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  •  NOS SDF FRANCAIS Par: Sylvestre Brunaud..

    Un billet de 2016  mais d'actualité .

     NOS SDF FRANCAIS

    Ça tombe sous le sens : il faut aider nos compatriotes en souffrance en priorité. Le SDF devient un prétexte bien utile pour ne pas s’intéresser à ses hommes et femmes à la rue, sur les trottoirs, qui n’ont de droits nulle part, et valsent (sans mauvais jeu de mots) d’expulsions en expulsions ,dont aucune loi de respect pour eux.

    Finalement au passage de ce qui est de l'Etat Français de monsieur Hollande  qui n'aime pas les riches, ou comme les maires et préfet de région au lieu de prendre tous cela en considération, dont ne fait rien pour défendre « nos SDF français », au moins de la protection civil qui s'accorde normalement dans ce contexte. "civile et sanitaire", il faudrait les laisser ces derniers dans la rue. Cela ferait un rempart tout trouvé à l’immigration. Après tout, tant que le bruit et l’odeur restent bien Français, c’est moins dérangeant , ce qui est intéressant à observer dans cet argumentaire d’un genre nouveau, c’est le glissement sémantique qui s’opère pour qualifier le SDF. De l’assisté, bon à rien, déchet de la société, alcoolique, on va vers le compatriote qu’il faut défendre.

    Du parasite de la société, il devient le frère Français, le camarade dont il faut s’occuper. Surprenant quand on connaît les idéologies véhiculées jusqu’ici à propos des sans-abri et marginaux. Là encore, si le bon SDF Français peut être un rempart aux autres, il mérite bien qu’on lui donne un petit pécule journalier .En clair, sur un territoire où l’État, le conseil régional, le conseil général, l’agglomération et la municipalité sont tenues par le PS, aucune solution n’est proposée. Pires, les acteurs se renvoient la responsabilité du fléau humanitaire et sanitaire. Les politiciens locaux sont paralysés à l’idée de donner une solution à l’approche surtout des élections, et le lendemain (Basta) redoutant de faire passer des SDF plus ou moins pour des privilégiés. En attendant, les privilégiés sont à la rue, et vivotent avec l’aide de militants associatifs admirables d’humanité et de courage.

    Pour finir ce billet dont <<Jamais j’aurais un mot de travers nos SDF. Les insulter, ça serait m’insulter moi-même>>

    Sylvestre Brunaud ..


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