travail «avec l’agence régionale de santé d’Île-de-France, la préfecture de la Seine-Saint-Denis et la brigade des sapeurs-pompiers de Paris» en lien avec le département et la ville de Saint-Denis.

    «Dans cette perspective, et alors que plus de 50% des personnes de plus de 75 ans ont été vaccinées en Seine-Saint-Denis selon les données officielles, nous appelons, ensemble, à ouvrir la vaccination à de nouveaux publics», écrivent dans leur déclaration Stéphane Troussel, président du Conseil départemental, et Matthieu Hanotin, maire de Saint-Denis, convaincus que la vaccination est la clé pour «faire baisser la pression sur le système hospitalier et réduire les formes graves» du Covid-19.

    Plusieurs sites de loisirs déjà mobilisés

    Pour contribuer à l’accélération de la vaccination dans l’Hexagone, plusieurs sites de loisirs ont été utilisés comme centres où il est possible de se faire inoculer des vaccins anti-Covid.

    Ce week-end des 20 et 21 mars, l’hippodrome de Marcq-en-Barœul est transformé en centre de vaccination éphémère. De 8h à 18h, 1.500 injections du vaccin de Moderna vont être réalisées sur les personnes de plus de 75 ans ou de plus de 18 ans avec pathologies et comorbidités fortes.

    Auparavant, un autre centre de vaccination avait été installé dans une partie du stade Vélodrome de Marseille. Jusqu'au 30 juin et à raison de six jours par semaine, l'enceinte accueille des volontaires.

    De plus, depuis le 18 et jusqu’au 20 mars, le dojo d’Amnéville a ouvert ses portes pour les personnes qui voulaient recevoir des injections.

    Un autre site a été ouvert à Moncoutant, dans les Deux-Sèvres, où la vaccination contre le coronavirus s’est déroulée dans une discothèque. Fermée depuis un an, les gérants l'ont mise à disposition des médecins du secteur depuis début mars.

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  • 96% des migrants “mineurs” interpellés à Paris sont... majeurs

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    Une très large majorité d’entre eux sont Algériens, les autres Marocains, Tunisiens ou d’origine inconnue. 

    C’est une difficulté nouvelle pour la police parisienne : ces dernières années le nombre de mineurs non-accompagnés mis en cause dans des affaires de délinquance violente a explosé de 407%, passant de 290 à 1 471 entre 2016 et 2020,

    révèle Le Figaro. Mais la réponse pénale est la plupart du temps compliquée à mettre en place, car ces migrants violents mentent souvent sur leur âge ou sur leur nationalité, pour empêcher leur identification et être protégés par l’ordonnance du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante, précise le quotidien. Pour contrer ce phénomène, la préfecture de police a mis en place un système innovant, qui dévoile des chiffres édifiants… 

    Un nouveau système d’identification

    Désormais, les policiers envoient directement les empreintes des interpellés aux autorités des différents pays du Maghreb dont ils sont généralement issus : l’Algérie, le Maroc et la Tunisie. Ces derniers peuvent ensuite renvoyer la véritable identité des délinquants à Paris, sous quatre à huit semaines, détaille Le Figaro. Plus d’un an après sa mise en place, le quotidien est en mesure de dévoiler les premiers résultats de cette méthode. Ainsi, sur 939 demandes, la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) a reçu 229 retours d’identification. Et parmi ces soi-disant mineurs, 216 d’entre eux sont en fait majeurs, soit 96%. 

    Cette procédure a également permis de préciser la nationalité de ces faux-mineurs. Ainsi, 156 étaient algériens, 71 marocains et deux tunisiens. Les autres sont d’« origine inconnue », sans doute libyens ou syriens, précise Le Figaro. Grâce à ces précieuses informations, la préfecture de police peut lancer des procédures pour « fourniture d’identité imaginaire » et inscrire la véritable identité des délinquants dans le traitement des antécédents judiciaires (TAJ). Ainsi, ils peuvent être incarcérés en cas de nouvelle interpellation. 
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  • Médecin polonais, se moquant des opposants au vaccin, décédé 19 jours après l'injection...

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    Un médecin polonais qui avait été filmé en train de se moquer des opposants au vaccin anti-COVID-19 pendant qu’il se faisait vacciné est décédé 19 jours après avoir été vacciné.

    Le Dr Witold Rogiewicz travaillait au centre de traitement de l’infertilité à Varsovie. Il a reçu deux injections du vaccin anti-Covid : une le 4 janvier et la seconde le 26 janvier. Alors qu’il recevait la deuxième injection en présence d’une caméra, le Dr Rogiewicz se moquait de ceux qui se méfient des vaccins anti-COVID-19 et de la 5G. La vidéo de son message avait été largement publiée dans les médias en ligne polonais et sur les réseaux sociaux.

