• Le profanateur principal du cimetière juif de Sarre-Union est un antifa .

    Le coup de Carpentras a foiré !!!

    Le Monde –de demain 20/02/15

    (…)  A Sarre-Union, 3 000 habitants, tout le monde se connaît. Et personne ne comprend. Gaëtan Wilsius, élève de 1re L au lycée Georges Imbert, a organisé dans la ville une marche silencieuse « de solidarité et d’indignation » qui a rassemblé dans la ville des centaines de lycéens, mardi. Sur les cinq suspects, il en connaît quatre. Ils étaient tous ensemble au collège Pierre-Claude de Sarre-Union, deux d’entre eux sont comme lui au lycée situé juste à côté.

    Il a beau chercher des signes distinctifs, il n’en trouve pas. Sauf peut-être qu’ils étaient « fans de metal », et « se tenaient un peu à part à cause de ce centre d’intérêt ». Pierre, précise Gaëtan, « c’était la personne juste un tout petit peu bizarre parmi des gens normaux. Mais rien de méchant. » Les cinq mineurs n’ont aucun antécédent judiciaire. La justice ne leur connaît pas « de convictions idéologiques qui pourraient expliquer leur comportement » note le procureur. Ils sont issus de « familles bien », qui « ne posent pas de problèmes particuliers et ne sont pas dans le besoin », affirmet-on à la mairie de Sarre-Union. L’un est le fils d’une institutrice, l’autre le petit-fils d’un proviseur. Tous sont « calmes, discrets, pas bagarreurs, n’ont rien de spécial », disent leurs camarades. Quatre sur les cinq habitent Sarre-Union, trois y sont scolarisés dans l’unique lycée. Les élèves de catégorie socio-professionnelle (CSP) favorisée y sont légèrement en dessous de la moyenne académique, les CSP défavorisés sont légèrement au-dessus, mais le taux de réussite au bac se situe entre 90 % et 100 %. « Un établissement sans problèmes particuliers », assure Jacques-Pierre Gougeon, recteur de l’Académie de Strasbourg.

    Pierre B. avait étrangement un ennemi déclaré : « le fascisme ». Il portait des slogans antifascistes sur ses vêtements.

    « On ne parlait pas politique mais si on évoquait le Front national, il se mettait sur ses deux pattes arrière et se mettait à grogner, raconte Gaëtan. Il prétendait se battre contre le fascisme et était très remonté contre la police. Il traitait les policiers et les militaires de fascistes, avec une hargne qui me mettait mal à l’aise. »


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  • LA  FRANCE  DE  MON  ENFANCE

     Par :José CASTANO..

    « Adieu ma France... Tu n’es plus celle que j’ai connue, le pays du respect des valeurs, de l’hymne et du drapeau, le pays de la fierté d’être français. Adieu ma France des trafics en tous genres, du chômage, de l’islamisme, de la polygamie, du laxisme, de la permissivité, de la famille décomposée... Adieu ma France réduite à l’état d’urgence, ma France déconstruite, en guerre avec elle-même. Je veux, néanmoins, demeurer optimiste et croire en ton sursaut. Mais qui te sauvera ? » (Général Marcel Bigeard)

                Mon enfance durant, je fus fier de ma France… Il était, par delà la Méditerranée, ce pays chatoyant qui me faisait rêver entre deux pages de géographie… Elle était ma Mère Patrie et, à l’instar de mes camarades de jeux, des Mohamed et des Levy, je ne voyais, je ne sentais que ce qui était beau dans son passé et son présent… Je voyais en rêvant une histoire chargée de gloires, de saints, de rois, de héros, de batailles gagnées et de défaites toujours glorieuses, d’un Empire qui rayonnait par-delà les mers.

