•   A mourir de rire  ! 

    Surveillant dans un lycée lyonnais… et clandestin ?

      
     Cet attentat basse intensité – puisque on ne peut heureusement déplorer « que » 13 blessés – a occupé toute la soirée de vendredi et une bonne partie du week-end.
    Les chaînes de télévision ont bouleversé leur programmation, les experts ont défilé sur les plateaux pour commenter les maigres éléments à leur disposition. 

    Autant dire qu’il a fallu délayer.
    Mais à présent que l’on a un coupable – il vient de reconnaître les faits – l’intérêt s’est émoussé, comme si l’événement, après avoir passionné les foules, ne présentait somme toute plus grand intérêt. On évoque mollement le profil de cet Algérien de 24 ans, Mohamed Zichem M., en situation irrégulière (comme le révèle en passant BFMTV), bien aimable, absolument sans histoire – le voisinage, attentat après attentat et quel que soit le quartier, rejoue immanquablement, devant les micros tendus, cette absurde lapalissade : un quart d’heure avant sa mort, Monsieur de La Palice était encore en vie, et la veille de son forfait, le criminel était innocent -, qui n’avait pu intégrer une école d’informatique faute de visa étudiant, tenant (toujours selon BFMTV) « un discours religieux intégriste, mais ne [revendiquant] aucune appartenance à une organisation terroriste » (une sorte d’auto-entrepreneur, donc)… et qui était surveillant au lycée Ampère, gros établissement scolaire réputé du centre-ville de Lyon. 
    Personne ne semble chiffonné.
    On pardonnera à la mère de famille que je suis de sursauter : pour faire ce boulot-là, dans une école publique de surcroît, on ne lui a donc demandé ni carte d’identité, ni titre de séjour, ni extrait de casier judiciaire, ni justificatif d’affiliation à la sécurité sociale, bref aucun document susceptible d’alerter la direction quant à sa situation ?
    Si cette information est confirmée, si, en effet, cet homme travaillait dans un lycée alors qu’il était clandestin, on est en droit de s’inquiéter sérieusement, et de demande des comptes à l’Éducation nationale : comment a-t-il été recruté ? 
    La sélection du personnel en contact avec les enfants ne fait donc l’objet d’aucun soin particulier ? Comment la vérification de pièces administratives a-t-elle pu être ainsi bâclée ? 
    Dans combien d’autres établissements ces choses-là sont-elles traitées avec autant de légèreté ? 

    Combien d’autres individus dans l’illégalité et radicalisés sont chargés – c’est un comble… – de « surveiller » nos enfants ? 

    Gabrielle Cluzel

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  • Mise la France par chaos par Macron 

    General Electrics : une tragédie sociale dont Emmanuel Macron est le premier responsable 

    L'annonce par General Electric de la suppression de 1.000 postes dans son usine de Belfort est incomplète et insincère : si l'on prend en compte les répercussions inévitables sur les sociétés sous-traitantes, c'est, en effet, non pas 1.000 mais au total entre 3.000 et 4.000 emplois qui sont menacés.

    Dans cette tragédie sociale, la responsabilité d'Emmanuel Macron est totale. C'est lui, en effet, qui, en tant que Secrétaire général adjoint de l’Élysée chargé des affaires industrielles, puis en tant que ministre de l'économie, fut le chef d'orchestre de la session de la branche énergie d'Alstom à General Electric qui avait pris l'engagement non seulement de conserver tous les postes existants mais d'en créer mille nouveaux.

    Macron a donc agi soit par incompétence, soit, en toute connaissance de cause, par cynisme et choix funeste de désindustrialisation de la France amenée à devenir, pour les tenants du mondialisme, un pays de services.

    Dans les deux cas c'est un des fleurons industriels et économiques de notre pays que celui qui est aujourd'hui Président de la République a délibérément bradé, et l'intérêt social d'une ville et d'un département qu'il a négligé au profit exclusif de celui des actionnaires.

    Le Parti de la France réaffirme sa volonté politique d'une réindustrialisation ambitieuse de la France correspondant aux réalités des besoins du marché, et d'une économie européenne ouverte au monde mais conquérante et protégée.

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire


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  • La police floute la photo de l'appel à témoins

     

    Brèves de presse@Brevesdepresse
     

    ⚡SUIVI - Photos diffusées par les autorités de "mauvaise qualité". Le maire de , Gérard Collomb, défend la vidéosurveillance. (Le Progrès)

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    Brèves de presse@Brevesdepresse
     

    ⚡SUIVI - Colis piégé : photos de "mauvaise qualité" diffusées par les autorités, le maire de et ex-ministre de l'Intérieur Gérard affirme ce soir sur BFMTV que c'est la police qui a "flouté" les photos du suspect "de manière à ne pas donner l'alerte". pic.twitter.com/jps8pbRy9g

     
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  • Les Pieds-Noirs sont spectateurs de la migration massive étrangère d'aujourd'hui et se souviennent.....

