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  • L’image contient peut-être : 1 personne, texte qui dit ’Mr le président, pourquoi avoir pas souhaité un Joyeux Noël aux Français ? Mais?... Où ovez-vous Vu qu'on fêtait Noël dans un pays musulman ?’


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  • Ces morts qui continuent à toucher leur pension de retraite en AlgériePosté par: Pieds Noirs 9A..

    Ces morts qui continuent à toucher leur pension de retraite en Algérie

    LA FRANCE ENDORMIE !

    Quand des retraités ou couples de retraités rentrent en Afrique du Nord, la mauvaise tenue de l'état civil permet à des veuves de ne pas déclarer le décès de leur mari et de continuer à toucher sa pension de retraite Française.

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    Fraude institutionnalisée : ces morts qui continuent à toucher leur pension de retraite en Algérie

    Ah l’Algérie ! Ses palmiers, son désert, ses vieillards immortels… Avez-vous entendu courir la rumeur ? Notre grand voisin du sud serait devenu le repaire de milliers d’éternels retraités, dont la famille ne déclarerait jamais le décès afin de continuer de percevoir les pensions venues de France. Ce trafic éhonté, sur lequel notre administration n’aurait guère de prise, durerait depuis des années et coûterait tous les ans des centaines de millions d’euros à notre système de protection sociale. Dans les cercles parisiens, rares sont ceux qui osent l’évoquer, de peur d’être accusés de véhiculer une grossière "fake new" teintée de racisme. Eh bien renseignements pris, l’information est tout à fait exacte. C’est Rolande Ruellan, l’ancienne présidente de la 6e chambre de la Cour des comptes, qui, la première, a débusqué cette étrange entourloupe début 2010.

    Dans une audition devant la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale, elle s’est étonnée de la "longévité des ressortissants algériens bénéficiant d’une retraite française en Algérie" et s’est demandé par quel miracle "le nombre de pensionnés algériens centenaires enregistrés dans nos caisses de retraite" pouvait être supérieur à celui "des centenaires recensés par le système statistique algérien…" L’annonce a aussitôt embrasé la toile, avant de retomber comme un soufflet, laissant quelques compulsifs tenter de décompter les faux cacochymes de l’autre côté de la Méditerranée… Il y a deux ans, la même 6e chambre a remis le couvert en rendant publique une enquête qui étayait les propos de son ex-présidente. Les magistrats y confirment l’existence officielle de nombreux retraités d’un âge canonique – plus de 115 ans ! – non seulement en Algérie, mais dans plusieurs autres pays qui ne figurent pourtant pas dans le hit-parade de la médecine mondiale. Ils y soulignent aussi les innombrables incohérences qui émaillent les fichiers de nos différentes caisses sociales, ainsi que la faiblesse des contrôles diligentés.

    Nous le savons depuis des années mais cette fois-ci c'est M6 qui en parle dans l'émission Capital. Pendant que nos anciens touchent des retraites de misère, l'Algérie se goinfre frauduleusement avec l'argent des Français.


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  • « Opération Pièces jaunes » : un rappel

    Voici comment ça se passait il y a quelques années, avec la mère Chirac.

    Attention, nous ne disons pas que cela se passe toujours ainsi et que Brigitte Macron fait toujours de même. Mais c’est bon de se rappeler comme on se moque de nous, y compris des enfants.

    Aucune description de photo disponible.

    Source : contre-info.


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  • "DROIT DE CUISSAGE", "PROMOTIONS CANAPÉ" À LA MAIRIE DE DRAVEIL: GEORGES TRON ET BRIGITTE GRUEL DE RETOUR AUX ASSISES

    Ambre Lepoivre

    Brigitte Gruel et Georges Tron sont jugés en appel pour des faits de viols et agressions sexuelles entre 2007 et 2010.

    Brigitte Gruel et Georges Tron sont jugés en appel pour des faits de viols et agressions sexuelles entre 2007 et 2010. GEOFFROY VAN DER HASSELT et JACQUES DEMARTHON

     
    Les accusations de viols et agressions sexuelles pèsent depuis 2011 sur le maire de Draveil et son ex-adjointe. Acquittés en première instance, ils comparaissent en appel à partir de ce mardi.

    Le "climat hyper sexualisé" à la mairie de Draveil va, à nouveau, occuper les débats à la cour d’assises de Paris. Georges Tron et Brigitte Gruel doivent comparaître à partir de ce mardi pour répondre, en appel, aux accusations de viols et agressions sexuelles formulées par deux anciennes collaboratrices, Eva Loubrieu et Virginie Faux. Toutefois, l'ancien Secrétaire d'État a été déclaré cas contact lundi, et le procès pourrait donc être renvoyé.

