• L’aventure ,c’est l’aventure ...

    D'après une correspondance de Bouïra ..Les Lecteurs algériens de la presse locale
    visiblement  peu animés par l'indignation..

    Par Pieds Noirs 9A..L’aventure ,c’est l’aventure ...

    Billet 1812 du 27 sept 2014

    L’aventure ,c’est l’aventure ...

    L’aventure ,c’est l’aventure ..Mais avec des œillères ..

    La justice s'intéresse au guide d'Hervé Gourdel

    "Le ver islamiste a toujours était dans le fruit français et il en restera pour un moment" ..

    L’aventure ,c’est l’aventure ...L'un des quatre Algériens qui accompagnaient Hervé Gourdel lors de sa randonnée en Kabylie est toujours entendu par les autorités algériennes.
    Français à part entière, ben voyons !! "Karim O." a fait la démarche de contacter le Français un peu beaucoup naïf a mon sens..

    Donc le Français d'origine Algérienne était de retour en Algérie depuis environ un mois lorsqu'il a contacté Hervé Gourdel via Facebook pour lui offrir son aide ,et de l'accompagner dans le très dangereux massif de Djurdjura que nous ,nous connaissons bien , donc en grande Kabylie, lieu historique bien connus pour le maquis investi par les djihadistes se réclamant de l'Etat islamique depuis maintenant depuis 1945 juste a la fin de la deuxième guerre mondiale ..

    Donc d'après les informations de « BFM » ,une tv que j‘écoute parfois avec mes oreilles bien collé au récepteur ,car cette TV dérape parfois sur certain point , donc ce "guide de haute montagne" non déclaré aux autorités algériennes, est considéré comme le "suspect numéro un" dans les recherches des autorités sur la complicité des ravisseurs d'Hervé Gourdel.

    L'auteur du piégeur est en garde à vue ..Enfin ce qu’on veut bien nous faire dire ,connaissant bien ce petit monde ,d'ailleurs autant plus que c'est un Français   ..

    Le Franco-Algérien qui habitant (soit disant) à Lille, est entendu à Blida depuis jeudi après-midi . Selon le droit algérien, il peut être maintenu en garde à vue jusqu'à 20 jours, puisqu'il s'agit d'affaires liées au terrorisme d’après la loi ..

    Le gros cinéma ..

    Les trois autres Algériens qui accompagnaient le Français ont également été placés en garde à vue, et attendent d'être entendus. Ces amateurs de randonnées en haute montagne s'étaient rendus aux autorités après avoir été relâchés par les ravisseurs d'Hervé Gourdel, ce qui avait éveillé les soupçons.

    Selon la loi algérienne, les quatre ressortissants auraient dû prévenir les autorités qu'ils accueillaient un étranger  "donc en situation irrégulière"
    Parce-que la France et le pays ou tout étranger devienne Français avec un petit bout de papier ...NON pas chez eux ..Donc la question est posée du maintien de la double nationalité dans le droit français.

    Madame le maire de Lille était absente à la marche blanche de Saint-Martin-Vésubie en hommage au guide français trahi par un binational ,qu’avec ce petit bout ce papier pouvant navigué d’un pays à l’autres sans avoir de soupons et en faire son petit business intelligemment ...,bien sur encore les Français n’ont encore rien compris au film d’un parfait montage politico islamique ,ou tout le monde s’incline ..

    Comme nous avons tous vue en cet après-midi de vendredi ,devant la Grande mosquée de Paris, binationaux ou non, les musulmans de France se  sont déclaraient contre Daesh (Etat islamique, en français): "Nous sommes aussi de 'sales Français' ",  De quoi me faire bien rire ,alors qu'ils ne seront jamais Français  le jour ou cela explosera ..Ils ont entièrement raison ,car eux defendent les leurs ..et non comme le petit Français enfarinée dans leurs cocons ..

    Enfin sans risque, puisque la démocratie les protègent de la trahison et de l'égorgement.

    ..Pieds Noirs 9A..

    Lounès Matoub, plus communément appelé Matoub Lounès, est un chanteur et poète kabyle, engagé dans la revendication identitaire berbère.
    Il est né à Taourirt Moussa Ouamar le 24 janvier 1956, en Kabylie, Algérie. Il meurt le 25 juin 1998, assassiné sur la route de At Douala. Officiellement, cet assassinat est attribué au GIA. Mais le pouvoir algérien est accusé, notamment par sa famille de l'avoir assassiné.
    Matoub acquiert un statut de martyr pour les régionalistes et militants kabyles, qui estiment que leurs droits sont bafoués.
    A l'age de neuf ans, il fabrique sa première guitare à partir d'un bidon d'huile de moteur vide, et compose ses premières chansons durant l'adolescence.
    Sa prise de conscience identitaire et culturel débute à la confrontation armée entre les Kabyles et les forces gouvernementales en 1963-1964.
    En 1968, le gouvernement algérien introduit une politique d'arabisation dans le système éducatif au détriment du berbère. Matoub réagit en n'allant pas à l'école. Finalement, il quitte le système éducatif et devient autodidacte. En 1978, il émigre en France à la recherche de travail.
    Arrivé en France, Matoub Lounès anime plusieurs soirées dans des cafés parisiens fréquentés par la communauté kabyle. C'est là qu'il se fait remarquer par le chanteur Idir qui l'aide à enregistrer son premier album, Ay Izem, qui remporte un vif succès.
    En 1980, le poète se produit pour la première fois à l'Olympia en plein évènements du printemps berbère. Il monte alors sur scène habillé d'une tenue militaire pour manifester son soutien aux manifestants kabyles.
    Il s'oppose à la politique d'arabisation et d'islamisation de l'Algérie. Il parle le kabyle, le français, et comprend l'arabe sans l'employer. C'est un partisan de la laïcité et de la démocratie, et s'est fait le porte-parole des laissés-pour-compte et des femmes.
    Opposé à l'islamisme et au terrorisme islamiste, il condamne l'assassinat d'intellectuels. Il fut enlevé le 25 septembre 1994 par le GIA (Groupe Islamique Armée), puis libéré au terme d'une mobilisation de l'opinion publique de la communauté kabyle. La même année, il publie un ouvrage autobiographique, Rebelle, et reçoit le Prix de la mémoire des mains de Danielle Mitterrand.
    Le 25 juin 1998, il est assassiné sur la route menant de Tizi Ouzou à At Douala en Kabylie à quelques kilomètres de son village natal (Taourirt Moussa). Les conditions de ce meurtre n'ont jamais été élucidées. Les funérailles du chanteur drainèrent des centaines de milliers de personnes, tandis que toute la région connut plusieurs semaines d'émeutes.

    Pieds Noirs 9A.. 


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