    Lors de l'exode de 1962, pour eux, il ne fut pas question d’Humanité, de Solidarité ou de Fraternité. Pas de mobilisation des Maires pour les accueillir.
    Nous n'avons pas entendu d’appel des artistes pour soulager leur détresse.
    Nous n'avons pas souvenir de défilés pour défendre nos Traditions d’accueil et leur venir en aide.... Ils étaient des Français abandonnés à leur triste sort.
    Des Militaires d'Honneur comparent ces deux accueils si injustement différents et prennent la parole pour dénoncer le sort tragique des Français d'Algérie passé alors dans l'indifférence et le mépris total de la population Métropolitaine, du monde artistique, des Pouvoirs publics et des Politiciens.
    JACQUES GUILLEMAIN, pilote de ligne, Officier de l'Armée de l'Air ER, est de ceux-là. En Soldat d'Honneur, il exprime son amertume :

    À lire : sommes-nous toujours considérés comme des Français
    Les survivants de Juillet 1962...
    ►►QUAND LE MENSONGE PREND PAR L'ASCENSEUR, LA VÉRITÉ PREND PAR LES ESCALIERS. ELLE MET PLUS DE TEMPS MAIS NE VOUS INQUIÉTEZ PAS, ELLE FINIT TOUJOURS PAR ARRIVER.
    > > Les français ont la mémoire courte quand ils sont manipulés par des politiciens véreux et des médias à leur botte 
    Les survivants de juillet 1962 :
    Ils étaient français... Ils ont choisi de partir et ont été spoliés... avec la CGT comme comité d'accueil à Marseille... mais solidaires, courageux, entreprenants, ces survivants de juillet 1962 qu'on a voulu refouler de France nous ont donné une belle leçon à méditer.
    J’ai lu l’appel de Bernard Cazeneuve invitant les Maires de France à accueillir le mieux possible les Migrants qui souhaitent s’installer en France.
    J’ai entendu l’Appel des Artistes demandant que les Pays Occidentaux et les Monarchies du Golfe assument leur Devoir d’Asile, en ouvrant leurs Frontières et leurs bras aux réfugiés qui fuient la Guerre et la Barbarie.
    J’ai noté l’Appel de la CGT à défendre le Droit d’Asile et à respecter la Convention de Genève.
    J’ai vu les milliers de Manifestants qui se mobilisent dans toute la France pour venir en aide aux Populations en détresse.
    Humanité, Solidarité, Générosité, Fraternité, Assistance, Tradition d’Accueil et Droits de l’Homme sont dans la bouche de toutes nos Élites depuis la découverte du corps du petit Eylan, échoué sur une plage de Turquie.
    Partout, l’émotion est à son comble.
    Mais si tout cela me parait bien légitime, je ne peux m’empêcher de ressentir une grande amertume en pensant à l’accueil que la France avait réservé aux Rapatriés d’Algérie en 1962.

