• planetes360

     Un à un les pédocriminels sont entrain de tomber. 

    Ils passent à la télé, se vantent de leurs “exploits” et font la morale au peuple. Cependant, nous n’oublions rien. Voici la première partie qui sera immanquablement suivie d’autres volets.


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  • Par: Pieds Noirs 9A..

    Article N°6330 du samedi 16 janvier 2021..

    Depuis le confinement et le re-confinement , c’est le grand défoulement d'une anti-France prospère 

    Les deux roues déferlent dans la cité, terrorisant les piétons. Les sans-papiers (immigrés illégaux) manifestent impunément au grand jour et dans l’illégalité. Les voyous prétendent imposer leurs lois hors de leurs quartiers et essayer de désarmer police et gendarmerie. Faute de place ou pour des raisons obscures d’insalubrité, les criminels sont remis en liberté par milliers ,pour pouvoir détruire un peu plus la France . Pour un oui ou pour un non des chauffeurs de bus, des jeunes sont tabassés à mort, etc.

    Territoires - Inégalités. Cette France qui se sent abandonnée

    On pouvait espérer avoir touché le fond de l’inversion des valeurs et du laxisme idéologique. Erreur ! C’était sans compter sur les manipulateurs de l’anti-France : Il restait le négationnisme historique, c’est-à-dire la négation des faits au service d’idéologies destructrices de notre civilisation. C’est fait ,tout est en place avec le bandeau devant les yeux de nos politiciens.

    À peine ceints de leur écharpe tricolore, de nouveaux élus pastèque (vert dehors, rouge dedans), ont trouvé intelligent d’emboîter le pas aux mouvements américains. Ils trouvent indispensables, nécessaires à la repentance collective, inaugurée par Jacques Chirac et continuée par ses successeurs, que nous nous frappions la coulpe en permanence et que nous mettions un terme à l’exploitation des minorités noires supposées discriminées. Et de dresser un tribunal de l’Histoire. Le crime ? Le colonialisme et l’esclavagisme. Les coupables ? Les abominables blancs Français (les Anglais et les Belges n’ont pourtant pas été en reste), ces commerçants bordelais ou nantais, ces Colbert (dont le code noir était perçu comme un progrès social par rapport à rien), ces Voltaire, ces Joséphine de Beauharnais, ces Jaurès exploiteurs de la misère humaine. Il faut déboulonner leurs statues, changer le nom des rues, jeter leurs cendres à la mer. Bref ces nouveaux Fouquier-Tinville veulent faire justice du passé.

    La repentance unilatérale en France, ça suffit ! Quels sont les états africains, quels sont les états musulmans, quels sont les gouvernements d’Algérie ou d’ailleurs qui ont condamné l’esclavage que leurs ancêtres ont pratiqué pendant des millénaires ? Quid de la traite négrière transsaharienne des Arabes ? Quid de ces millions d’hommes noirs ou blancs châtrés, de ces femmes blanches enfermées dans les harems ? Le port d’Alger était encore au XIX° siècle un repaire d’esclavagistes musulmans. L’île de Gorée au Sénégal s’est érigée en un mausolée anticolonialiste à la mémoire de ces millions de malheureux achetés par les européens. Sauf qu’il n’y est pas inscrit en lettres capitales que ces pauvres Noirs ont été vendus par leurs frères et que les européens n’ont fait qu’exploiter la mine. Ils ne l’ont pas créée ! Au contraire, ils ont été les premiers (les Français en 1794 et 1848, les Anglais en 1815) à abolir et à interdire la traite des êtres humains.

    Que des racailles, qui n’ont fait que de courts et inutiles séjours à l’école, soient ignares de l’histoire de leurs parents et de l’histoire tout court est tristement affligeant, mais se comprend. Que les journalistes véreux pour justifié leurs paye de fin de mois , les politiques sur fauteuils dorés dont l'argent ne leurs tombe pas du ciel ,mais du contribuable, leur emboitent le pas est sidérant. La situation actuelle illustre la dérive et la faillite de l’école laïque et républicaine depuis la débandade de Mai 68. Qui osera reprendre en mains cette école du droit chemin, et l’obliger à des résultats autres que des examens de complaisance ? L’avenir de notre culture et de notre civilisation est en jeu.

