• FN : Marine Le Pen refuse un CDD à Franck de Lapersonne

    Paris, le 31 mai 2017. Le comédien Franck de Lapersonne, battu aux législatives, dit avoir besoin d'un CDD «pour lui permettre de vivre». 

    (LP/FREDERIC DUGIT.)
     
     
    Valérie Hacot
     

    Le comédien, qui a rallié le FN et a été battu aux législatives de juin dernier, a demandé à Marine Le Pen de lui trouver un CDD. En vain...

    Franck de Lapersonne, l'ancien comédien et candidat malheureux du FN dans la Somme, a inondé Marine Le Pen de SMS cet été pour lui demander de lui trouver un CDD « d'un ou deux mois » pour lui « permettre de vivre ». De quoi agacer la patronne du parti.

    « Nous n'avons pas les moyens de t'établir un contrat », lui a-t-elle rétorqué, en ajoutant : « Et pour faire quoi ? » Marine Le Pen n'a, il est vrai, pas apprécié que Franck de Lapersonne se soit porté au secours de Sophie Montel, une proche de Florian Philippot. Lorsque Marine Le Pen a confirmé que cette dernière était démise de ses fonctions à la région Bourgogne-Franche-Comté, il avait écrit sur Twitter : « La reine est devenue folle. » La reine est manifestement rancunière...

      Le Parisien

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  • L’État Islamique ordonne aux djihadistes d’empoisonner au cyanure la nourriture des supermarché

    L’État Islamique commande désormais à ses sympathisants musulmans établis en Occident d’empoisonner la nourriture des supermarchés avec du cyanure.

    Récemment, les canaux de l’État Islamique ont ainsi délivré des appels à commettre des attaques en Europe, en Russie et aux États-Unis à l’occasion de l’aïd en usant de ce nouveau procédé.

    Dans la troisième partie d’un message adressé en anglais promouvant les attaques de type « loup solitaire » dans les pays occidentaux, les attaquants potentiels se voient conseiller d’injecter du cyanure dans la nourriture mise en vente dans les supermarchés.

    L’État Islamique s’est préparé à cette fin en utilisant des prisonniers pour des expériences réalisées avec différents types de produits chimiques et toxiques facilement disponibles en Occident. Les journaux The Timeset Newsweek rapportaient en mai : « L’État Islamique a utilisé des prisonniers comme cobayes humains, menant des expériences avec des armes chimiques dans le but de planifier des attaques contre l’Occident, indiquent des documents retrouvés à Mossoul. Les documents détaillant les expériences – qui ont mené à des morts particulièrement douloureuses pour les prisonniers -, ont été découverts à l’université de Mossoul en janvier après avoir été recapturée par les forces spéciales irakiennes. Les documents ont été vérifiés et certifiés authentiques par les forces américaines et britanniques. »

    Les prisonniers voyaient leur nourriture et leur eau contaminées par des produits chimiques extractibles de pesticides aisément accessibles.

    Le ciblage des populations européennes est d’autant plus aisée à appliquer que la nourriture destinée aux mahométans se distingue dans les grandes surfaces grâce au marquage « halal ».

    Source : http://breizatao.com


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  • Des élèves de maternelle confinés après des coups de feu près d'une école de Seine-Saint-Denis

    e>Seine-Saint-Denis|Le Parisien avec AFP|04 septembre 2017, 16h08 | MAJ : 04 septembre 2017, 17h34|   3

    Les élèves ont été confinés dans l'école Delaunay-Belleville, pendant «une petite demi-heure» vers 11 heures, a précisé une source policière. (Illustration) 

    LP/Aurélie Audureau.
     

    Des coups de feu ont été entendus près de la maternelle Delaunay-Belleville ce lundi matin. Tout est rentré dans l'ordre.

    Les enfants d'une école maternelle de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) ont été brièvement confinés dans leur établissement lundi matin, après que des coups de feu ont été tirés à proximité, sans faire de blessés. Les élèves ont été confinés dans l'école Delaunay-Belleville, pendant «une petite demi-heure» vers 11 heures, a précisé une source policière. «Aucun enfant ni personnel n'a été blessé», a ajouté le rectorat de Créteil. «Après la levée de doute, les choses ont repris leur cours normalement en fin de matinée», a poursuivi le rectorat.

    Un «pistolet chargé de balles à blanc»

    Sur place, les policiers ont retrouvé un «pistolet chargé de balles à blanc», a indiqué la source policière. Selon les premiers éléments, il pourrait s'agir d'un différend entre deux individus, qui n'avaient pas été retrouvés lundi en début d'après-midi. L'école est située rue Jacques-Duclos, près de la cité du même nom, où une importante saisie d'armes et de stupéfiants avait eu lieu fin août. Les policiers avaient notamment retrouvé un lance-roquettes anti-char, des explosifs, des fusils à pompe et 40 kg de résine de cannabis.

      leparisien.fr
     

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  • Quand le CNRS bûche sur les causes de la radicalisation islamiste...