    Pour eux, il ne fut pas question d’Humanité, de Solidarité ou de Fraternité. Je n’ai pas vu de mobilisation des Maires pour les accueillir.
    Je n’ai pas entendu d’appel des artistes pour soulager leur détresse.
    Je n’ai pas souvenir de défilés pour défendre nos traditions d’accueil et leur venir en aide.
    Pourtant, non seulement ils étaient Français, mais eux aussi fuyaient la guerre et la barbarie, puisque les accords d’Évian n’ont jamais été respectés par le FLN.
    Pieds-Noirs et Harkis furent tout simplement abandonnés par les Pouvoirs Publics et les Français de Métropole.
    Qui se souvient des odieuses paroles de Gaston Defferre, maire socialiste de Marseille ? : "En tout cas je ne les recevrai pas ici… Qu’ils aillent se faire pendre où ils voudront. En aucun cas je ne veux des Pieds-Noirs à Marseille."
    Et, comble de l’ignominie, cette phrase abjecte : "Français d’Algérie, allez vous réadapter ailleurs. Il faut les pendre, les fusiller, les rejeter à la mer… Jamais je ne les recevrai dans ma Cité."
    Quant à Louis Joxe, le Ministre négociateur des Accords d’Évian, il ne fut pas en reste :
    "Les Pieds-Noirs vont inoculer le Fascisme en France… Il n’est pas souhaitable qu’ils s’installent en France. Il vaudrait mieux qu’ils aillent en Argentine, au Brésil ou en Australie." Vu ce qui se passe en France et en Europe en ce moment il aurait mieux valu qu'aucun PN ne vienne vivre ici....
    Pompidou voulait les envoyer en Amérique du Sud alors que De Gaulle préférait la Nouvelle-Calédonie ou la Guyane, Terres de pionniers.
    Sans oublier la CGT, qui ne trouvait rien à redire quand ses Dockers jetaient dans le Port de Marseille les caisses des rapatriés, seuls biens qu’ils avaient pu sauver au cours de leur exode. Il est vrai qu’à l’époque, l’URSS soutenait le FLN, dans l’espoir de chasser les Français et d’implanter son Influence dans tout le Maghreb….
    Selon un Sondage de 1962, pour 62% des Métropolitains, il n’était pas question de sacrifice pour aider les Français d’Algérie, rendus responsables de la Guerre et des nombreux morts parmi les Appelés du Contingent.
    Telle fut la Véritable Tradition d’Accueil que la France réserva à ses Propres Ressortissants, il y a plus de cinquante ans !
    Une sinistre Page d’Histoire qui n’honore pas nos Élites de l’Époque et qui contraste amèrement avec les manifestations de générosité déployées aujourd’hui envers les Migrants étrangers.
    Pour beaucoup de Métropolitains, les Pieds-Noirs et les Harkis n’étaient pas Français.
    Pourtant ils n’avaient fait que servir les Intérêts de la République depuis 1830, transformant les Marécages en jardins, éradiquant les Épidémies de Typhus, de Choléra et de Peste.
    En 132 ans de présence, à force de Courage et de Volonté, ils avaient fait pousser partout des Villes magnifiques, des Ports, des Écoles, des Voies ferrées, des Hôpitaux, faisant des trois départements Français d’Algérie le Pays le plus moderne de tout le Continent Africain avec l’Afrique du Sud.
    Personne n’a jamais autant aimé l’Algérie que les Pieds-Noirs.
    Hélas, la Dictature du politiquement correct a fait table rase de ce bilan exceptionnel, ne gardant que l’image caricaturale du colon avide, faisant suer le burnous aux indigènes.
    Il est vrai que le Terrorisme intellectuel n’est pas à un mensonge près, même s’il salit la France…
    Les Français se veulent la Patrie des Droits de l’Homme et des Valeurs Humanistes, évoquant l’Accueil réservé de tous temps aux Populations persécutées : Russes chassés par la Révolution bolchévique de 1917, Espagnols fuyant Franco, Arméniens victimes du Génocide turc, Chiliens, Bosniaques ou boat people vietnamiens…
    Mais ils ont oublié qu’en 1962, ils n’ont même pas été capables d’accueillir dignement leurs propres compatriotes, lesquels n’avaient pourtant d’autre choix que la Valise ou le Cercueil.
    Heureusement, dans leur malheur, les Pieds-Noirs sont arrivés en plein boom économique des Trente Glorieuses.
    Courageux et travailleurs, ils ne mirent pas longtemps à s’adapter et à contribuer fortement à notre Croissance.
    Qu’ils en soient remerciés, car ces Battants qui avaient défriché les Terres hostiles d’Algérie pour en faire un verger ont été et sont toujours une réelle richesse pour la France.

    JACQUES GUILLEMAIN
    Ancien Officier de l'Armée de l'Air


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  • Mélenchon est un fils de Pieds-Noirs qui défend les assassins de Pieds-Noirs…

    Décidément, Mélenchon n’aime pas les Pieds-Noirs.

    Pourtant, il devrait se souvenir que lui-même en est un parce que ses parents sont nés à Oran, deuxième ville française d’Algérie, eux-mêmes nés de parents ayant émigré d’Espagne comme des milliers de familles espagnoles fuyant la misère au début du siècle dernier et s’établissant en Algérie française.

    Enfin, comme ma mère disait,  « Les chats ne font pas des chiens ! » et Mélenchon ne déroge pas à ce vieil adage de bon sens. Quand bien même voudrait-il, par ses positions belliqueuses, effacer ses origines de « Français d’Algérie », il n’en reste pas moins un « Français rapatrié du Maroc » où ses parents s’étaient installés, à Tanger, après leur mariage.

    Il est un pur produit pied-noir, ne lui en déplaise.

    Et il est aussi venimeux que peut l’être une femme trompée lorsqu’il parle de la Résistance des Français d’Algérie contre l’abandon de ce territoire par la France.