    Pieds Noirs 9A..


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  • Démission imminente de Macron : les indices qui accréditent cette hypothèse


    Depuis plusieurs semaines, une hypothèse circule, nourrie discrètement et à son corps défendant par l'entourage du Président de la République : pour éviter un désastre complet en 2022 ou, en tout cas, une forte prise de risque face à Marine Le Pen (qui gagne des points en se taisant et en perd en prenant la parole), voire pour éviter une élimination dès le premier tour, par exemple face à Xavier Bertrand, Emmanuel Macron prendrait tout le monde de vitesse en démissionnant de son poste au début du mois d'avril.  
    Il disposerait alors d'une trentaine de jours pour organiser un nouveau scrutin auquel il se présenterait en position de force, faute d'un véritable rival susceptible de gagner. Comme toujours, ces hypothèses sont soumises à de nombreuses cautions. Sauf que... deux indices (que nous qualifierons de signaux faibles) laissent à penser que l'hypothèse d'une démission du Président dans les 3 mois ne repose pas que sur du sable.
     

    Depuis plusieurs semaines circule (dans les milieux autorisés) l’hypothèse selon laquelle Emmanuel Macron serait tenté de démissionner pour mieux se légitimer dans l’opinion à l’heure où la lutte contre les déficits va obliger à des arbitrages douloureux. Dans la pratique, on sent tous que, si le climat actuel dans l’opinion ne lui est pas favorable, il ne pourra aller qu’en se dégradant sous le poids des contraintes économiques. Attendre sagement 2022 pour se faire réélire ne coule donc pas de source, et il existe des arguments théoriquement valables pour provoquer un referendum dès 2021.

    Les arguments qui plaident en faveur d’une élection anticipée

    L’argument principal qui milite en faveur de cette prise de risque, c’est le calendrier des autres candidatures. En 2017, Emmanuel Macron était passé de peu au second tour, talonné par François Fillon. Structurellement, il pourrait cette fois, compte tenu de son impopularité, souffrir d’une candidature Bertrand ou autre, et connaître le même sort que Lionel Jospin en 2002. 

    Son intérêt objectif consiste donc à prendre de vitesse un éventuel candidat de droite, sachant que la gauche devrait aligner au moins quatre candidats (Mélenchon, Jadot, Montebourg et Hidalgo). Cette stratégie d’accélération a d’autant plus de sens que, économiquement, la situation de 2022 devrait être pire encore que celle de 2021. Il y a donc un risque moins grand à se présenter à l’élection maintenant plutôt qu’à la date prévue, en assumant un bilan dégradé et des candidats préparés et rodés. 

    Si ce genre d’hypothèses est toujours compliqué à trancher, deux signaux faibles laissent à penser que le Président n’a pas exclu (à défaut d’avoir choisi clairement) de la mettre en oeuvre au printemps.

    Le signal faible de la réforme constitutionnelle

    Premier signal faible qui laisse à penser qu’une démission prochaine pourrait avoir lieu : le calendrier de la réforme constitutionnelle avance. On sait désormais que le projet de loi intégrant la lutte contre le réchauffement climatique à la Constitution sera présenté le 10 février au Conseil des Ministres

    Cette présentation devrait ouvrir une séquence « écologique » qui permettra à Emmanuel Macron de ratisser à gauche et de se donner une image plus consensuelle. Ce projet sert évidemment des buts électoraux. Dans un premier temps, on avait pensé que le projet de loi serait déposé au deuxième semestre 2020. Le fait que sa discussion commence très rapidement montre que le Président veut s’ouvrir un nouveau couloir dans le quinquennat et qu’il veut se redonner de l’air sur sa gauche, en coalisant les bonnes volontés sur le thème du « monde d’après ». 

    On comprend implicitement que la campagne présidentielle devrait se faire sur le thème de la nature et de l’écologie, où il est plus facile de caresser l’opinion dans le sens du poil que sur la thème du redressement. Mais, tactiquement, Emmanuel Macron devrait chercher le plébiscite sur un programme fiscal et budgétaire traduisant la transition énergétique et écologique dans les chiffres, ce qui permettra de curiacer les réticences de droite.

