• Université de Reims : 8 000 étudiants privés de cours à cause de… 40 migrants !

    C’est la dernière histoire en date. L’université de Reims a interdit l’accès de son campus à ses étudiants parce qu’un camp d’une quarantaine de migrants s’y est installé. 8.000 personnes privées de cours quelques jours après la rentrée universitaire, où est le problème ?

    Message, dimanche soir, de Guillaume Gellé, président de l’université de Reims-Champagne-Ardenne (URCA) :

    « L’établissement restera fermé jusqu’à nouvel ordre. Je ne pouvais plus assurer la sécurité de tous, que ce soit celle des étudiants ou celle des réfugiés. Parmi eux, on dénombre une quinzaine d’enfants, dont certains ont moins de cinq ans. L’université ne pouvait pas fonctionner normalement face à cette occupation illégale. Tant que les conditions de sécurité ne seront pas rétablies, l’accès aux locaux de l’université restera interdit et les cours suspendus. »

    Ça s’appelle ouvrir le parapluie. Le Chamberlain, même. La capote XXL. Car se rend-il compte de ce qu’il écrit, ce monsieur Gellé ?

    Reprenons sa missive et faisons une petite analyse de texte : il ne pouvait plus « assurer la sécurité de tous, que ce soit celle des étudiants ou celle des réfugiés ».

    Que faut-il comprendre ? Que des étudiants excédés risquaient de s’en prendre aux campeurs ? Que les campeurs risquaient de s’en prendre aux étudiants ? Qu’un enfant s’écorche les genoux dans la cohue estudiantine et cela aurait déclenché un scandale propre à faire descendre toutes les belles âmes dans la rue ?

    Le président Gellé est « une belle personne ». Il ne souhaite pas porter plainte contre les miséreux qui sont passés du parc Saint-John-Perse, tout à côté, au campus universitaire. Un parc où ils séjournaient depuis des mois et qu’ils ont quitté suite à la plainte des riverains excédés. Ah, les méchantes personnes que voilà !

    « Il y a des échanges avec le préfet et l’État sur la suite à donner. Le but, ce n’est pas l’expulsion en tant que telle mais de rouvrir au plus vite le campus », dit M. Gellé. Nous voilà rassurés ! Les migrants aussi, sans doute…

    Je me répète : se rendent-ils compte de ce qu’ils racontent, tous ces éminents hauts fonctionnaires de la République ?

    Qu’est-ce que ces baudruches paralysées devant quarante personnes, incapables de gérer une telle situation ?

    On n’ose imaginer ce qui se passera le jour où les Afghans, Syriens, Érythréens, Pakistanais, Soudanais, etc., arrêteront de se faire la guerre dans leurs campements pour se joindre aux Albanais, Arméniens et Tchétchènes (les quarante du campus de Reims) et devenir une armée vindicative ? Ils prendront la mer, eux aussi, pour aller demander l’asile politique… où et à qui, d’ailleurs ?

    Enfin, comment compte-t-on faire durablement accepter aux Français la privation de leurs droits pour des équipements et des institutions qu’ils financent par leurs impôts ? Aujourd’hui l’université, hier et demain les gymnases réquisitionnés à chaque évacuation (plus de trente rien que pour Paris) et dont la transformation en dortoirs prive les populations locales de tout usage de « leur » bien.

    Marie Delarue

    Source : http://www.bvoltaire.com


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  • Union des droites, Young Leaders, franc-maçonnerie, laïcité, etc

    Nicolas Dupont-Aignan revient à l’avant-scène médiatique en proposant une union des droites, et a donc annoncé dimanche le lancement d’une « plateforme participative » pour bâtir un programme qui pourrait être commun à Debout la France, au parti Les Républicains et au néo-FN.

    « Les Républicains, du moins ceux qui croient encore en l’indépendance de la France, ne gagneront pas seuls. Debout la France, malgré votre talent et votre énergie, ne gagnera pas seule. Le Front national ne gagnera pas seul », a-t-il déclaré devant son public.

    « La question du candidat qui fédérera les patriotes et les républicains en 2022 ne doit surtout pas se poser maintenant », ajoute Nicolas Dupont-Aignan. « Aujourd’hui, il n’est pas question de Laurent Wauquiez, de Marine Le Pen ou de Nicolas Dupont-Aignan », mais, selon lui, de «bâtir un programme ».

    Nicolas Dupont-Aignan a encore affirmé vouloir se rapprocher d’un parti républicain dirigé par Laurent Wauquiez, et d’un Front national « refondé ».

    Ce programme commun tel qu’imaginé par Dupont-Aignan, ce serait un minimum commun dénominateur soft puisque dépourvu de « ce qui fait polémique en se recentrant sur le patrimoine commun de nos électeurs ». C’est-à-dire un énième programme vaguement souverainiste basé sur le système républicain et la laïcité. Rien de très emballant. Mais vu la démoralisation actuelle qui règne tant chez Les Républicains qu’au Front National, Dupont-Aignan peut y trouver des alliés en faveur d’une telle alliance.