                « Là-bas », avec mes camarades du cours moyen, nous vibrions pendant les leçons d’histoire. Nous encouragions de la voix, des mains et des pieds Vercingétorix et Jeanne d’Arc à bouter l’envahisseur hors de France. Subjugués par l’héroïsme de Bayard –le « Chevalier sans peur et sans reproche »- et les victoires de Napoléon, nous suffoquions de plaisir au récit de la bataille d’Austerlitz mais nous refusions de lire celles de Waterloo et de la retraite de Russie. En somme, j’étais fier de ma France avec ce que cela comporte d’aveuglement et je l’aimais du plus profond de mon être.

                Chrétiens, Juifs et Arabes, tous unis dans une même communion de pensées, nous étions prêts à nous battre pour elle, à nous faire tuer, à tout quitter pour elle. Nous ne savions pas ce qu’elle était exactement ; qu’importait ! Elle était tout ce qu’elle était et nous en assumions les laideurs comme les beautés ; c’était une réalité, une réalité matérielle, charnelle, spirituelle, indissociablement. Certes, je discernais bien déjà ce qu’il y avait de laid dans son histoire : L’inquisition et ses tortures… Les guerres de religion… La folie sanguinaire des révolutionnaires de 1789 et ceux de la Commune de Paris de 1871, l’institution de la Terreur et de la déchristianisation… mais cela ne comptait pas pour moi. Un enfant ne s’amuse pas à faire l’inventaire des imperfections de sa mère, morales et physiques. Elle est sa mère et, comme telle, sans défauts. Les connaissant, il les ignore. C’est le mystère de l’amour.

                Mais le temps a passé depuis et mes souvenirs –comme ceux de mes camarades d’hier- sont ceux d’une splendeur à jamais révolue… Nous ne sommes plus ainsi, nous avons changé. Notre France ? Nous n’en sommes plus fiers et, bien souvent, nous en avons même honte…

                Il est difficile de ne vivre que d’espoir aussi bien que de souvenirs et de se réfugier dans les négations rectificatrices.

                Tout a débuté avec le désastre de 1940 et l’insignifiance médiatique de l’aide fournie par l’Armée d’Afrique pour la victoire finale. Puis il y eut la perte de l’Indochine, les désastres et les sacrifices d’une armée héroïque, l’abandon de nos Partisans, la trahison des communistes et leurs sabotages meurtriers. Il y eut aussi la mort de l’Algérie française, de celle de milliers de jeunes soldats, de milliers de Musulmans fidèles, de milliers de victimes innocentes offertes en holocauste pour satisfaire aux exigences d’une arithmétique de la terreur, des milliers d’arrestations arbitraires de patriotes français refusant d’abdiquer… et, au bout, l’exode et l’exil de tout un peuple.

                Nous sommes saouls de défaites, de reculs, d’abandons, de reniements, de capitulations : Nous sommes gorgés d’humiliations. Nous lâchons tout, nous abandonnons tout ce qui nous appartient… La France qui trahit, qui renie, qui abdique, qui brade, qui s’autoflagelle… La France qui renie son passé et ses valeurs chrétiennes.

    Alors, pour ne plus avoir honte, pour ne plus pleurer lorsqu’un Diên-Biên-Phu tombe sous les orgues de Staline, pour ne plus pleurer nos soldats décharnés de retour des camps de la mort lente d’un Vietminh transposé en djihadistes, pour ne plus pleurer les gorges tranchées, les corps mutilés au couteau et ceux déchiquetés par les bombes d’un FLN réincarné en EI, pour ne plus pleurer l’attente inhumaine d’un « disparu », pour ne plus pleurer sur la route d’un exil, pour ne plus pleurer des détenus politiques fidèles à l’honneur, pour ne plus pleurer des soldats trahis, victimes de politiciens véreux, nous avons décidé de fermer notre cœur à l’amour. Nous avons assez souffert, nous avons assez eu peur, nous avons assez baissé les yeux devant nos « vainqueurs » d’hier pour ne pas avoir à nous incliner devant ceux de demain et revivre les affres de la trahison, du terrorisme et de la guerre civile.