    «Faites-vous vacciner pour vous protéger, protéger vos proches, vos amis et vos patients», avait d’abord conseillé le gynécologue polonais.

    «Juste pour mentionner, j’ai également des informations pour les anti-vaccins et les sceptiques COVID; si vous souhaitez entrer en contact avec Bill Gates, vous pouvez le faire par mon intermédiaire. Je peux également vous prêter le réseau 5G dans mon corps », avait-il poursuivi avec ironie.

    Le médecin polonais s’était ensuite attaqué à la théorie du Dr Andrew Wakefield selon laquelle l’autisme chez les enfants pourrait être causé par le ROR (vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole). «Pardonnez-moi si je n’ai pas dit quelque chose ici pendant un moment, mais je venais juste de tomber dans l’autisme», se moquait le Dr Rogiewicz.

    Or, ce médecin polonais qui se voulait un promoteur de la vaccination et un défenseur des versions officielles sur le Covid est décédé d’une insuffisance cardiaque le 15 février 2021, un peu plus de deux semaines après avoir reçu sa deuxième injection de vaccin anti-Covid.

    Ses collègues cliniciens ont posté un avis de décès, exprimant leur choc et leur chagrin et offrant leurs condoléances à la famille de Rogiewicz.

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  • Terrible nouvelle pour Macron : le chiffre des 68 000 morts de Covid-19 en France a été gonflé, d’après une étude

     By Cheikh Dieng

    Une nouvelle étude qui risque de mettre l’Exécutif dans l’embarras. 

    En France, au moment où l’Exécutif se bat pour faire face à la hausse exponentielle des cas sur toute l’étendue du territoire national, notamment en région parisienne, une étude rendue publique ce 17 mars et consultée par Lecourrier-du-soir.com risque de semer une vive polémique.

    En effet, d’après l’étude menée par deux chercheurs, Gilles Pison et France Meslé, de l’institut national d’études démographiques (INED), les chiffres de décès attribués au Covid-19 englobent des cas de personnes décédées d’autres pathologies. L’étude conclut ainsi que sur les 68 000 morts, seuls 42 000 seraient réellement imputables au Coronavirus.

    Relayant cette information, le média Sud Ouest dira : “quelque 68 000 personnes sont mortes du Covid-19 en France l’an dernier, mais le nombre de décès total n’a augmenté ‘que’ de 55 000, parce qu’une partie des morts du Covid ‘seraient de toute façon’ décédés d’une autre cause, et que la grippe et les accidents de la route ont été moins meurtriers”. D’après l’étude lue par Lecourrier-du-soir.com, sur les 55 000 décès, il faut en défalquer 13 000 qui sont dus au vieillissement de la population. L’étude poursuit : “reste donc les 42 000 supplémentaires en 2020, liés à la pandémie de Covid-19”.

    L’étude ajoute : “comment expliquer que ce chiffre de 68 000 décès dus à la Covid-19 dépasse largement les 42 000 décès supplémentaires comptabilisés par l’Insee par rapport à 2019 toutes causes de décès confondues une fois défalqués les 13 000 décès dus au vieillissement de la population

     Cela tient au recul d’autres causes de décès. L’épidémie de grippe saisonnière de l’hiver 2019-2020 n’a pas occasionné de surmortalité notable au début de l’année 2020, contrairement à celle de l’hiver précédent (2018-2019), qui s’était soldée par un surcroît de 12 000 décès, concentrés début 2019, dont environ
    8 000 directement attribués à la grippe [5]. Autre recul notable : la mortalité routière a été moindre en 2020, en raison des restrictions de circulation”.

    Dans l’étude, les deux chercheurs défendent implicitement l’idée que des personnes mortes d’autres maladies ont été comptabilisées sur la liste des décès de Covid-19. Sur ce, ils diront : “mais un autre phénomène a également joué : la comorbidité. Les décès par Covid-19 ont frappé en partie des personnes fragiles souffrant d’autres maladies. Une fraction d’entre elles seraient de toute façon décédées en 2020, même en l’absence d’épidémie de Covid-19. On aurait alors attribué leur décès à une autre cause (diabète, On aurait alors attribué leur décès à une autre cause (diabète, maladie cardiovasculaire, insuffisance respiratoire chronique, etc.)”.

    Sur les réseaux sociaux, l’étude n’a pas manqué de susciter de vives réactions des internautes.

    lecourrier-du-soir 


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