    Les députés LREM commencent discrètement leur campagne

    Autre signal faible : les députés LREM ont commencé leur campagne de terrain comme si les élections devaient arriver plus tôt que prévu. C’est notamment le cas du bien informé ex-sous-ministre Mounir Mahjoubi, qui arpentait le marché de la place des Fêtes, à Paris, ce dimanche, après trois ans et demi de brillante absence. 

    Pour le coup, ce signal peut être diversement interprété. Mais, dans l’hypothèse où cet ancien responsable de la plate-forme numérique d’En Marche aurait eu vent de quelques intrigues sous cap ourdies dans les allées du pouvoir, sa présence très surprenante sur un terrain qui l’a élu (et qui a infligé une défaite en rase campagne à sa majorité aux dernières municipales) constitue un élément d’éclairage supplémentaire. 

    Tout cela repose bien entendu, in fine, sur la capacité d’Emmanuel Macron à prendre une décision difficile et à s’y tenir. Et sur ce sujet, le Président n’a guère fait ses preuves.


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  • Le préfet Lallement, le procureur de Paris et trois magistrats dans le collimateur de la Justice

    Selon 20 Minutes, le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) enquête depuis plusieurs jours sur des soupçons de « faux témoignage » visant cinq hautes personnalités de la magistrature et de la police : le préfet Lallement, le procureur de Paris et trois magistrats. « Une enquête est en cours. Tous ces signalements font l’objet d’un traitement groupé », confirme à 20 Minutes le parquet de Nanterre sans vouloir « communiquer davantage » sur le sujet.

    Toujours selon 20 Minutes, cette procédure fait suite aux travaux de la commission d’enquête sur l’indépendance de la justice présidée par le député (LFI) du Nord, Ugo Bernalicis. Le 2 septembre, en marge de la présentation du rapport, celui-ci avait indiqué avoir signalé à la justice des soupçons de « parjure » visant plusieurs personnalités auditionnées par la commission. Mettant en cause des magistrats parisiens, le dossier a, depuis, été dépaysé à Nanterre où il fait donc l’objet d’une enquête.

    À suivre !

    Source : http://lalettrepatriote.com


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  • Morte 2 heures après la vaccination, "rien ne permet de conclure que ce décès est en lien avec la vaccination." Circulez, il n'y a rien a voir !

     

    Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19


    Le deuxième comité de suivi dédié à la surveillance des effets indésirables rapportés avec les vaccins COVID-19 s’est tenu le 14 janvier 2021 avec le réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV).

    Six effets indésirables graves avec une évolution favorable ont été observés en France avec le vaccin Comirnaty de Pfizer/BioNTech lors de cette troisième semaine de vaccination : 4 cas de réactions allergiques et 2 cas de tachycardie.

    L’ANSM a également été informée du décès d’une personne résidant en EHPAD et vaccinée contre la Covid-19 le 13 janvier avec le vaccin Comirnaty. 

    Aucun effet indésirable immédiat n’a été constaté suite à la vaccination. 

    Le décès est intervenu environ deux heures après la vaccination. 

    Le patient ne présentait pas de signes physiques de réactions allergiques. Au regard de ces éléments, des antécédents médicaux et du traitement lourd de la personne, rien ne permet de conclure que ce décès est en lien avec la vaccination. 

     

    Une trentaine de cas d’effets indésirables non graves en lien avec le vaccin Comirnaty ont par ailleurs été enregistrés dans la base nationale de pharmacovigilance.

    Suite à la survenue de cas de paralysies faciales dans d’autres pays avec le vaccin Comirnaty, une expertise a été demandée à un centre de pharmacovigilance. L’analyse de ces cas étrangers confirme que ces troubles surviennent de façon extrêmement rare avec une incidence qui ne dépasse pas celle observée chaque année en période hivernale dans la population générale.

    Le premier rapport hebdomadaire sur l’ensemble des cas rapportés en France sera publié la semaine prochaine à l’issue du troisième comité de suivi. Un rapport sera ensuite publié toutes les semaines.

    L’ANSM, en lien avec le réseau des CRPV, pourra communiquer à tout moment si un signal de sécurité est identifié

    Pour en savoir plus sur le suivi de pharmacovigilance, les objectifs et le périmètre de l’enquête disponibles sur notre site internet .


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