    Nous voyons que les idées généreuses favorisent la corruption, que la confiance que nous plaçons envers nos élus est bafouée, que la loi du plus fort est toujours la meilleure… Voici revenu le temps des imposteurs : Mensonges, tromperies incessantes, déclarations électorales jamais suivies d’effets, reniements, promesses non tenues… Dans les plis de leur écharpe tricolore, l’ambition, la vanité, l’orgueil, le profit, la bêtise. Scandales de tous les côtés, fripouilleries partout et à tous les niveaux de la hiérarchie… ce qui fit dire, déjà, à Montesquieu : « Tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ».

    Nous parle-t-on de Patrie ? Enseigne-t-on à nos écoliers ce qu’est la Patrie ? Ce qu’est la France ? Connaissent-ils seulement, ces écoliers, le premier couplet de La Marseillaise ?  Qu’est-ce que la Patrie ? Dites-le-nous donc, Messieurs ! Une histoire ? Vous en rejetez la plus grande partie et les livres de nos étudiants ne sont qu’un ramassis de contre-vérités. On connaît à ce sujet le terrible et célèbre mot de Joseph de Maistre : « L’Histoire, depuis trois cents ans, n’est qu’une conspiration contre la vérité ». Quel idéal êtes-vous donc capables de proposer à notre jeunesse ? Albert Einstein avait raison de dire que « ce n’est pas avec ceux qui ont créé les problèmes qu’il faut espérer les résoudre »

                Et vous, Giscard d'Estaing, (Mitterrand), Chirac, Sarkozy, Hollande, préoccupés comme vous l’êtes par votre maintien ou votre retour au pouvoir, qu’avez-vous fait de cette France que nous vous avons confiée ? Vous vous êtes comportés plus en « businessman » adeptes de « show-biz », qu’en chefs d’Etat ; vous avez institué le laxisme judiciaire, ouvert toutes grandes les vannes de l’immigration-invasion en prétendant que ce serait « une chance pour la France », la livrant ainsi aux hordes étrangères, aux voyous, aux islamistes, aux terroristes. Vous avez fait de nos banlieues où, jadis, il faisait bon vivre, des zones de non-droit où la terreur règne en maître, où la racaille manifeste ouvertement sa solidarité avec les terroristes islamistes.

                Vous nous avez tout enlevé, volonté, fierté, espoir, civisme, courage, patience, obéissance… Tout nous paraît vide. Nous n’avons plus en nous qu’une énorme lassitude et un extrême découragement. Dès lors, nous n’avons pas le droit d’aimer la chair de notre pays et nous ne voulons plus aimer son âme. Nous n’avons pas envie de mourir pour des idées suicidaires puisées dans les Ministères… donc nous n’avons plus envie de mourir pour la France sachant combien notre sacrifice sera vain.

    Au fil des générations, flanqués des médias qui vous soutiennent, vous n’avez eu de cesse de cultiver le mythe de la culpabilité nationale : Colonisation… Repentance… Soumission… ignorant, comme le disait Charles Péguy, « qu’il y a des contritions plus sales que les péchés ». Vous avez fait en sorte, lors de vos gouvernances, que notre France s’accuse elle-même et se déclare honteuse de son passé guerrier, impérialiste et colonialiste… et, aujourd’hui,  elle n’est plus qu’une petite étoile dont le foyer s’est éteint progressivement. Ce qui subsiste encore à la place où elle éclairait n’est plus qu’un reflet dont nous pouvons désormais calculer la survivance…

    Et nous souffrons de la voir ainsi… Méconnaissable, libanisée, colonisée, livrée à l’intégrisme religieux, décérébrée, sans mémoire, convulsée et congestionnée, gangrenée par les syndicats, les associations adeptes de la tartufferie des droits de l’homme et de l’antiracisme, minée par l’insécurité, les émeutes, les grèves et le chômage, résignée à la stagnation, au recul, à la déchéance et à la fin. Oui, ma France, qui te sauvera ?