    Les deux femmes reprochent à l’édile de Draveil (Essonne) ainsi qu’à son ex-adjointe d’avoir abusé de leur position pour obtenir des faveurs sexuelles de leur part entre 2007 et 2010. Face aux enquêteurs, Eva Loubrieu dépeint une "sorte de rituel" débutant par des séances de réflexologie plantaire et aboutissant systématiquement à des attouchements et des pénétrations digitales non consentis.

    "Rituel" et "droit de cuissage"

    Virginie Faux rapporte des faits similaires ayant eu lieu dans le bureau du maire, rideaux tirés, porte fermée à clé, et au domicile de Brigitte Gruel. Elle dénonce un "droit de cuissage" dans lequel elle s’est sentie emprisonnée, tétanisée par la peur de perdre son emploi si elle ne cédait pas aux avances du binôme.

    Virginie Faux lors du procès en première instance, le 12 décembre 2017.Virginie Faux lors du procès en première instance, le 12 décembre 2017. © JACQUES DEMARTHON

    Ce comportement de Georges Tron semble connu de tous à la mairie, d’après les auditions menées lors de l’enquête ouverte en 2011. Outre les multiples relations intimes entretenues par l’ex-secrétaire d’État, Brigitte Gruel et d’autres femmes de la mairie, nombreuses sont les employées de l’hôtel de Ville qui témoignent avoir été soumises à des "promotions canapé".

    "Si tu veux être directrice, il va falloir être bien gentille ma petite", raconte l’une d’elle après avoir repoussé la main du maire - toujours en poste - posée sur sa cuisse.

    Une autre déclare, au cours d’une conversation téléphonique enregistrée, qu’il lui a encore "proposé un plan à trois (...) Il n’est pas guéri (...) Si l’affaire est classée il recommencera puissance 10".

    Mensonges et incohérences

    Après un premier classement sans suite, l’affaire est finalement renvoyée devant les juges en 2018. Mais plusieurs failles dans le dossier d’accusation ternissent les dires des plaignantes. En effet, l’un des viols dénoncés par Virginie Faux aurait eu lieu le 12 novembre 2009, à l’issue d’un repas à la mairie de Draveil. Or, les vérifications des emplois du temps démontrent une incohérence, le déjeuner ayant eu lieu le 19 novembre.

    Celle-ci a par ailleurs menti au sujet d’un cancer de l’utérus dont elle disait souffrir. Mais, selon elle, il s’agissait d’une invention pour se protéger des agressions commises par le duo. Quant à Eva Loubrieu, des SMS "tendres" et "suggestifs" envoyés à Georges Tron lui sont opposés.

    "Je vous embrasse et plus…", "Appelez-moi si vous éprouvez la moindre envie", "Je vous suis entièrement disponible", lui écrivait-elle.

    Eva Loubrieu lors du procès en première instance, le 12 décembre 2017.Eva Loubrieu lors du procès en première instance, le 12 décembre 2017. © JACQUES DEMARTHON

    Des mots qui remettent en cause la contrainte qu’elle dénonce au moment des faits reprochés. Pour elle, au contraire, il s’agit de l’expression de sa soumission pour conserver son emploi.

    Acquittement en 2018

    Pas convaincu par leur défense, l'avocat général avait, au premier procès, requis six ans de prison ferme contre Georges Tron et quatre contre Brigitte Gruel, finalement acquittés au motif que la contrainte - qui caractérise le viol et l'agression sexuelle dans le code pénal - n’était pas démontrée.

    "En première instance, la cour d’assises a reconnu la réalité des faits dénoncés. Cette fois-ci, on va tout faire pour obtenir la reconnaissance de la contrainte", explique à BFMTV.com Me Loïc Guérin, avocat d’Eva Loubrieu, qui estime qu’elle "mène le combat avec beaucoup de courage".

    Et de poursuivre: "Il faut sortir de la définition basique de la contrainte. Elle n’est pas caractérisée uniquement quand un inconnu vous saute dessus et a recours à la force physique."

    Vengeance ou complot?

    Cette affaire, qui a éclaté dans le sillage de celle du Sofitel de New York impliquant Dominique Strauss-Kahn en mai 2011, a poussé Georges Tron à démissionner du secrétariat d'État à la Fonction publique dans le gouvernement Fillon. Il a néanmoins toujours nié les faits, arguant d’un complot politique.

    De la même manière, Brigitte Gruel continue de tout rejeter en bloc. Elle affirme, lors de ses auditions, que les plaignantes ont voulu se venger d’elle car elle avait remarqué que "Virginie Faux ne travaillait pas et qu’Eva Loubrieu avait détourné des fonds". Cette dernière, âgée de 63 ans, "entend réaffirmer à la barre de la cour d'assises son innocence et défendra son honneur", indique à l'AFP son avocat, Me Frank Natali. Le procès doit se tenir jusqu'au 12 février.

    Ambre LepoivreJournaliste BFMTV

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