• Par: Pieds Noirs 9A..

     

    On dirait que les Ukro-nazis essaient de faire un remake des techniques utilisées par les Nazis pendant la seconde guerre mondiale et comme les barbares du FLN en Algérie .

    Moment politiquement : il y a des nazis en Ukraine, et ils ne sont pas si marginaux que ça. Et certains en France, sans même le savoir, défilent à côté de leur drapeau rouge et noir ! Il faut dire la vérité ! .

    Marche néo-nazie à St. Pétersbourg, 2014. Photo.
     

    - brûler tous les millions de livres écrits en russe car les Russes sont des sous-hommes qu’il faut éliminer, et un autodafé pour un nazi c’est beau et c’est classe ;

    - expérimenter des produits biologiques sur les populations russes (46 laboratoires financés par les USA installés en Ukraine et populations du Donbass ciblée comme groupe préférentiel d’expérimentations sur l’homme de produits biologiques mortels) .

    - utiliser les civils comme boucliers humains, torturer et tuer systématiquement tous les prisonniers de guerre russes, sauf ceux qui peuvent faire l’objet d’un échange financièrement lucratif (otages donc) ;

    - faire souffrir et humilier les civils ukrainiens russophones en les torturant et en les exposant attachés à des arbres à la vue de tout le monde sans qu’ils ne puissent bouger (on imagine la souffrance de rester debout pendant des jours et des nuits et d’être obligé d’uriner et de déféquer dans ses propres habits) 

    - condamner les civils (femmes et enfants compris) à rester terrés dans des caves comme de vulgaires rats pendant des années ;

    - tirer des obus de gros calibre volontairement sur des centres urbains civils densément peuplés comme Donetsk, de préférence sur des écoles, des centres hospitaliers et des maternités...etc., etc., etc.

    Mais évidemment, quand on écoute les journalistes et les hommes politiques en Occident, ces gens sont paraît-il charmants comme tout. 

    Je ne suis pas croyant, mais si je devais croire en quelque chose, je croirais au Diable et je dirais qu’il habite les USA et qu’il a établi sa résidence secondaire en Ukraine. On comprend mieux pourquoi l’église orthodoxe russe soutient Poutine dans son combat contre le Mal dans ce proto-pays voué à disparaître.

    Guerre en Ukraine : Qui sont les "néonazis" dont parle Vladimir Poutine ?

    Les procès en préparation contre ses guerriers Ukro-nazie s’annoncent chargés, et finira ses jours en Sibérie par exemple.

    Et on essaie de nous faire croire que ces gens la sont des héros. Les cette presse Française, dans cette guerre d'Ukraine, auront été absolument au-dessous de tout.

    Pieds Noirs 9A..


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  • À Tours, deux écoliers refusés en classe car vêtus d’une jupe



     

    Polémique à l’école Sainte-Jeanne-d’Arc de Tours. 

    Deux petits garçons n’ont pas été admis en classe, s’étant présentés l’un en jupe et l’autre en robe, malgré une interdiction de la direction. 

    Il faut dire que les parents n’en étaient pas à leur première tentative. La directrice avait d’abord argué que ce n’était pas « pratique » pour le sport, les parents s’étaient exécutés, mais voyant que des petites filles venaient en jupe, ils ont réitéré. La Nouvelle République (3 juin) relate que les deux écoliers de 4 et 6 ans sont restés assignés dans le bureau de l’administration. En guise de protestation, leur père Émelin s’est présenté à 16 heures à la sortie de l’école… lui aussi vêtu d’une jupe. Ambiance !

    Ce dernier fulmine : « Mon fils de 6 ans aime le rose, les paillettes et porter des robes. Il n’est pas accepté en classe quand il en porte » et sort l’artillerie lourde wokiste : « Pour moi, c’est juste une question d’égalité. Chacun doit pouvoir s’habiller comme il l’entend sans subir de brimade. » Des arguments progressistes qui auront bientôt libre cours dans notre Hémicycle et dans notre pays, faute d’avoir su les combattre dans les urnes. Le père d’affirmer à BFM TV (15 juin) : « Quand on voit ce qui se fait actuellement en termes d'éducation non genrée dans les pays nordiques comme la Suède, on se dit qu'on est très en retard en France. »

    Nul doute qu’un tel relativisme sera bientôt communément admis, mais pour l’instant quelques directeurs diocésains, tel Bernard Le Floch, semblent encore parvenir à résister. Pour combien de temps avant le lynchage médiatique ? Sans surprise, dans la nuit du 12 au 13 juin, l’école Sainte-Jeanne-d’Arc a été la cible de tags par Actions féministes Tours, un « collectif féministe intersectionnel et non mixte ». Sur les murs, on lisait ces slogans charmants : « Je m’habille comme je veux, pas de  dans nos écoles » ou encore « Son corps, sa tenue, son choix... »

    Interrogez n’importe quel psychologue ou éducateur, tous répondront qu’un enfant a besoin de règles et de limites pour grandir en harmonie. Le magazine Parents écrit, sur son site, que « c’est entre 3 et 6 ans que l’enfant prend conscience qu’il n’est pas tout-puissant et qu’il existe des règles de vie à la maison, à l’école, au parc, bref en société, à respecter ». Donc, clamer « son choix » pour cet âge-là relève soit de l’inconscience soit de l’idéologie.

