• 20.000 € d’armoires chauffantes pour les 50 « migrants »

    20.000 € d’armoires chauffantes pour les 50 « migrants » de Mauzac-et-Grand Castang en Dordogne

    Publié par :Thomas Joly

    La République, toujours aussi généreuse avec les deniers des travailleurs « de souche »,  vient de faire un bien beau – et onéreux – cadeau de Noël aux « réfugiés »1 qu’elle a accueillis à Mauzac-et-Grand Castang  .

    Pensez donc, ces malheureux 50 clandestins2se plaignent depuis leur arrivée de la tiédeur des repas fournis par la prison de Mauzac.

    Aussitôt, craignant sans doute d’être la cible des immigrationnistes de tous poils très actifs en Périgord, M. le Préfet de la Dordogne a ordonné que cesse cette atteinte inadmissible aux droits de l’homme !

    Ainsi, afin de réchauffer les plats, vu que les horaires de repas ne concordent pas entre la prison et la résidence des « invités » de la France, M. le Préfet vient de fournir des armoires chauffantes pour un montant de 20.000 €.

    Inutile de vous décrire la tête des matons du Centre Pénitentiaire qui sont payés avec parcimonie et qui attendent depuis des lustres que leurs heures supplémentaires soient réglées !

    Mais peu importe les états d’âme des ces Français qui ont les élus qu’ils méritent, ce qui compte c’est primo que  les « valeurs républicaines » soient sauves et secondo que les 50 « migrants » - tous des hommes – puissent manger chaud !

    Enfin, quand nous écrivons 50, c’est sans compter sur les 3 qui, juste avant le 13 novembre dernier, on disparu et que M. le Préfet n’a toujours pas retrouvés.

    Peut-être ont-ils été invités à réchauffer leurs plats chez Mme Taubira ?

    (1) Sud-Ouest  du 8 décembre écrit : « Même s’ils sont libres de leurs mouvements, leur interaction avec l’extérieur est plutôt réduite. Elle se résume à des trajets jusqu’au bar tabac de Sauveboeuf pour se ravitailler en cigarettes et surtout en cartes SIM pour leurs téléphones. Sur ce trajet, il n’est pas rare qu’ils croisent des Mauzacois. Mais ce sont deux mondes qui s’ignorent. Les premiers gardent la tête baissée quand les seconds restent habités par une certaine méfiance. « Nous sommes coincés ici, grogne le Tchadien. Même si ma demande est rejetée, je veux le savoir, car je pourrai partir. » Où ? « À Calais. » 

    (2) Ce chiffre varie selon les estimations des associations « caritatives »… De 50 à leur arrivée, le 27 octobre, ils ne sont plus que 49 aujourd’hui. En effet, l’un d’eux a quitté les lieux dès le lendemain. « Il est reparti à Calais », croit savoir un jeune Tchadien d’une vingtaine d’années.

    Source : http://www.medias-presse.info


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