• Crise d’urticaire pour Mélenchon : les militaires dans la rue !

    Par: Pieds Noirs 9A..

     

    Crise d’urticaire pour Mélenchon

    L'idée de communisme apparaît en France vers 1840 comme moyen pour les ouvriers de s'affranchir de leur exploitation. Malgré sa fin tragique, la Commune de Paris de 1871 a été pendant quelques semaines une tentative de mise en application des principes développés par Marx et Engels.

    Lénine, qui est le véritable fondateur du communisme moderne, a mis en avant l'aspect révolutionnaire contenu dans le marxisme et la dictature du prolétariat.

    Cependant, le communisme s'est rapidement transformé en dictature du parti communiste et s'est accompagné de la disparition des libertés individuelles. De ce fait, le communisme est devenu une idéologie très controversée. La question est, en particulier, de savoir si les "pages noires du communisme" sont la conséquence de ses principes fondamentaux (le communisme intrinsèquement totalitaire et négateur de l'individu) ou si elles résultent de régimes politiques qui n'avaient de communistes que le nom. N'ayant jamais été réellement mise en place, la société communiste telle que Marx l'avait imaginée reste alors un concept théorique.

    L'analyse réalisée par Lénine, à partir des réflexions de Karl Marx et Friedrich Engels, prend en compte les nouvelles évolutions politiques et économiques. Pour Lénine, la concentration du capital conduit à l'impérialisme qui est le dernier degré du capitalisme. La révolution socialiste est possible dans un pays peu développé et agricole, comme la Russie. Pour lui, elle est l'amorce de la révolution universelle. Le léninisme s'accompagne aussi d'une autocritique des partis prolétariens ("Le Gauchisme, maladie infantile du communisme").

    Et avec macron et ses spires comme Pécresse judot et toute cette fantasia de donneurs de leçons ,demain plus rien ne vous appartiendras ,même pas votre fiche de paie . 

    Pieds Noirs 9A..


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  • Pas besoin de discours .on ne pardonnera jamais !

    "Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre."

    Pas besoin de discours .on ne pardonnera jamais !

    Pas besoin de discours .on ne pardonnera jamais !

    Pas besoin de discours .on ne pardonnera jamais !