    Un certain François Burgat, directeur de recherche au CNRS à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman (IREMAM), a livré dans l’édition de Libération du 28 août son verdict concernant les attentats, après celui de Barcelone, dans un papier intitulé : « Antiterrorisme, où en est-on ? »

    Deux facteurs ont vocation, selon lui, à en faire évoluer la fréquence : « les mesures sécuritaires d’une part, et le traitement de fond de la fracture qui nous sépare de leurs auteurs d’autre part » (comprendre : la nature erronée du traitement de fond). Nul doute, à la lecture du papier, que si les torts se situent d’un côté d’un seul, ce ne peut être de celui de l’islam : inutile, donc, d’avancer l’hypothèse saugrenue d’un islam nourrissant en son sein certaines des racines de cette « fracture ». Postulat idéologique pur, donc, généralement ancré « à gauche », et dont la composante antiraciste, à défaut d’être de nature expressément religieuse, lui confère néanmoins valeur de « parole incréée », à l’image du célèbre Coran auquel, non plus évidemment, « l’on ne touche pas ». La boucle islamo-antiraciste ainsi bouclée, l’interdiction formelle de tout amalgame entre islam et violence préserve l’infaillibilité islamique, et inversement. Tout déviant subira, par ailleurs, une implacable mise à l’index ad hitlerum.

    Cependant que les dépouilles de certains kamikazes sont subrepticement mises en terre dans tel ou tel carré… musulman, voire carrément rapatriées en terre… d’islam, et qu’après chaque boucherie halal subie en milieu urbain, l’infidèle – de préférence le plus laïcard qui soit quoique plus chrétien que le Christ lui-même – s’extasie en larmes, à tendre frénétiquement l’autre joue au bord d’une mer de bougies et dans un orgasmique « Vous n’aurez pas ma haine ! » (précédé parfois d’un non moins inénarrable « Même pas peur ! »). L’islam, bras ballants, bouche bée et généralement silencieux d’ailleurs, hormis deux pelés ou trois tondus, n’en demande certainement pas tant.

    Puis à la catastrophe éditoriale du « fond » s’ajoute, par moments, celle de la « forme », et si la question n’est posée (par les soins de l’auteur) qu’environ en milieu de texte, à savoir « Asphyxions-nous les racines profondes du terrorisme ou les nourrissons-nous ? », l’on se demande, au fond, pourquoi elle l’est, tant la chronique ne semble qu’un exclusif plaidoyer en faveur du second postulat. Fin de la discussion.

    Précédant cette noble question, l’auteur en formulait d’ailleurs une autre, livrée ici dans son jus, jugez plutôt : « Que faisons-nous vraiment pour affaiblir l’attractivité du rayon radical des multiples possibilités dont dispose un citoyen musulman pour s’approprier en politique son appartenance religieuse ? » J’ignore si l’auteur a consacré le même temps à concevoir sa phrase que moi à tenter (en vain) de la saisir : faut-il lire « rayon » d’un cercle ou « rayon » fruits et légumes de la supérette ? Au final, penchant pour la première hypothèse et dans un ultime sursaut mental, j’essayai d’estimer l’aire intellectuelle de cette quadrature du cercle, en multipliant son « rayon radical » au carré par pi (3,14 environ), soit r² x π = définitivement trop vaste pour mon cerveau rabougri.

    En matière de massacres islamistes, une fois l’hypothèse psychiatrique écartée, à regret comme il se doit, ne subsiste donc que celle du « rayon radical des multiples possibilités ». Dormez, les enfants, le CNRS veille et la recherche progresse.

    Silvio Molenaar

    Source : http://www.bvoltaire.fr


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  •  Italie:  Une ado violée à plusieurs reprises par un Marocain clandestin qui devait être expulsé. Les habitants ont peur.

    Italie
     

    La victime, une adolescente de 17 ans, a été emmenée dans un bâtiment situé sur la commune de Brianza et abusée à plusieurs reprises. Un individu âgé de 22 ans d'origine marocaine a été arrêté sous le chef d'accusation de violences sexuelles. Trois autres personnes ont été dénoncées pour complicité

    Cela s'est passé à Desio, une petite ville de Brianza, à quelques kilomètres de Milan, dans l'ancien bâtiment de meubles, abandonné depuis des années et devenu un endroit dangereux.

    La violence puis l'évasion

    La victime, une jeune fille de 17 ans souffrant de problèmes psychologiques, a été approchée par l'homme de 22 ans et ses amis pendant qu'elle attendait le train à l'intérieur de la gare de Monza.

    La jeune fille aurait alors accepté l'invitation du groupe pour passer l'après-midi ensemble. Une fois arrivée à l'intérieur du bâtiment, l'adolescente aurait été violée à plusieurs reprises par l'homme de 22 ans sous la menace d'un couteau.

    Profitant d'un moment de distraction de son agresseur, elle a cependant réussi à s'échapper de la structure et des citoyens sud-américains ont pu la secourir (...)

    Trois personnes dénoncées pour complicité de violences sexuelles

    En compagnie de l'homme de 22 ans, trois autres Nord-Africains d'une vingtaine d'années ont été dénoncés pour complicité de violences sexuelles. Ils sont également en situation irrégulière en Italie.

    Les citoyens: « Ici, nous avons peur »

    Depuis longtemps, les résidents dénoncent la situation qui est devenue intenable près de l'ancien bâtiment de meubles. « Ici désormais, nous avons peur, » ont déclaré certains d'entre eux au micro de Sky TG24. Et même l'administration communale invite les citoyens à éviter cet endroit, sur lequel elle ne peut pas intervenir en raison des problèmes liés à la propriété de l'édifice.

    Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

    Nos remerciements à Victoria Valentini


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