     José CASTANO    Petit fils d’immigrés espagnols

     « Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles » (Shakespeare)

    -o-o-o-o-o-o-o-o-

    Voici ce qu’est devenue « la France de mon enfance ». Mais, « Chut ! » Pas de stigmatisation !... Pas d’amalgame qu’ils disent !...

    -          https://www.youtube.com/embed/1KifsUMQSNU

    -          http://www.wat.tv/video/invasion-barbare-76mvj_2iiil_.html


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  •   BEN !! OU SONT LES CHARLIE ??  

    Paris: une directrice d'école poignardée par un parent d'élève

    Par LEXPRESS.fr avec AFP, 

    L'enseignante, qui a reçu trois coups de couteau sans qu'aucun élève n'ait assisté à la scène en cette période de vacances, a été prise en charge. L'agresseur a été interpellé quelques minutes après. 

    Paris: une directrice d'école poignardée par un parent d'élève

    Un parent d'élève a blessé la directrice d'une école maternelle parisienne.

    afp.com/Anne-Christine Poujoulat

    Une directrice d'école maternelle a été blessée ce jeudi à la mi-journée après avoir été poignardée par un parent d'élève. La scène s'est déroulée dans l'école Alain-Fournier, dans le XIV arrondissement de Paris.  

    Les faits se sont déroulés rue de la Briqueterie, dans laquelle se trouve le domicile de la directrice, à quelques pas de l'école. 

    L'agresseur présumé interpellé

    L'enseignante a reçu trois coups de couteau sans qu'aucun élève n'ait assisté à la scène en cette période de vacances. Elle a été prise en charge et son agresseur a été interpellé quelques minutes plus tard.  

    L'auteur présumé des faits était "très défavorablement connu des services de police" et aurait déjà passé quatre ans en prison pour des faits de violence avec armes, selon l'AFP. On ignore pour l'instant le mobile de l'agression, mais l'enfant de l'agresseur était scolarisé dans cet établissement, situé dans un quartier populaire.  

    "Acte odieux et lâche"

    Anne Hidalgo, la maire de Paris, a condamné dans un communiqué "avec la plus grande fermeté cet acte odieux et lâche".  

    "Je veux assurer la directrice, ses proches et l'ensemble de la communauté éducative de mon profond soutien", a-t-elle ajouté.  

    Une cellule psychologique a été mise en place par la médecine scolaire car "même si les enfants n'ont a priori pas vu la scène, on n'exclut pas que certaient aient pu voir à distance la directrice s'écrouler", a précisé à l'AFP la Ville de Paris.  


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  • L'Afrique n'est pas "Charlie"

    Par:Bernard Lugan..

    Vu d'Afrique, l' "affaire  Charlie hebdo" illustre les limites de l'universalisme européo-centré. Vendredi 16 janvier, alors que les sociétés de l'hémisphère nord communiaient dans le culte de la liberté d'expression, une partie de l'Afrique s' insurgeait contre la France des "Charlie". Du Sénégal à la Mauritanie, du Mali au Niger, de l'Algérie à la Tunisie et au Soudan, le drapeau français a été brûlé, des bâtiments français incendiés et en "prime", des églises détruites. Quant aux imprudents chefs d'Etat africains qui participèrent à la marche des "Charlie", dont Ibrahim Boubacar Keita du Mali, les voilà désormais désignés ennemis de l'islam.

    Aveuglés par la légitime émotion et noyés sous l'immédiateté, nos responsables politiques n'ont pas songé à se demander comment l'Afrique percevait les événements. Or, alors que pour nous, il s'agit d'un ignoble attentat contre la liberté d'expression commis contre des journalistes, personnes sacrées dans nos sociétés de la communication, pour une grande partie de l'Afrique, il s'agit tout au contraire de la "juste punition de blasphémateurs".  Qui plus est ces derniers n'en étaient pas à leur coup d'essai et ils avaient même été solennellement mis en garde. Voilà pourquoi leurs assassins sont considérés comme des "héros". Quant aux foules de "Charlie", elles sont vues comme complices des insultes faites au Prophète. De plus, comme le président de la République a marché à leur tête, cela signifie que la France et les Français sont coupables.

