• Crimes d’honneur : les coutumes de nos envahisseurs musulmans…

    Crimes d’honneur : les coutumes de nos envahisseurs musulmans…

    L'auteur

    Saman Abbas était jolie comme un cœur, elle avait dix huit ans. Mais voilà : elle vient d’être assassinée par sa propre famille.

    Sa famille habitait et travaillait dans une ferme en Italie, à Novellara près de Modène. L’an dernier ses parents avaient voulu lui arranger un mariage au Pakistan. Saman avait refusé. Encore mineure, elle était courageusement allée voir les services sociaux, qui l’avaient placée dans un refuge. Mais pour récupérer des papiers elle est retournée temporairement chez ses parents début avril. 

    De là elle a téléphoné à son petit ami et lui a dit qu’elle était inquiète pour sa vie. Elle avait entendu des conversations louches autour d’elle. Ses proches auraient dit que la sanction pour une fille pakistanaise qui refuse d’obéir, c’est la mort. Le petit ami a cherché à la rassurer. Et puis, plus rien.

    On n’a plus vu Saman depuis la fin du mois d’avril. Le crime aurait pris place dans la nuit du 29 avril.

    Italie : une fille de 18 ans portée disparue, elle aurait été tuée par sa famille après le refus d’un mariage forcé, un cousin interpellé à Nîmes, en France (MàJ)

    Les recherches ont commencé dès le 5 mai. Les carabiniers sont venus voir la famille de Saman et n’ont trouvé personne, et pour cause. Ils ont examiné la vidéosurveillance de la ferme et des maisons voisines. Elle montre cinq personnes quitter la ferme à la nuit tombée avec un drôle de sac en plastique qui contenait sans doute le corps, avec des pelles, une barre à mine, et revenir plus tard sans le sac. Il s’agirait d’un oncle et de trois cousins de Saman.

    Toute la famille a quitté précipitamment l’Italie dès le lendemain du meurtre, pour le Pakistan.

    Le jeune frère de Saman, pas encore corrompu par de fausses idées d’honneur, aurait témoigné : son oncle lui aurait dit « nous avons fait du bon boulot ».

    Le père, du Pakistan, a déclaré que sa fille était en Belgique. Mais les carabiniers ne sont pas dupes et recherchent le corps près de la ferme.

    Un cousin, Ikram Ijaz, a été arrêté ces jours-ci à Nîmes et est en voie d’extradition pour l’Italie. C’est à cause de cela qu’on se met enfin à en parler, en France.

    L’Italie ne peut évidemment pas tolérer qu’une autre loi que la sienne, la loi pakistanaise, s’applique en Italie. Une loi qui n’est autre que la charia.

    Les étrangers en Italie doivent respecter la loi italienne, qui interdit les crimes d’horreur, pardon, d’honneur (c’est la même chose).

    En France déjà il y a des crimes d’honneur aussi. On se demande où est l’honneur, dans l’assassinat atrocement crapuleux d’une jeune femme ou jeune fille qui a découvert qu’elle avait le droit de se choisir son mari toute seule ? Surtout quand cette jeune femme ou jeune fille est sa propre fille, dont on commandite l’assassinat.

    Il y a bien évidemment des crimes d’honneur en Europe depuis que des peuplades éloignées de nos mœurs y rentrent comme dans un moulin.

    Il y a quelques années, une jeune fille turque avait été étranglée par ses frères dans la voiture familiale, près de Strasbourg. Mais l’affaire avait été étouffée. De toute façon la Turquie préfère enterrer vivantes les récalcitrantes. Elle trouve cela plus pratique. Ailleurs, on leur arrache les yeux, on les brûle vives. On les massacre avant de les tuer.

    En France on admet du bout des lèvres une dizaine de crimes d’honneur depuis dix ans mais il y en a bien plus. L’omerta est de mise, on se demande bien pourquoi, car il faut dénoncer ces crimes sans relâche. L’actualité récente nous en a donné quelques exemples, sans qu’on en parle plus que cela.

    On craint que cela ne fasse le jeu du RN d’en parler. Et puis il ne faut pas stigmatiser. Ni faire peur aux Souchiens, qu’il est prévu d’inonder de sauvages de cet acabit, sans qu’ils puissent protester avant qu’il ne soit trop tard.

    En Europe les crimes d’honneur se pratiquent surtout dans les communautés indienne, pakistanaise, sri-lankaise, turque, kurde, afghane, tchétchène. En clair : chez les sectateurs allahakbaresques. Lorsque la législation se durcit, on observe une tendance à maquiller ces crimes en suicides, ou à faire condamner un mineur, dont la sanction sera plus légère.

    En général les barbares reprochent aux filles de s’assimiler, de porter des tenues occidentales, de ressembler aux femmes européennes considérées par ces gens-là comme des putes (c’est bien ce qu’a dit à la police un père assassin de sa fille). Et de refuser les mariages arrangés avec des arriérés de leur pays. Refuser le mariage avec des hommes du pays d’accueil est un signe de refus offensant. Un refus d’intégration. Souvent, l’expression de la haine qu’ils nous portent.

    On reproche également à ces jeunes filles de perdre leur virginité, qui ne regarde qu’elles et absolument personne d’autre, et certainement pas leurs pères, frères, cousins, oncles.

    Souvent, sous la pression de la communauté, la jeune fille, si elle en réchappe, finit par pardonner à ses tueurs, lesquels alors sont dispensés de prison et clament haut et fort qu’ils ne regrettent pas ce qu’ils ont fait.

    Un commentateur a osé écrire qu’il faudrait s’habituer à ces crimes parce que c’était le code de vie de nos envahisseurs !

    Eh bien non, ce n’est pas parce qu’au Pakistan un millier de femmes sont ainsi assassinées chaque année selon les chiffres officiels, mais bien davantage en réalité, qu’il va falloir l’accepter et s’y habituer.

    Jamais nous ne pourrons nous habituer à ces crimes épouvantables. Comme les Pakistanais n’ont pas l’air de vouloir y renoncer malgré ce que dit leur gouvernement, la seule solution est d’interdire l’accès de l’Europe à tous les sauvages qui sont pour le crime d’honneur, ou qui laissent faire.

    Nos modes de vies ne sont décidément pas miscibles. La leur est une culture violente, bornée, totalement hors de contrôle, archaïque puisque dans la culture chrétienne la femme est libre depuis deux mille ans. Une pseudo-culture, dont nous ne voulons pas.

    Pour finir, écoutons en boucle la chanson de résistance républicaine qu’on n’entend pas assez souvent  : non à la charia !

    https://www.youtube.com/watch?v=HjnN81Ao9ts

    Chanson un peu ancienne mais toujours de brûlante actualité.

    Sophie Durand


  • Commentaires

    1
    Mardi 15 Juin 2021 à 18:31

    une   preuve   de   plus    que   l' islam     est   incompatible    avec   notre  culture

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