Le terme « barbouzes » a été inventé par Dominique Ponchardier, agent secret et écrivain à qui on doit le personnage du gorille
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Le casse du siècle : il y a trente ans, les Français ratifiaient Maastricht
La France a-t-elle encore une marge de manœuvre face au totalitarisme européen ? Lorsque Emmanuel Macron accourt au devant des souhaits émis par la commissaire européenne Ursula von der Leyen concernant l’injection de soi-disant réfugiés dans nos campagnes, on peut en douter.
En fils spirituel zélé de Giscard et de Mitterrand, tous deux fervents partisans du oui au référendum du 20 septembre 1992, Macron pousse jusqu’au bout la trahison de Maastricht. Et fait apparaître la machination politique vendue à grands coups de sirop de rêve et de mensonges éhontés.
Il suffit pour s’en convaincre de réécouter les avocats du référendum, rois du culot et de l’esbroufe gratuite. Un hold-up réalisé par la quasi-totalité de la classe politique. Excepté la gauche de Chevènement et une partie de la droite rassemblant Pasqua, Villiers et Le Pen, tout le personnel politique s’est mobilisé pour le oui au référendum : Giscard, Barre, Chirac, Delors, Fabius, Balladur, Jospin ont hurlé avec les zélateurs de l’Europe de Maastricht, offrant ainsi à Mitterrand son bâton de maréchal. Les grands médias, à une ou deux exceptions près, sont unanimes. Tous chantent les louanges des temps qui viennent et plaident pour le oui. Tous volent au secours de la victoire, tant l’avance du oui est large dans les sondages. Les chaînes et les radios d’État s’en donnent à cœur joie.
Une fois de plus, Jean-Marie Le Pen a perçu la gravité de l’enjeu. Le dimanche 6 septembre, à Reims, il a mobilisé ses troupes et tenté de réveiller chez les Français les qualités qui ont fait leur histoire. Il a évoqué les grandes pages de l’Histoire d’une nation menacée : les rois, Vercingétorix, Saint Louis, Jeanne d'Arc, les « poilus » de Verdun... Le traité de Maastricht proposé au vote des Français est « honteux, illégitime, illégal, irrégulier », plaide-t-il. Ceux qui le soutiennent basculent dans une « forfaiture » en livrant ainsi « notre drapeau à une synarchie anonyme ». « Levez-vous, lance Le Pen, pour bouter hors les complices de la trahison ! »
Mais les médias de masse ironisent et attaquent avec violence. Comme toujours, il y a d’un côté le bien, de l’autre le mal. D’un côté la générosité, de l’autre l’égoïsme. D’un côté l’avenir, de l’autre le passé. D’un côté les gentils ouverts, de l’autre les méchants refermés. La communication politique des puissants avance en rouleau compresseur avec ses gros sabots. Si gros que, lorsque le champion du oui, Mitterrand, retrouve, le 3 septembre 1992, l’autre champion du non, Séguin, dans un duel télévisé déterminant sous la houlette du journaliste Guillaume Durand, l’avance des partisans du oui a fondu au soleil.
Alors Mitterrand se surpasse là où il est le meilleur : dans le mensonge. Séguin attaque sur les vrais enjeux : « Je suis venu parler de risque démocratique », lance-t-il. Il évoque « l’évolution vers le fédéralisme » et veut expliquer pourquoi il est « si attaché à la souveraineté nationale ». Mitterrand l’interrompt : « Moi aussi, moi aussi ! » Mensonge. Séguin cite de Gaulle : « Pour moi, la démocratie est inséparable de la souveraineté nationale. » Mitterrand plaisante, badine sur l’alternance gauche-droite. Et ment : « Nos institutions nationales sont entièrement respectées : gouvernement, Parlement, corps intermédiaire […] » Sauf qu’elles ont transféré à l’Europe une grande partie de leur pouvoir. Et d’insister : « La France ne va pas se soumettre à une domination étrangère comme si on avait perdu une guerre », et il vante aussitôt « une diplomatie commune », comme si la diplomatie n’était pas un attribut de la souveraineté française. Mensonge, encore. « Les jeunes vivront dans une communauté tout en préservant leur patrie, celle qu’ils aiment avant toute chose, sauf qu’ils en auront conquis une deuxième, l’Europe, notre Europe ! » ajoute-t-il. Deux patries ? Énorme mensonge. Impressionné par un Mitterrand en fin de vie, Séguin lui donne sans cesse du « Monsieur le Président » qui déséquilibre cette lutte vitale pour la France.