    ALGÉRIE, LE PIÈGE GAULLISTE
    Les éditions Perrin viennent de publier un ouvrage intitulé Algérie, le piège gaulliste, signé Henri-Christian Giraud, ancien rédacteur en chef au Figaro Magazine. Un ouvrage édifiant, et éclairant sur De Gaulle et sur sa gestion de la guerre d’Algérie.
    Breizh-info.com : Vous allez à contre-courant de la doxa actuelle en évoquant notamment le fait que le général de Gaulle savait parfaitement où il voulait aboutir, c’est-à-dire à l’indépendance de l’Algérie. Pourquoi cela ne fait-il pas consensus chez les historiens ?
    Henri-Christian Giraud : Parce qu’ils ignorent ou écartent certains faits qui, à mes yeux, confirment que de Gaulle voyait en réalité plus loin que l’indépendance qui n’était pour lui que le moyen et le paravent -gratifiant car dans l’air du temps -, pour un dégagement sans retenue. Ce qui, par-delà l’incontestable aboutissement du projet gaulliste, explique la tragédie humaine finale : la néantisation des pieds noirs et des harkis, dont même les gaullistes les plus fervents ont encore aujourd’hui moralement du mal à concevoir la nécessité. C’est qu’ils ne voient pas – ou ne veulent pas voir – la raison gaulliste des massacres, or il y a bien une raison gaulliste des massacres : « Je ne suis bien que dans la tragédie », disait de Gaulle pour lequel, contrairement à Camus, la tragédie est une solution. Ou pour être plus précis : la solution passe par la tragédie. Concrètement, cela s’est traduit pour de Gaulle par un renversement des alliances au profit du seul FLN et par la désignation d’un ennemi commun : le camp pro-Algérie française.
    Breizh-info.com : De Gaulle a-t-il finalement menti à tout le monde ?
    Henri-Christian Giraud : De Gaulle disait à chacun ce que chacun voulait entendre. « Il y avait autant de De Gaulle que de catégories d’interlocuteurs », a écrit Peyrefitte, bien placé pour le savoir. Raymond Aron est encore plus dur : « Dans cette affaire algérienne, de Gaulle a menti à tout le monde, mais (…) sans ses mensonges, il n’aurait pas pu faire la paix en Algérie. » Aron ne se contente pas de constater l’apocalypse finale mais, à travers le mensonge, en pointe la cause : la solution par la tragédie. Reste à savoir ce que vaut une paix fondée sur le mensonge. Car l’histoire écrite par de Gaulle ne s’est pas arrêtée et, bien au contraire, a poursuivi son chemin dans la voix tracée par ses soins, affectant à divers niveaux l’unité politique du peuple français. D’où l’origine d’un malaise qui ne passe pas.
    Breizh-info.com : Pourquoi voulait-il l’indépendance ?
    Henri-Christian Giraud : Pour des raisons financières, car l’Algérie était coûteuse (l’exploitation du pétrole n’en était qu’à ses débuts) et pour éviter à la France, ce qui était louable, une algérianisation progressive de son territoire et de ses mœurs, mais le traitement gaulliste de l’affaire algérienne a finalement abouti à son exact contraire, car l’immigration a été rendue effective par les Accords d’Evian et, très précisément, par l’article 2 des dispositions générales de la Déclaration des garanties : « Sauf décision de justice, tout Algérien muni d’une carte d’identité est libre de circuler entre l’Algérie et la France » et par l’article 7 de la Déclaration relative à la coopération économique et financière, selon lequel tout Algérien a, à tout moment, la possibilité de venir résider en France et d’y bénéficier des avantages sociaux. C’est sous la présidence de De Gaulle entre 1962 et 1969 que l’immigration a plus que doublé (or elle avait déjà doublé entre 1954 et 1962) et pris son essor pour ne plus s’arrêter en raison notamment des politiques de ses successeurs.
    Breizh-info.com : Vous avez eu accès à des archives inédites ?
    Henri-Christian Giraud : Pour certaines, curieusement non exploitées comme les mémoires d’Alfred Sauvy et celles du commandant Vincent Monteil un arabisant distingué converti à l’Islam et auteur d’une note d’information qui a conduit de Gaulle à proposer dans sa conférence du 30 juin 1955 « l’intégration de l’Algérie dans une communauté plus large que la France » donc dans une ensemble fédéral. Phrase passée totalement inaperçue à l’époque. Aucun grand quotidien, ni le Monde, ni le Figaro, ni l’Humanité ne la mentionne. Quant aux archives inédites elles sont tirées du journal de Vinogradov, l’ambassadeur soviétique à Paris, à qui Gaston Palewski, le missi dominici de De Gaulle auprès du Kremlin depuis toujours (novembre 1940), annonce le 10 octobre 1956, trois semaines avant l’expédition de Suez, l’arrivée imminente de De Gaulle au pouvoir et son intention de négocier immédiatement avec les représentants du FLN. Ce faisant, de Gaulle renverse le triptyque de Guy Mollet : « cessez-le-feu, élections, négociations », et privilégie un processus politique plus en accord avec les exigences dudit FLN. Lorsqu’il affirme qu’il ne se sent bien que dans la tragédie, de Gaulle satisfait-il un besoin intime ? Nul doute qu’il agit à la fois par calcul et par tempérament. De Gaulle se voit en guerrier de la politique.
    Breizh-info.com : Comment expliquez-vous que le récit de la guerre d’Algérie soit si partisan, si idéologisé, si repentant aussi ?
    Henri-Christian Giraud : Pour arriver à ses fins, de Gaulle a dû convertir la victoire en défaite. Résultat : le 9 mars 1961, il accepte que le cessez-le-feu ne soit pas un préalable pour l’ouverture de négociations ; le 6 avril, il accepte que le FLN soit l’interlocuteur unique et le représentant exclusif du peuple algérien; le 5 septembre, il reconnaît la souveraineté algérienne sur le Sahara ; le 18 février 1962, il abandonne le sort des populations européenne et musulmane à la discrétion du FLN. La négociation a tourné ainsi à l’habillage diplomatique d’un abandon pur et simple et le 19 mars, c’est la France qui vient à Canossa, avec tout ce que cela veut dire d’humiliation à venir. On n’en est pas sorti avec un président qui a taxé la colonisation française de « crime contre l’humanité », bouclant ainsi à sa façon la boucle gaulliste. Et la France vaincue, enchaînée à sa défaite, n’en finit pas de la payer. Le piège gaulliste est devenu une machine infernale.
    Source :site Breizh.info

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  • Ces signes qui montrent que Macron ne fera pas 30 % le 10 avril

     
     
     