    Les conséquences géopolitiques qui vont découler de cette situation ne peuvent encore être mesurées, notamment dans les pays du Sahel en raison du jihadisme récurrent contre lequel nos troupes sont engagées. Le plus grave est ce qui s'est passé au Niger où Boko Haram qui, jusqu'à présent ne s'était pas manifesté, a pris le prétexte de la nouvelle livraison de Charlie Hebdo pour lancer les foules contre le centre culturel français de Zinder; au même moment, nos postes militaires avancés veillent aux frontières du pays...

    Personne n'a dit ou vu que l' "affaire Charlie Hebdo" n'est que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase des impératifs politiques et moraux que nous imposons à l'Afrique: démocratie, droits de l'homme, avortement, mariage homosexuel, anthropomorphisme etc. Tous y sont considérés avec dédain ou même comme de "diaboliques déviances".

    C'est donc dans les larmes et dans le sang que les bonnes âmes et les idéologues vont devoir constater que le "village Terre" n'existait que dans leurs fantasmes universalistes. Ce qui est bon ou juste aux yeux de leur branchitude est en effet une abomination pour une grande partie de l'Afrique et même de la planète.

    En plus de cela, pour nombre d'Africains, l'Europe est devenue une terre à prendre : ses habitants ne croient plus en Dieu, ses femmes à la vertu volage ne font plus d'enfants, les homosexuels s'y marient et la féminisation y a dévirilisé ses mâles. Paradoxe cruel, ceux qui, depuis des décennies, ont permis cette révolution en tournant systématiquement en dérision les valeurs fondatrices et le socle social (famille, travail, discipline, ordre, effort, armée, police etc.) ont été odieusement assassinés par les enfants de ceux auxquels ils ont si largement ouvert les portes...

    Nous voilà donc au terme du processus. Désormais, la contradiction est telle que seul un "saut qualitatif brusque", comme le disaient les marxistes, permettrait de la surmonter. L'obsolète méthode "soustellienne" de l'intégration ou celle du "radeau de la Méduse" de la laïcité n'y suffiront sans doute pas...

    Bernard Lugan.. http://bernardlugan.blogspot.fr/


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  • ISLAM… LE SOMBRE AVENIR !

    Par:José Castano..

    ISLAM CONQUERANT

    Editorial de José CASTANO

    « Tout au long de l’Histoire, l’immense expansion musulmane s’est effectuée par la guerre sainte, les massacres, l’intolérance, la volonté de conquérir, de diriger, de s’imposer, par la colonisation… » (Jean-Paul Roux, historien français spécialiste du monde turc)

    C’est, en réalité, par la voix du cheik El Bachir el Ibrahimi, président de l’association des oulémas d’Algérie, que le 1er novembre 1954, au Caire, les islamistes ont déclaré, via la France, la guerre au monde occidental en ces termes : « Le combat est engagé sur le territoire algérien, contre la France, pour le triomphe de l’arabisme et de l’islam ». En clair, c’est le combat de l’arabisme universel et de l’islam qui fut engagé contre la France, l’Occident et la chrétienté, ce jour là, dans une totale incompréhension des analystes politiques et que l’Etat islamique (EI) ne fait que poursuivre aujourd’hui…

                « Les Français qui n’ont pas voulu de l’Algérie française auront un jour la France algérienne » a écrit dans son livre, « d’une Résistance à l’autre », Georges Bidault, l’ancien chef du Conseil National de la Résistance. Il reprenait là, en quelque sorte, cette déclaration du redoutable chef du FLN qu’était Larbi ben M’Hidi, déclaration lancée à la face des parachutistes français venus l’arrêter en 1957 lors de la « bataille d’Alger » : « Vous voulez la France de Dunkerque à Tamanrasset ? Je vous prédis, moi, que vous aurez l’Algérie de Tamanrasset à Dunkerque ».