Le 20 septembre 92, le oui l’emporte… de justesse, avec 51,04 % des voix. Près de vingt ans plus tard, le 24 janvier 2011, Jacques Attali, conseiller de Mitterrand très impliqué dans la campagne pro-Maastricht, se frotte les mains lors d’une intervention à l'université participative organisée par Ségolène Royal sur le thème « La crise de l'euro ». « On a soigneusement oublié d’écrire l’article qui permettait de sortir [du traité], explique-t-il, ravi de son coup. Ce n’était pas très démocratique… », mais idéal pour « nous forcer à avancer ».
Depuis l’origine, même avant la gifle de 2005, l’Europe déploie ainsi avec la démocratie les rapports charmants d’un violeur avec sa victime. La France n'a pas perdu une guerre, elle a tout de même perdu cette bataille. Provisoirement...
Marc Baudriller
Source : http://bvoltaire.fr
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Article N°HB 055 de décembre 2012 dans Archives ..
LES BARBOUZES sous le régime de DeGaulle ..C'est le nom donné par Dominique Ponchardier, un aluminé de romans d'espionnage. Spécialiste dans les renseignements pendant la dernière guerre mondiale a entrevue une occasion de se faire du fric avec l'affaire Algérienne. Bombardé ensuite pour sa fidélité au grand De Gaulle, comme ambassadeur de France en Bolivie. Là, il a pu se consacrer à la recherche de ses nouveaux personnages pour ses romans.
Ainsi va la vie. " Le fric ".
Donc " les barbouzes " une armée parallèle mixte, civile, militaire et recrutement dans la racaille du petit et grand banditisme. Mis en place pour combattre les partisans de l'Algérie Française par De Gaulle et dirigée par Debré.
Carte blanche était donnée aux barbouzes pour mettre fin d'une façon ou d'une autre à la résistance de gens désespérés qui savaient les conséquences et pour la France, et les populations profrançaises d'Algérie.
De Gaulle avait mis en place, après la tentative des Généraux, des officiers, des fonctionnaires et des politiques dévoués aveuglement à sa cause. Tous les postes importants dans l'administration, dans la gendarmerie et points stratégiques comme la télévision, les aéroports avaient changé de mains.
Donc les barbouzes pouvaient en toute impunité agir dans tout les départements français d’Algérie.
Des locaux étaient mis à leur disposition dans les compagnies de gendarmerie, dans les villes importantes de façons à former une toile d'araignée.
La gendarmerie fournissait les véhicules et les renseignements.
C'est ainsi qu'Ain-Témouchent, l'adjudant-chef commandant la brigade, me demandait de boire l'anisette avec les pieds-noirs pour obtenir des renseignements contre l'OAS et les remettre au responsable barbouze du coin. Ma réponse a été catégorique, " je ne suis pas gaulliste ".La pièce de torture se trouvait dans une pièce de la compagnie. Une activité toute particulière régnait de nuit. Les véhicules arrivaient avec des personnes arrêtées en dehors des heures légales. Les interrogatoires se poursuivaient sans relâche. Rien ne transpirait. Le secret total était conservé. Seul notre ivrogne d'adjudant-chef se pavanait et s'entretenait avec un adjudant détaché à la section des barbouzes avec un gendarme aussi con qu'eux. Ils prenaient des airs mystérieux, conspirateur et discutaient à voix basse les yeux regardant la pointe de leurs chaussures. Le capitaine de la compagnie, un inconditionnel de De Gaulle ou a ses gallons, encore un autre ivrogne affecté après le putsch, se prenait pour dieu-le-père. Il renseignait les fellaghas sur les hommes de l'OAS. Il encourageait le FLN local à suivre la politique de De Gaulle.