    Il est donc utile de faire le point sur qui sont les personnages clés de ce dispositif et de montrer ce qui les relie.

    Nicolas Dupont-Aignan, ancien étudiant de l’ENA, est passé par le RPR, le RPF et l’UMP avant de fonder en 1999 Debout la France en se réclamant du gaullisme et du souverainisme.

    Il fait partie de la promotion 2001 des Young Leaders de la French-American Foundation.

    Il se présente comme un « ultra-laïc » et ne dédaigne pas fréquenter la franc-maçonnerie, comme en témoigne cette vidéo tournée à l’issue d’une rencontre au Grand Orient de France.

    Le même Dupont-Aignan, aussi « ultra-laïc » soit-il, ne dédaigne pas allumer le chandelier juif sur l’espace public pour la fête juive d’Hanouccah.

    Dupont-Aignan a aussi proclamé son amour pour Israël devant un parterre d’électeurs Loubavitch dans sa commune de Yerres.

    Nicolas Dupont-Aignan confirme aussi volontiers qu’il est très proche des idées de Jean-Pierre Chevènement.

    Laurent Wauquiez est major de la promotion Mandela de l’ENA. Comme Nicolas Dupont-Aignan, Laurent Wauquiez est passé par les Young Leaders de la French-American Foundation, dont il fait partie de la promotion 2006.

    Bien que les médias le présentent comme un catholique, Laurent Wauquiez est un partisan d’une « laïcité intransigeante » et fréquente volontiers la franc-maçonnerie.

    Et s’il cherche parfois à soigner son image de « conservateur », Laurent Wauquiez assiste également avec plaisir aux soirées organisées par le banquier Emmanuel Goldstein « où se retrouve deux fois par an, autour d’un buffet au champagne, l’élite homosexuelle de la capitale » (dixit Le Monde).

    Ces profils de Dupont-Aignan et Laurent Wauquiez sont à mettre en parallèle avec plusieurs personnages de différents clans du néo FN.

    De Florian Philippot, ancien de l’ENA, venu du chevènementisme, laïciste qui trouverait toute sa place dans les soirées du banquier Emmanuel Goldstein, au franc-maçon Gilbert Collard, acharné promoteur de la laïcité, qui avait déclaré que quand Marine Le Pen dit « La France aux Français », elle pense « La France aux Juifs »

    Source : http://www.medias-presse.info


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  • Bavière : 48 % de viols en plus…

    Alors que, depuis l’ouverture des frontières aux migrants en 2015 par la chancelière Angela Merkel, les agressions sexuelles et les viols se multiplient à travers l’Allemagne, des statistiques officielles montrent qu’en Bavière, les viols enregistrés par une plainte ont augmenté de 48 % au cours du premier semestre 2017, comparés à ceux de l’année précédente.

    Selon la version officielle, les autorités enquêtent afin de comprendre la raison de ce phénomène. En réalité, l’augmentation est essentiellement due à l’afflux des migrants, mais les statistiques sont maquillées, les autorités jouant avec la catégorisation des auteurs de faits, notamment sur la distinction entre migrants et étrangers, mais aussi sur le fait que, lorsque le ou les auteurs ne sont pas découverts, même si le signalement donné par des victimes ou témoins indiquent que le ou les agresseurs ne sont pas d’origine allemande, ceux-ci ne sont pas classés parmi les migrants ou les étrangers… cela afin de limiter, dans les chiffres des viols commis, la part de ces actes attribués aux nouveaux arrivants.

    Malgré cela, le nombre de viols commis entre janvier et juin 2017 par ces derniers croît, selon les chiffres présentés au public, de 91 % par rapport à la même période en 2016. Les migrants portent désormais, selon les chiffres officiels enjolivés, la responsabilité de 18 % des viols.

    Pendant ce temps, les agressions sexuelles se poursuivent dans cet État du sud de l’Allemagne, pourtant considéré comme étant le plus sûr du pays, sa richesse due à ses performances économiques permettant au très conservateur parti social-chrétien CSU d’y déployer de nombreux policiers et de s’appuyer sur une justice aux condamnations souvent très sévères.

    Ainsi, dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 septembre 2017, dans la capitale de la Bavière, une Munichoise de 28 ans s’est rendue dans une discothèque en bus, puis à pied. Un homme l’a alors suivie, agressée par derrière, basculée dans l’herbe, puis traînée dans un buisson, l’a maintenue sur le ventre, lui a arraché son pantalon par derrière et l’a pénétrée sexuellement. Une fois l’acte accompli, l’individu au teint sombre d’une quarantaine d’années a pris la fuite. La police a lancé un avis de recherche.