    Il a fallu attendre un demi-siècle et les atrocités de l’EI –répliques de tant d’autres commises par le FLN- pour que cet aspect-là des choses, cette dimension ethno-religieuse, soit prise en compte par ceux qui travaillent sur les mouvements d'indépendance en Afrique du Nord et sur la guerre d'Algérie. Celle-là ne pouvait être que « juste et bonne » pour les rebelles algériens et c’est donc un regard idéologique bienveillant qui fut d'abord porté sur la guerre faite par le FLN à la France. Les crimes du FLN, le massacre au faciès des Européens (notamment le génocide du 5 juillet 1962 à Oran où près de 3000 d’entre eux furent massacrés dans des conditions effroyables et dans la plus méprisable indifférence de la Métropole) ont été oubliés dans les poubelles progressistes de l'histoire grâce aux bons conseils dispensés par Jean Paul Sartre dans sa préface aux « Damnés de la terre » de Franz Fanon : « Un bon européen est un colon mort, lui, sa femme et ses enfants », écrivait en l'occurrence l'auteur des « Mains sales ».

                En 1968, Abdallah Ghochach, juge suprême du Royaume hachémite de Jordanie s’exprimait en ces termes : « Le Djihad a été légiféré afin de devenir un moyen de propagation de l’Islam. En conséquence, les non-musulmans doivent venir à l’Islam soit de leur plein gré, soit de force par la lutte et le Djihad… La guerre est la base des relations entre les musulmans et leurs adversaires. »

    Et voilà qu’imprégnés de cette recommandation, de l'Océan Atlantique aux rivages de la Chine, les islamistes n'instaurent désormais plus que fureur, chaos et délires…

    Au sud du Sahel, cette même fureur sème la terreur au Mali et au Niger. Des centaines de jeunes filles, coupables de vouloir aller à l'école, ont été kidnappées au Nord du Nigéria par un illuminé qui s’est autoproclamé calife et se dit « envoyé de Dieu ». En cette région du monde, Boko Haram sème la terreur en toute impunité. Les églises flambent et les chrétiens sont massacrés sans que l’Occident ne réagisse le moins du monde…

    Un autre Calife autoproclamé, tout aussi délirant, menace au prix d’une épuration sanglante sans précédent, la Mésopotamie (nord-est de la Syrie et nord de l'Irak actuel) où le grotesque dispute à l'épouvante la scène de cette tragédie antique…

    En Afghanistan où l’on continue –par tradition- de porter la burka et de lapider les femmes accusées d’adultère après avoir été violées, les talibans attendent leur heure… Dès que les occidentaux auront évacué le pays, ils s’élanceront pour la curée et la vie sera alors terrible pour les Afghans, notamment les femmes…

    Le temps jouant en sa faveur, l’Iran se dote tranquillement d’un arsenal nucléaire complet, missiles balistiques compris. Depuis 2006, le risque d’un conflit armé entre Israël et l’Iran est en effet omniprésent. Pour préparer leur bombe atomique (la République islamique d’Iran n’a jamais caché son ambition nucléaire et surtout sa volonté d’utiliser l’arme atomique contre l’État hébreu), les mollahs font tourner sans discontinuer les centrifugeuses… L’agence internationale pour l’énergie nucléaire (AIEA) tente depuis des années, en vain, d’accéder aux installations nucléaires iraniennes. Des photos satellites montrent que l’Iran s’efforce d’effacer toute trace de ces installations dont la plupart sont cachées sous terre. 16 000 centrifugeuses fonctionnent, en effet, à plein régime dans le site de Natanz, tandis que 3 000 autres se trouvent dans le site de Fordo, enfoui sous la montagne et difficile à détruire.