Deux ou trois mois avant l'indépendance il faisait distribuer aux FLN toutes les armes saisies aux pieds-noirs par les gendarmes mobiles.
Les gendarmes mobiles ne se sont pas gêner pour se servir des plus belles armes de collection et les arborer en bonne place chez eux pour épater les amis. Comme les médailles. Je ne reviendrai pas ici pour raconter comment la plupart ont obtenu les leurs. Je l'ai déjà dit par ailleurs.
Ont les appelaient " la rouge " à cause du liserait rouge entourant leur képi. Cette allusion était faite pour démontrer qu'ils avaient du sang de Français dans les mains. Quelque temps après le liserait devint jaune.
Comme pour l'assassinat de Darlan par La Chapelle à qui héritèrent tous les deux sur leurs tombes de " Mort pour la France ". Les barbouzes eux pour actes de bravoures à torturer d'autres Français recevaient les mêmes médailles que les gens honnêtes qui luttèrent pour que vive l'Algérie Française. Cette situation était la même sur toute l'Algérie.
L'Armée n'existait que par son manteau de honte. Les officiers supérieurs de salons, avaient pris la place des valeureux Généraux qui brisèrent leur carrière et sacrifièrent leur famille pour honorer la parole donnée par notre traître de Président de la République.Les autres officiers que je considère comme des lâches, acceptaient les gallons sans honte alors qu'ils étaient d'accord pour le putsch et avait donné leurs accords et préférèrent attendre, comme les Italiens, de savoir qui allait gagner pour se rallier au plus fort. Honte a eux.
Je me trouvais au moment du putsch dans le 2ème bureau de l'Armée à Aint-Témouchent. Le colonel commandant le secteur de la région ne sortait pas de son bureau. Nous attendions tous pour partir sur Oran. Il suffisait d'un ordre qui n'est jamais venu. Les CRS de Tlemcen étaient déjà sur la route pour se rallier aux Généraux. La raison nous était donnée : " le colonel attend de voir comment les avènements vont tourner avant de se décider de donner l'ordre de foncer ".
Voilà le courage de quelqu'un qui allait être quelque temps après élevé au grade supérieur pour fidélité au généralDe Gaulle. Ils étaient combien dans ce cas ?
La tension que les barbouzes créèrent n'a fait qu'augmenter la haine entre gaullistes et pro-Algérie Française.Les Français musulmans se sentant lâchés se ralliaient aux groupes de fellaghas qui arrivaient par enchantement dans la région. Les attentats contre les européens qui, sans distinction, se faisaient égorger sans que l'armée de barbouzes bougent le petit doigt.
L'Armée elle avait reçu l'ordre de ne pas bouger ou d'aider seulement aux arrestations des Français favorables à l'OAS.
Les harkis qui n'avaient pas désertés en temps voulu parce que la promesse leur avait été faite qu'ils allaient être protégés, étaient égorgés. Les parents et leurs familles subissaient le même sort.
C'est ainsi que chaque fois que les commandos de l'OAS avaient l'occasion de faire payer les barbouzes pour les saloperies commises, la population applaudissait. Moi aussi.
Le 24 janvier 1962 à la suite d'un renseignement, un piège était tendu au siège des barbouzes d'Alger qui avaient élu domicile sous de faux noms à la villa Andréa, 8 rue Fabre à El Biar - Alger- Belle villa au milieux des orangers et des bougainvilliers.D’un bout à l’autre de l’Algérie nous nous sentions soulagés, nos morts étaient enfin vengés et des tortionnaires et traîtres à la Patrie éliminés.
Certains de ces héros allaient payer de leur vie ces actes de bravoures et les ennemis décorés par De Gaulle.
La France reconnaîtra un jour les siens.
Pieds Noirs 9A..
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Mélenchon la fatma des islamistes gauchistes . Tout en gueule. Celui-ci est un guignol de 1ère classe . De plus quant dans ces discours il ne croit pas un mot de ce qu’il dit . La raison c’est que ce monsieur ce connais bien . D’après certains des anciens adhérents merluche est un piètre menteur ,un bonimenteur . Moi je dis merluche est le roi des camelots .
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