    Interrogé par La Nouvelle République, Bernard Le Floch se défend de tout jugement de valeurs mais rappelle qu’« en France, on a, qu’on le veuille ou non, des codes sociaux […] Ce sont des valeurs que l’on essaie de respecter, aussi pour que les enfants s’y retrouvent. » Pour l’heure, les parents sont invités à inscrire leurs enfants à l’école publique à la rentrée prochaine. Gageons qu’ils y seront accueillis selon le slogan McDo « Venez comme vous êtes », puisqu’ils se rendent déjà en robe au centre de loisirs « sans aucun souci ».

    Si c’est la première fois en quarante ans d’expérience que le directeur diocésain de Tours est confronté à ce type de situation, l’Éducation nationale en général, et l’enseignement catholique en particulier, vont devoir s’y préparer. Faudra-t-il interdire le port de la jupe à l’école pour tout le monde ? C’est ce que vient de faire, en Angleterre, la Tiverton High School, qui impose l’uniforme « en pantalon seulement » pour être « plus neutre sur le plan du genre ». Si le port de l’uniforme semble une bonne réponse, la neutralité des genres l’est nettement moins. Comme pour la loi sur les séparatismes, pour ne pas stigmatiser certains, on met tout le monde dans le même bain.


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  • Que retenir du passage des dirigeants européens à Kiev, sinon la capitulation de l'Europe ?

    Après le passage du Triumvirat "union-européen" à Kiev, l'on se demande finalement ce qu'il reste de l'Europe ... Leurs doutes quant à l'armement de l'Ukraine, quant à son entrée dans l'UE sont balayés d'un revers de phrase, l'alignement atlantiste des pays européens est absolument total. A ce rythme-là, c'est l'Europe que l'on va enterrer à Kiev, de nos propres mains, avec notre propre faiblesse, pendant que l'Occident atlantiste se lance dans la Première Guerre globale.

    Macron, Scholtz et Draghi sont allés hier à Kiev, non pas rappeler le soutien de l'Europe à l'Ukraine, comme cela était annoncé, mais bien la soumission des pays européens au dogme atlantiste. Même le Président roumain, très présentable à la différence du polonais, a été rattaché à la queue, l'Europe de l'Est se devait de cautionner le mouvement, tout en restant discrète.

    Le fil Twitter de Macron est très révélateur de cela et il suffit de lire ce tweet pour le comprendre :

    Sa conférence de presse pose l'alignement : l'Ukraine doit être acceptée comme candidate à l'entrée dans l'UE (la Turquie y est depuis longtemps, mais c'est symbolique), l'on va livrer encore 6 canons Caesar - pour mieux tirer sur les civils, l'intégrité territoriale de l'Ukraine est sacrée et c'est à elle de décider comment finir cette guerre.

    Retenons particulièrement ce passage de la conférence de presse de Macron :

    Nos Trois Grâces se penchant sur le berceau ukrainien ne semblent là, que pour lui apporter les moyens de se détruire. Plus aucune hésitation n'est de mise, les jeux sont faits, cette visite rappelle l'allégeance européenne à l'OTAN. Comme le souligne le NYT dans son briefing de ce matin :
     
    Alors que la ligne est posée, celle du combat jusqu'à la victoire - militaire, et donc jusqu'à la capitulation de l'autre, le journal allemand Die Welt laisse entendre que nos trois voyageurs ont fait le déplacement pour faire entendre raison à Zelensky et le conduire à des pourparlers avec la Russie, ce qui est largement repris en Russie par les médias. Cette fable trouve même des "experts" pour sérieusement le répéter. Comme si Zelensky était autonome, comme si nos trois larrons pouvaient délivrer un message propre, nationale, autre que celui exigé par l'OTAN. Et ce, justement le jour où l'OTAN renforce l'aide militaire apportée à l'Ukraine ...
     
    Comme souligne le sénateur russe Tsekov :
    "Des pourparlers auront lieu avec l'Ukraine après sa capitulation".

    Car pour être honnête, tout pourparler actuellement a pour but de faire reculer politiquement l'autre, le conflit n'étant pas épuisé. C'est bien d'ailleurs ce qu'a déclaré Macron à Kiev, en disant qu'il fallait aider l'Ukraine à faire une guerre - longue, sans que personne ne sache actuellement à quoi pourrait ressembler une victoire. La difficulté de ce conflit est qu'il n'est pas classique, il ne sera épuisé que par la chute du modèle global de gouvernance ou par la capitulation idéologique de la Russie. Mais chacun comprend bien que la dimension militaire est fondamentale pour appuyer sa position politique, c'est pour cela que l'armée russe avance en sécurisant désormais les territoires, c'est pour cela que l'Occident fournit des armes et des moyens à l'Ukraine (qui va passer à l'armement de l'OTAN selon Stoltenberg), c'est pour cela que d'autres territoires possibles de conflit se préparent (Moldavie, par exemple, qui par ailleurs peut aussi recevoir le statut de candidate à l'entrée à l'UE cet été - What else?).

    C'est bien la Première Guerre globale, qui se déroule sous nos yeux.

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