                Le 24 septembre 2014, le ministre israélien du Renseignement, Youval Steinitz, a déclaré que l’Iran avait mené des expériences avec des armes nucléaires sur la base militaire de Parchin et que « chaque jour qui passe, les chances de pouvoir arrêter encore ce programme s’amenuisent ».

    En Arabie saoudite, on coupe, au sabre et en public, la tête de ceux qui contreviennent à la charia. Le royaume a perpétré en 2014 le troisième plus  grand  nombre d'exécutions au monde, derrière l'Iran et l'Irak. Et cette charia s'applique  également  à la presse quand elle contrevient aux règles édictées par l’oligarchie régnante. En témoigne le cas du blogueur et journaliste, Raif Badawi, condamné « avec clémence » pour avoir critiqué l’Islam et le gouvernement Saoudien, à 10 ans de prison, 1000 coups de fouet et 225 000 euros d’amende. La peine devant être appliquée tous les vendredis pendant 20 semaines, la première des 50 séances de flagellation eut lieu le 9 janvier 2015. Celle-ci ayant occasionné tant de lésions, que la seconde, prévue 7 jours plus tard, dut être reportée pour « raisons de santé ».

    La charia encadre arbitrairement la vie des Saoudiennes : Elles ont besoin d'un tuteur pour travailler, voyager, se marier et même pour pouvoir se faire ausculter par un médecin. Elles n'ont pas, non plus, le droit de conduire ou d'assister à des matchs de football. En termes d'égalité des sexes, le royaume se classe à la 130e place sur 142... Et quand Christine Lagarde, la puissante Présidente du FMI, se complait à faire l’éloge d’un vieux roi décédé : « Le roi Abdallah d’Arabie Saoudite était un grand défenseur des femmes »… on se dit que, vraiment, la bêtise est tonitruante. En d’autres termes, quand les ignares diplômés prolifèrent, la bêtise fleurit joyeusement…

    Dans les Emirats, on lapide également les femmes considérées adultères après avoir été violées : L'honneur des tribus ne saurait souffrir une quelconque atteinte… tandis que notre « ami » le Qatar (1) approvisionne à coups de millions de dollars les terroristes islamistes que la haine de l’Occident transcende et a offert d’aider à reconstruire l’enclave palestinienne mise à mal par les bombardements israéliens…

    A Gaza, encouragé par l’Iran qui lui verse chaque mois plus de 20 millions de dollars, le Hamas a crié « victoire » au lendemain du « cessez-le-feu », utilisant ce dernier pour se réorganiser et construire de nouveaux tunnels dans le but de porter la mort en Israël… Sur ce point, les médias israéliens ont annoncé qu’une partie du ciment et d’autres matériaux livrés à l’autorité côtière du territoire palestinien dans le cadre d’un effort international de reconstruction, a été détournée pour la construction de tunnels.

    « Si le Hamas arrive à s’implanter en Cisjordanie, il sera en mesure d’anéantir Israël et d’établir un Etat islamique à sa place » a déclaré un haut responsable du Hamas, Mahmoud al-Zahar, au quotidien palestinien Al-Hayam. L’article traduit et publié par Palestinian Media Watch a également révélé que le Hamas lui avait secrètement attribué la responsabilité de la Judée-Samarie. « Certains pensent ou ont dit que nous allions établir un Etat islamique dans la bande de Gaza, mais ce n’est pas notre objectif, nous allons établir un Etat islamique sur toute la Palestine »

    Et partout, en terre d’Islam, ces mêmes visions apocalyptiques… Viol des femmes qui ne se voilent pas complètement… Viol de celles qui transgressent la charia en quittant leur domicile pour chercher de quoi nourrir leurs enfants… Lapidation de ces mêmes femmes considérées dès lors comme « adultères »… Flagellation pour les contrevenants à la prière obligatoire… Décapitation des blasphémateurs… Mutilation des voleurs… Et cela porte tout simplement un nom : Barbarie ! 

    José CASTANO ..


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