    Il est déjà réélu et ses partisans se concentrent, nous apprend Le Figaro, vendredi soir, sur la soirée de sa réélection et le jour de sa passation de pouvoir avec lui-même : 

    « Selon des sources concordantes dans l'entourage du Président, le décorum devrait être identique aux prédécesseurs. Pas de tapis rouge dans la cour et d'arrivée remarquée à l'Élysée : le chef de l'État réélu descendrait de son bureau jusqu'à la salle des fêtes, où le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius le proclamerait officiellement Président réélu, avant le 13 mai au soir, date d'expiration du mandat actuel. »

    On pourrait multiplier les déclarations actant que les jeux sont déjà faits, les plus convaincues émanant des LR assurés de la défaite de Pécresse : Guillaume Larrivé, cette semaine, plaidait déjà pour une alliance avec la majorité macroniste. Larrivé, ce n'est plus le ralliement de 20 h 02, c'est la trahison à J-20 !

    Il y a donc, dans cette étrange campagne, deux états d'esprit : les sûrs d'eux, sûrs de leur victoire écrasante (Macron 30 %) ou sûrs de leur défaite inévitable (les Verts et la gauche hors Mélenchon). Et puis il y a les autres, qui se battent pour la 2e ou la 3e place : Zemmour, Pécresse, Mélenchon, Le Pen.

    Ces mêmes sondages, cette semaine, devraient leur redonner espoir. Ce n'est pas claironné, mais c'est la réalité : Macron baisse fortement, de trois points.

    C'est le JDD qui a fait la synthèse : « Après l’embellie de début mars, puis la stagnation la semaine dernière, le voilà sur une pente glissante. Emmanuel Macron est crédité vendredi de 28,4 % des intentions de vote, selon notre moyenne réalisée tout au long de cette campagne à partir des cinq dernières enquêtes. Le chef de l’État a donc perdu environ 3 des 5 points qu’il avait gagnés après l’irruption de la guerre en Ukraine dans le débat politique en France. Les dynamiques ayant leur importance, surtout à deux semaines du premier tour, il s’agit d’un premier signe d’alerte pour le Président-candidat, qui semblait jusque-là assez tranquille. »

    Et puis il y a la (non-)campagne du Président sortant sur le terrain. L'envoyé spécial du Monde à son meeting de Nice in absentia doit se rendre à l'évidence : « En ce mercredi 23 mars, les macronistes tiennent meeting au palais Nikaïa. Sans leur candidat, resté à Paris pour accorder une interview à M6, avant de s’envoler pour le sommet de l’OTAN et le Conseil européen, à Bruxelles, jeudi et vendredi. La salle, d’ailleurs, se révèle trop grande en l’absence du favori des sondages ; des rideaux noirs ont été tirés pour cacher les gradins vides. Un peu moins de 2.000 personnes s’installent sans faire de bruit. “Ils sont chauds ! Ils sont chauds !”, s’époumonent les deux speakers contre l’évidence. » Chauffage de salle froide façon Marlène Schiappa. Si l'on ajoute qu'il y avait plus d'une centaine d'élus sur ces « moins de 2.000 », on mesure que l'enthousiasme en faveur de Macron est à relativiser. Le journaliste du Monde parle même de « semblant de ferveur »...

    Cela n'empêche pas un Christian Estrosi, désormais fervent macroniste, après avoir été chiraquien et sarkozyste, de prédire le « basculement » des Alpes-Maritimes vers Macron, qu'il croit discerner dans l'effacement de Valérie Pécresse. Si l'électorat LR le plus modéré, là comme ailleurs, se ralliera certainement à Macron dès le premier tour, il semble oublier que la droite qui domine chez lui est la droite Zemmour-Le Pen : en 2017, Fillon (sur une ligne Trocadéro) et Le Pen y avaient viré en tête à 27 % chacun, devant Macron à 19 %. Or, les mêmes sondages qui indiquent -3 points pour Macron accordent +2 points à Marine Le Pen, à 19,3 % au niveau national. Si l'électorat de la vraie droite se remobilise dans les quinze jours et si le peu de ferveur autour du Président sortant se poursuit, Emmanuel Macron ne fera certainement pas 30 % le 10 avril, ni à Nice, ni en France.


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  • RÉVÉLATIONS de la Députée Virginie Joron sur une ONG MYSTÉRIEUSE financée par BILL GATES, COCA COLA…

    PAR Thomas


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  • Corse, Bretagne, Pays basque : en marche vers la fin de la nation française ?

