• Quand les mensonges n’ont plus de limites !

    Immédiatement, les islamo-gauchistes ont lancé le bruit qu’il s’agissait de militants d’extrême-droite…

    On a finalement identifié et capturé les 2 dangereux racistes qui se dénomment…Rédouane et Mohammed et sont des habitants du quartier qui disent ne se souvenir de rien car ils étaient sous l’influence de stupéfiants…

    A ce jour, on attend toujours une rectification de la part des milieux gauchistes qui ont relayé et propagé cette rumeur…

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     https://activitesnation.wordpress.com/


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  • Le témoignage d’une travailleuse humanitaire en Turquie sur les « réfugiés »


    Une travailleuse humanitaire des Nations Unies en Turquie a exposé au grand jour la nature violente et meurtrière des envahisseurs – dont un cas particulièrement horrible où un syrien a égorgé toute une famille avant de se rendre en Europe. 
    La travailleuse humanitaire – qui a depuis démissionné, horrifiée – a produit un rapport qu’un journal britannique, le Daily Express, a obtenu en exclusivité.
    Selon le Daily Express (en), l’ancienne employée de l’ONU travaillait sur « la ligne de front de la crise des réfugiés en Turquie » et son rapport raconte les « horreurs qui lui ont fait quitter son emploi ».
    L’affaire la « plus bouleversante » de sa période comme « conseillère » travaillant pour l’ONU en Turquie était, rapporte le Daily Express, quand elle a « découvert une famille entière assassinée de sang froid par un réfugié qui s’est ensuite enfui vers l’Europe ».
    Selon son rapport, elle est tombée sur une « maison pleine de gens égorgés, enfants inclus ».
    Elle a déclaré que le tueur était un réfugié syrien qui avait « tout pris avant de se diriger à l’Ouest », vers l’Europe.

    Dans une autre « expérience terrifiante », qui l’a ensuite persuadée de démissionner de son emploi, elle a été détenue captive quatre jours et torturée par un groupe rebelle.
    Son « travail » en Turquie se fondait sur une initiative du gouvernement consistant à « reloger les réfugiés loin des camps » dans des maisons turques, où ils recevaient un travail garanti et une chance pour une nouvelle vie.
    Mais, a-t-elle déclaré, « environ un tiers de ceux qui ont reçu l’opportunité de vivre et de travailler dans les villes turques ont fini par fuir en Europe, leurrés par la promesse du mode de vie occidentale » – confirmant une fois de plus que les « réfugiés » ne fuient pas la persécution en envahissant l’Europe.
    Le rapport de la travailleuse humanitaire fournit une preuve supplémentaire en mentionnant que « pas assez n’est fait pour aider – et contrôler – ceux employés dans le cadre du projet du gouvernement turc ».
    Elle a déclaré que les demandeurs n’étaient pas évalués adéquatement, et qu’ils « vont faire n’importe quoi pour obtenir une meilleure vie – ils sont suffisamment perturbés pour causer des ravages où qu’ils aillent ».

    « Ils quittent leur pays vers l’Occident – c’est notre faute pour leur avoir si bien vendu notre mode de vie. Les publicités pour Coca-Cola et les iPhones agissent comme une carotte. »
      

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  • Pompidou et Giscard d’Estaing, ont vendu le peuple Français aux banquiers banksters le 3 janvier 1973!

    Les banquiers privés placent leurs hommes au cœur des Etats et privatisent à nouveau la création monétaire George Pompidou, avant d’être président de la République était un banquier. De 1945 à son élection comme président de la République en 1969. Pompidou exercera des fonctions au sein du gouvernement français tout en continuant durant plusieurs périodes travaillées au service de la banque Rotschild 1954 à 1958 et de 1959 à 1962. Le 8 janvier 1959 il est devient Directeur général de la Banque Rothschild. Pourtant, il sera néanmoins nommé en mars 1959 au Conseil constitutionnel où il siégera jusqu’en 1962. On observe donc à nouveau un grave manque d’indépendance entre les intérêts de l’Etat français et ceux des intérêts privés des banques. Puis la banque de France a été nationalisée en 1945 par le Général de Gaule, donc durant cette période l’Etat retrouve le contrôle sur le crédit et sur la monnaie. Mais le président Pompidou, l’homme des banquiers de l’époque, ne l’entend pas de cette oreille. L’article 25 de la loi du 3 janvier 1973, de Pompidou et Giscard d’Estaing, "interdit au Trésor public d’être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France". L’Etat français bascule donc à nouveau sous l’emprise financière directe des banquiers privés.


    La dette publique: une affraire rentable pour... par Zeki972

    La Dette de la France n’existe pas !
    « La réalité est que la dette publique française est d’abord due aux intérêts payés aux établissements financiers auxquels nous avons emprunté. Pourquoi ? Parce que la loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973, puis l’article 104 du traité de Maastricht, ont ôté le droit de création monétaire à la Banque de France et livré la monnaie aux banques et sociétés d’assurance. La dette fin 1979 était de 239 milliards d’euros, fin 2008 elle s’établit à 1327 milliards d’euros, soit une hausse de 1088 milliards en 30 ans, pendant lesquels nous avons payé 1306 milliards d’intérêts ! » Cheminade oct 2009
    Les citoyens doivent dire NON à l’austérité sociale que la pensée dominante veux nous imposer!
    Afin de faire face à la colère qui vient! Afin de faire face à la logique destructrice du système ! Afin de faire face au mépris de la classe dirigeante, en montant sur la scène de l’histoire! Afin de rompre avec la règle du jeu!

    http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/


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  •  Syrie: un charnier de l'EI découvert à Palmyre .

