• LA SECONDE GUERRE MONDIALE EST PASSÉ AUSSI PAR MERS El KÉBIRPieds Noirs 9A..

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    LA SECONDE GUERRE MONDIALE EST PASSÉ AUSSI PAR MERS El KÉBIR
    "Le bombardement de la base navale de Mers-El-Kébir en Oranie ( Algérie )"
    Qui a eu lieu du 3 au 6 juillet 1940
    Témoignage de Raymond FERRERES


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  • Boudinet fait barrage à Marine avec le seul bras que Macron lui a laissé .

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  • Grand remplacement 3 : Molenbeek, au cœur de Bruxelles-Khalifat !


     Livre Noir

     Cette enquête a été tout d'abord censurée. 

    Personne ne voulait que vous la voyez. 

    Mais face à l’enjeu trop important, nous avons choisi de la diffuser. Molenbeek : au cœur de Bruxelles-Califat. Un sujet est totalement absent du débat présidentiel. Il est pourtant un enjeu majeur pour nos vies, celles de nos enfants, et pour notre civilisation. Ce sujet, c’est l’islamisme. 

    C’est pourquoi, en accord avec nos abonnés que nous avons consultés, et parce que nous avons toujours souhaité peser à notre niveau dans le débat politique, nous prenons le pari de diffuser à nouveau, en accès libre, notre reportage GRAND REMPLACEMENT 3 - MOLENBEEK. À 3h de Paris, près de Roubaix, des femmes blanches, catholiques, sont obligées de se voiler pour sortir de chez elles. 

    Cela arrivera chez nous, avec le soutien d’un électorat Mélenchoniste de plus en plus conséquent. Convaincus qu’il est d’intérêt publique, et que la censure concernait avant tout une précédente vidéo de Papacito sur notre chaîne, nous faisons le choix de la partager ce soir.


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  • L'Ukraine s'engage dans une guerre sale : des bataillons d'anciens criminels pour contrôler la population et l'armée

    russiepolitics 

    La guerre en Ukraine est en train de prendre un tournant : la constitution de bataillons, non plus néonazis, mais purement criminels. 

    C'est le cas dans la ville de Kharkov, prise en otage par les condamnés de droit commun de Kiev - dans le sens littéral du terme. L'Occident a besoin d'une guerre sale.

    Kiev ne peut pas gagner proprement la guerre, autant qu'une guerre puisse être propre, l'Ukraine a donc accepté de se battre contre son peuple, voire contre son armée régulière, trop affaiblie par la Russie et en grande partie désarmée. De toute manière, l'Ukraine n'a pas le choix, elle doit lancer jusqu'au dernier Ukrainien dans ce combat à mort pour l'honneur, en tout cas l'existence, du monde atlantiste. C'est le prix à payer. C'est la seule manière, dont l'Ukraine intéresse le monde occidental.

    L'on apprend ainsi par le ministère russe de la Défense, que trois nouveaux bataillons sont formés à Kharkov : "Slabojanchina", "Kharkivtchina-1" et "Kharkivtchina-2". Ces bataillons sont constitués d'anciens criminels, condamnés pour crimes graves et très graves, et ayant purgé leur peine dans les prisons locales. 

    Ces bataillons ont pour but d'empêcher le départ des civils de la ville de Kharkov, autrement dit ils doivent garder la population ukrainienne en otage.

    Et puisque des militaires ukrainiens ont la bonne ou mauvaise idée, selon le point de vue, de se rendre à l'armée russe, ces bataillons criminels doivent également surveiller l'armée et ont ordre de détruire les sections de l'armée régulière ukrainienne, si elles ne font pas preuve de zèle au combat ou tente de se rendre.

    Le Secrétaire général adjoint de l'OTAN avait justement déclaré que la première phase du conflit allait bientôt prendre fin et que la seconde phase serait beaucoup plus sanglante. Le conseiller de Zelensky, Arestovitch, lui aussi avait déclaré que si l'armée ukrainienne allait bientôt manquer de moyens, cela ne mettrait pas fin à la guerre, elle allait s'engager dans toutes les rues du pays.

    Tous préparent une guerre sale. Et contre cette guerre, la Russie ne peut pas gagner en restant à distance, en faisant quelques tirs précis. Si elle n'assure pas une présence sur le territoire qu'elle veut démilitariser, elle risque un Afghanistan à ses frontières.


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  • La Pologne ne veut plus commander et recevoir des vaccins Covid

    La Pologne ne commandera ni ne paiera plus de doses de vaccin COVID-19, dans le cadre du contrat d'approvisionnement de l'Union européenne, a déclaré mardi son ministre de la Santé, ouvrant la voie à une bataille juridique avec les fabricants.

    La Pologne, ainsi que d'autres membres de l'UE, ont reçu des vaccins COVID-19 pendant la pandémie de coronavirus, dans le cadre de contrats d'approvisionnement conclus entre la Commission européenne et des fabricants de vaccins, tels que BioNTech SE (22UAy.DE) et Pfizer (PFE.N) ou Moderna (MRNA .O) .

    Le plus grand fournisseur de la Pologne est Pfizer. Cependant, le pays a enregistré une consommation de vaccins inférieure à celle de la plupart des pays de l'Union européenne et dispose d'un stock de vaccins excédentaire, dont une partie a été vendue ou donnée à d'autres pays.

    "À la fin de la semaine dernière, nous avons utilisé la clause de force majeure et informé à la fois la Commission européenne et le principal producteur de vaccins que nous refusons de prendre ces vaccins pour le moment et que nous refusons également de payer", a déclaré le ministre de la Santé Adam Niedzielski. diffuseur privé TVN24.

    "En effet, la conséquence de cela sera un conflit juridique, qui a déjà lieu", a-t-il déclaré.

    La Pologne ne peut pas résilier directement le contrat de fourniture de vaccins car les parties aux contrats sont la Commission européenne et les fabricants, a-t-il déclaré.

    La valeur du contrat de fourniture de vaccins à la Pologne jusqu'à la fin de 2023 avec un seul producteur valait plus de 6 milliards de zlotys (1,4 milliard de dollars), dont plus de 2 milliards de zlotys pour la fourniture en 2022.

    Pfizer a déclaré que son accord sur la fourniture de son vaccin COVID-19 aux États membres de l'Union européenne était avec la Commission européenne.

    "Nos discussions avec les gouvernements et les détails des livraisons de vaccins sont confidentiels", a-t-il ajouté.

    Le partenaire de Pfizer, BioNTech, a seulement déclaré que Pfizer était en charge de la relation commerciale avec la Pologne.

    La Pologne, un pays d'environ 38 millions d'habitants, a signalé 5.983.864 cas de coronavirus et 115.809 décès.

    Le porte-parole de la Commission européenne pour la santé, Stefan de Keersmaecker, a déclaré mardi lors d'une conférence de presse que les États membres étaient liés par des obligations contractuelles, mais qu'il comprenait la "position difficile" de la Pologne.

    "Nous continuons à faciliter les discussions entre le gouvernement polonais et l'entreprise afin de trouver une solution pragmatique à cette situation spécifique à laquelle le pays est confronté", a-t-il déclaré.

    En Pologne, 59% de la population a été vaccinée avec deux doses et 31% a reçu un rappel. Ce chiffre est bien inférieur à la moyenne de l'UE de 72,5% et de près de 53%, respectivement.

    (1 $ = 4,2868 zlotys)

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