    Le samedi 9 septembre au soir, lors d’une kermesse à Hirschaid, près de Bamberg, toujours en Bavière, de jeunes demandeurs d’asile ont agressé sexuellement, vers 21 h 15, trois Allemandes âgées de 13 à 17 ans. Lors de cette fête populaire, une bagarre a également impliqué des migrants qui ont affronté des Allemands du cru.

    Le même jour, aux environs de 10 h du matin, au bord du lac de Simssee, à Roedering, près de Rosenheim, dans le sud de la Bavière, une joggeuse a vu un homme inconnu courir à ses côtés sur une longue distance et lui parler. Soudain, l’individu l’a jetée au sol et violée. La victime a eu beaucoup de mal à se dégager et à courir vers un autre joggeur. Le violeur, un Nigérian dont le dossier de demande d’asile a été rejeté et qui se maintient malgré tout en Allemagne, a alors pris la fuite mais a pu être intercepté par la police.

    Encore le même jour, à 21 h 10, à Munich, capitale de la Bavière, deux Allemandes de 24 et 31 ans vivant dans cette ville ont repris leur véhicule sur un parking après avoir quitté un restaurant. Soudain, un Afghan de 50 ans est apparu devant le véhicule et a commencé à se masturber. La police est intervenue et a, après la constatation des faits, relâché l’individu.

    Lionel Baland

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  • Var : six mois de prison ferme pour avoir tué un chat ...

    Var : six mois de prison ferme pour avoir tué un chat

    L'homme de 28 ans a été incarcéré et s'est vu interdire de posséder un animal. Le 30 mai dernier, il avait tué un chat errant, nommé Chevelu, à coups de pied. La mort de l'animal avait suscité une vague d'indignation dans le département.

    Tuer un chat est passible d'une peine de prison ferme. Ce vendredi, un jeune homme de 28 ans, déjà condamné à de nombreuses reprises, a écopé à Draguignan, dans le Var, d'une peine de six mois de prison ferme, avec mandat de dépôt, pour avoir tué félin, baptisé Chevelu, devenu un symbole de la maltraitance des animaux.

    Le parquet avait requis à l'encontre de Johnny M., par ailleurs mis en examen pour des violences volontaires sur son enfant victime du syndrome du bébé secoué, neuf mois de prison ferme, mais sans mandat de dépôt. Outre la peine d'emprisonnement, il a été condamné à l'interdiction définitive de détenir un animal.

    » Lire aussi - En Bourgogne, sur la piste d'un tueur en série de chats

    Devant les grilles du tribunal correctionnel de Draguignan, où s'étaient massés une centaine de défenseurs des animaux, la décision a été accueillie par des applaudissements. Arielle Moreau, l'avocate de One Voice, l'une des nombreuses associations qui s'étaient portées parties civiles, s'est toutefois dite «déçue» par la peine. «L'interdiction définitive de détenir un animal et le mandat de dépôt, c'est bien, mais six mois de prison, c'est insuffisant au regard des quatre ans qu'il risquait en tant que récidiviste», a souligné l'avocate.

    «Je suis désolé»

    Il y a un an, le jeune homme, qui a à son actif une dizaine de condamnations, la plupart à des peines avec sursis, avait déjà écopé d'une peine d'amende pour avoir laissé mourir son chien en le laissant enfermer 10 jours tout seul à son domicile. Le 30 mai dernier dans la soirée, dans le centre-ville de Draguignan, il avait tué de trois coups de pied, avec des chaussures de sécurité, un chat errant et que lui-même nourrissait. L'animal avait, selon ce jeune homme sans emploi, uriné sur la selle de son scooter, en bas de chez lui.

    À la suite de ce «massacre», selon les termes de la présidente du tribunal, un mouvement de sympathie pour l'animal avait pris naissance, avec notamment deux manifestations dans les semaines suivantes à Draguignan et une pétition de soutien qui avait recueilli des milliers de signatures. La police avait alors mobilisé tous ses moyens pour retrouver l'auteur des faits, qui avait tenté de brouiller les pistes en accusant à tort, avec l'aide de sa compagne, une bande de jeunes du quartier. Il avait fini par reconnaître les faits au cours de l'été après une garde à vue de 36 heures.

    «Ce chat n'avait pas à subir ce qu'il a subi, je suis désolé», a-t-il reconnu à la barre ce vendredi. À l'énoncé du jugement, le jeune homme, lui-même abandonné dans son enfance à l'âge de trois mois, n'a manifesté aucune émotion, se souciant simplement des conditions de sécurité qui lui seraient réservées en détention.


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  • France : des magasins vendent désormais de l’urine de chameau à boire

    Enrichissement culturel : saviez-vous que, dans la « France d’après », vous pouviez acheter en magasin de « l’urine de chameau » à déguster ? Par exemple, dans un commerce situé à Saint-Etienne et vendant aussi sur internet, est proposé ce breuvage qui est présenté comme pouvant prévenir ou soigner de nombreux maux, jusqu’au cancer.

    http://www.contre-info.com/france-


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