     
     
     

    C’était à prévoir. Après la visite express de Gérald Darmanin en  sous la pression de la rue et des violences autonomistes, après avoir, dans la foulée, lâché le mot autonomie avec, dans le viseur, l’achat de la paix sociale à trois semaines du scrutin présidentiel, tout ce que la France compte d’indépendantistes et d’autonomistes sort du bois.

    Le 21 mars dernier, dans un communiqué envoyé à la rédaction de Ouest-France, le FLB (Front de libération de la Bretagne) et l’ARB (Armée républicaine bretonne) affirmaient prendre « acte que le peuple n’est écouté par le gouvernement qu’à la suite d’actions violentes »

    L’affaire corse, plus que la révolte des gilets jaunes, est effectivement l’une des expressions d’un État affaibli, en débandade.

    Folklore ? Peut-être. La formulation sommaire peut le laisser penser, même si la réunification administrative de la Bretagne (mais pas son autonomie), avec le rattachement de la Loire-Atlantique à la région, a été demandée expressément par près de 200 élus, dont le député LR Marc Le Fur, le maire PS de Paimpol Fanny Chappé, la conseillère régionale EELV Claire Desmares, le député LREM Yannick Kerlogot ou le président LR du conseil départemental du Morbihan David Lappartient (20 Minutes). À cet effet, le plus grand drapeau breton du monde a été déployé, le 20 février dernier, à Nantes.

    De leur côté, les Basques ne sont pas en reste. Ils se sont, comme les Bretons, saisis de cette « fenêtre de tir » obligeamment ouverte par le ministre de l’Intérieur. Selon Jean Chichizola, du Figaro« si des négociations s’ouvrent sur la Corse, elles motiveront les militants du côté de Bayonne. Bake Bidea et les Artisans de la paix veulent déjà mettre la pression sur Paris en menant un mouvement de « désobéissance civile », avec une prochaine action annoncée pour le 2 avril. »

    Les revendications basques ressemblent à celles des Corses : si l’organisation terroriste ETA a été dissoute en 2018, la question des prisonniers reste le point de cristallisation. Le rapprochement géographique a été accordé (ils sont détenus dans des prisons du Sud-Ouest) mais les organisations indépendantistes réclament la levée du statut de « détenu particulièrement signalé » pour quatre d’entre eux. Ce qui avait été accordé à la hâte aux Corses après l’agression d’Yvan Colonna.

    La question de l’autonomie est particulièrement délicate : si l’on accordait à la  ou au Pays basque le statut de la Polynésie, par exemple, celui-ci devrait être inscrit dans la Constitution, comme l’article 74 pour les communautés d’outre-mer. Anne-Marie Le Pourhiet, professeur de droit constitutionnel à l’université de Rennes, soupire : « Si nous touchons à la Constitution pour la Corse, toutes les minorités vont arriver en embuscade… D’une certaine façon, il suffirait d’enlever le qualificatif d’outre-mer à l’article 74 pour que demain, non seulement la Corse mais Belfort, les Bretons ou les Basques puissent accéder à un statut comparable. » En effet, explique-t-elle au Figaro« aujourd’hui, en ayant mis les doigts dans l’engrenage corse, on ne voit pas comment le gouvernement pourrait ne pas concéder demain à l’Alsace ou à la Bretagne ce qu’elles exigeraient ».

    Cette contagion de revendications autonomistes – qui sont bien différentes d’un légitime régionalisme – à l’heure où la France, traversée par de multiples fractures, est fortement déstabilisée, est le signe, explique, dans Le Figaro, le géographe Laurent Chalard, « d’une fatigue de France. Les dirigeants eux-mêmes n'ont plus vraiment de certitudes sur ce qui constitue l'identité de leur État-nation. Ils ont tendance à voir leur pays comme un objet mouvant dans la mondialisation anglo-saxonne, mais qui n'est plus culturellement identifié. » Car, explique-t-il, « face à une identité nationale qui a tendance à être de plus en plus multiculturelle, beaucoup de Français ne s'y reconnaissent plus, tout en ressentant toujours le besoin d'un ancrage, d'une identité. Si l'ancrage national faillit, reste l'ancrage régional. »

    Aujourd’hui, Emmanuel Macron, tout occupé à défendre l’intégrité et la souveraineté de la nation ukrainienne, n’est même plus capable de voir le danger mortel que court son propre pays. Aussi, on peut douter des promesses grandiloquentes faites aux Français : « Je vous protégerai » !


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