    Forcément, le Français d’Algérie résistant a combattu le communisme allié du FLN algérien. Il est tout à l’opposé d’un Mélenchon qui a appartenu à l’Organisation communiste internationaliste (OCI), courant trotskiste-lambertiste, dès l’âge de 17 ans, n’est-ce pas ?

    Alors, il leur en veut, à ces Pieds-Noirs. Comme si lui-même avait été combattu pendant cette période dans sa chair et dans son esprit.

    Déjà, pendant la campagne présidentielle de 2007, alors encarté chez les socialistes, il avait craché son venin que nous ne sommes pas près d’oublier.

    Cet immigrationniste amoureux de l’islam, lors d’un meeting dans l’Est de la France et devant un auditoire conséquent d’arabo-musulmans, s’en était pris avec hargne contre les Pieds-Noirs qui, selon lui, étaient forcément tous Frontistes et donc partisans de la principale adversaire de Royal, Marine Le Pen.

    A quelques mots près, il avait hurlé : « Les Arabes sont nos cousins ! Les PN n’ont pas été fichus de conserver l’Algérie, ils ne vont pas nous emmerder, ici ! S’ils ne sont pas contents ils n’ont qu’à repartir. Nous sommes, ici, chez nous et nous y resterons ! »

    Il va de soi qu’il ne s’adressait pas aux Français de l’Est en général, qui sont sans conteste chez eux, mais aux Arabo-musulmans, en particulier.

    Donc, selon cet illuminé trotskyste, nous, Français d’Algérie, ne sommes pas chez nous en France mais les Arabes, les musulmans, oui.

    Ça fera sûrement plaisir aux millions d’électeurs français qui ont voté pour Marine en 2007, 2012 et 2017, qui l’ont choisie, précisément, parce qu’ils rejettent cette immigration létale pour notre identité nationale. Eh oui ! La virulence mélenchonique s’adresse à eux également. Si, des fois, certains ne l’avaient pas entendue, les voilà prévenus.

    Mais, c’est vrai qu’il doit en rêver, des Français d’Algérie !

    Le 23 septembre, le voilà qui remet ça en s’adressant à Macron, place de la République.

    Et il s’écoute, le bougre, il est content quand la foule hurle, même quand il dit des âneries aussi grosses que lui. Cette fois, c’était « la rue ».

    C’est la rue française qui aurait abattu les nazis… C’est la rue française qui aurait protégé la République contre les généraux félons en 1962…

    Si toutes les formations politiques ont contesté sa référence aux nazis, personne n’a voulu soulever celle, aussi farfelue, aux généraux prétendument abattus par la rue française.

    Même s’il n’avait que 10 ans en 1961, ça la fiche mal pour un professeur auxiliaire de français de ne pas connaître la vraie histoire de France. Celle que tout élève devrait avoir étudiée si ses professeurs gauchistes étaient moins partisans de l’ennemi de la France.

    Parce que c’est « la rue française », en Algérie, qui a porté les généraux Salan, Jouhaud, Zeller et Challe, à s’élever contre l’abandon du pays décidé par le chef d’État.

    La rue française, en Algérie, était unanime derrière ces valeureux généraux de l’armée française qui ont osé se rebeller contre l’infamie de leur chef des armées. Elle les a encouragés. Elle les a suivis. Elle les a protégés. Elle les a aidés. Elle les a cachés. Elle a pris les armes avec eux.

    Et cette « rue française », notre rue française, comptait largement un million d’âmes, toutes confessions confondues.

    En parlant de « la rue française », Mélenchon n’a fait que nommer les communistes, les socialistes, les musulmans qui militaient pour le FLN en France, tous ces syndiqués cégétistes et autres, tous gauchistes aveuglés par leurs idéologies qui n’ont eu que la mort économique et sociale de la France pour seul but.

    Non ! Non ! La rue française n’a jamais été pro arabe. C’est la politique arabe de la France qui a été fatale à la France. Et les communistes, dont Mélenchon, y sont pour beaucoup dans cette politique mortifère.

    Parce que, sans cette politique, nous, Français d’Algérie, serions restés en Algérie. Et les Arabes seraient restés avec nous, chez nous, au pays, à travailler et manger à leur faim.

    Ce sont ces communistes qui sont à l’origine de la misère qui frappe tous ces pays arabes. Ils sont à l’origine de leurs guerres. Ils sont responsables des morts qu’elles ont engendrés, partout où ils les ont générées. Ces communistes qui rêvent d’annihiler notre identité en favorisant l’afflux de migrants africains et arabes de confession islamique.

    Votre rue française, Monsieur Mélenchon, est responsable de la ruine de notre pays.

    Danièle Lopez


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