    Une rue de Palmyre en Syrie, le 31 mars 2016

    Une rue de Palmyre en Syrie, le 31 mars 2016

    afp.com/JOSEPH EID

    Damas - L'armée syrienne a annoncé samedi avoir découvert à Palmyre un charnier contenant les cadavres de 42 personnes exécutées par le groupe Etat islamique (EI) dont le chef "paiera pour ses crimes", ont promis les Etats-Unis.

    Le chef du groupe jihadiste, Abou Bakr al-Baghdadi, est activement recherché par les Américains qui affirment avoir tué le numéro deux de l'EI, Abdel Rahmane al-Qadouli. 

    Une coalition internationale conduite par Washington mène des frappes aériennes contre l'EI en Syrie et en Irak, parallèlement aux opérations de l'armée syrienne et de son allié russe contre les jihadistes. 

    Un haut responsable américain a dit samedi que son pays envisageait d'augmenter le nombre de soldats des forces spéciales américaines déployés en Syrie, actuellement au nombre d'une cinquantaine. 

    Dans la ville de Palmyre (centre), connue pour ses ruines classées au patrimoine mondial de l'Humanité et reprise le 27 mars à l'EI, "l'armée a découvert un charnier comprenant les restes humains de 24 civils, dont trois enfants, et de 18 militaires", a affirmé à l'AFP une source militaire syrienne. 

    D'après cette source et l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), il s'agit de dépouilles d'officiers et de membres de leurs familles exécutés par l'EI, entré dans la ville en mai 2015. 

    L'armée est à "la recherche d'autres charniers", a précisé la source. 

    "L'EI a exécuté au moins 280 personnes durant son occupation de Palmyre", a indiqué à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH. 

    - Peur de revenir - 

    Les jihadistes ont également mutilé de nombreux trésors archéologiques de cette cité surnommée "la Perle du désert". 

    Près d'une semaine après le départ des jihadistes, la population de Palmyre, estimée entre 50.000 et 70.000 personnes avant la guerre et à 15.000 durant la présence de l'EI --qui ont fui les combats des dernières semaines--, n'était toujours pas revenue. 

    "Les gens ont peur des représailles du régime mais aussi des mines plantées un peu partout par l'EI dans la ville", a indiqué à l'AFP M. Abdel Rahmane. 

    "En plus, de nombreuses maisons ont été aplaties par les bombardements de l'aviation russe avant la prise de Palmyre", a-t-il indiqué. 

    A 70 km à l'est de la cité antique, l'armée bombardait la ville de Sokhné tenue par l'EI. "Si le régime prend Sokhné, il partira de là-bas pour lancer une offensive contre la province de Deir Ezzor" plus à l'est et contrôlée en majorité par les jihadistes, d'après M. Abdel Rahmane.  

    L'OSDH a fait état samedi de 40 morts dans les rangs de l'EI, surtout des étrangers, à la suite de frappes vraisemblablement russes sur un village au nord-ouest de Deir Ezzor. 

    L'EI est dans la ligne de mire des forces gouvernementales surtout depuis le début fin février d'une trêve, imposée par les Russes et les Américains au régime et aux rebelles et qui exclut les jihadistes. 

    - Trêve menacée ' - 

    Si cette cessation des hostilités est globalement respectée, le Qatar, farouche opposant au régime de Bachar al-Assad, a averti samedi que les frappes aériennes des forces gouvernementales ayant fait jeudi plus de 33 morts dans des zones rebelles non loin de Damas risquaient de torpiller le fragile cessez-feu. 

    "Ce bombardement criminel (...) reflète la politique du régime qui consiste à tuer des civils (...) et menace de torpiller" le cessez-le-feu et les "efforts internationaux pour une solution politique", préviennent les Affaires étrangères du Qatar dans un communiqué. 

    A Ryad, une source du ministère saoudien des Affaires étrangères a elle aussi condamné "dans les termes les plus forts" l'"affreux massacre commis par les forces du criminel Bachar al-Assad", dénonçant "une violation de la cessation des hostilités", selon l'agence officielle saoudienne SPA. 

    Des négociations de paix indirectes entre régime et opposition se sont tenues en mars à Genève et devaient reprendre en avril pour tenter de mettre fin à cinq années de guerre qui ont fait plus de 270.000 morts. 

    Dans le nord de la Syrie, l'artillerie turque a de nouveau bombardé des positions de l'EI près de la frontière, a rapporté samedi la presse turque. 

    Ces tirs effectués depuis la région frontalière de Kilis (sud) ont ciblé des implantations de l'EI près de la ville d'Azaz, au nord d'Alep, a précisé l'agence Dogan. 

    Au sud d'Alep, le Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda, et ses alliés ont pris le contrôle de la ville d'Al-Eis, proche de la route qui relie Alep à Damas, selon l'OSDH. 

    http://www.lexpress.fr/


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  • Pour mémoire,le colonel Gamal Abdel NASSER fut le maître de l'Egypte de
     1952 jusqu'à sa mort, en 1970.
     C'est lui qui nationalisa le canal de Suez.
     Farouche adversaire d'Israël, il tenta d'unifier le monde arabe à son profit
     Le voile en 1953 ..

    A REGARDER ABSOLUMENT!
    Un grand morceau d' « Anthologie » à conserver précieusement.
     Lors d'une conférence, Nasser le président rigole très franchement avec l'assemblée, d'une demande des Frères musulmans de rendre le port du voile obligatoire...
     Nous sommes en Egypte et en 1953, plus de 60 ans plus tard cette
     scène semble tout simplement inimaginable, même dans un pays occidental...


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