• DESCENDONS DANS LE TERRIER DU LAPIN BLANC ET SUIVONS L'ARGENT...

     Qui est véritablement Vanguard ? 

    Et quel est son puissant rôle dans l'économie mondiale...

    Cet empire est il la partie immergé de l'iceberg ? Entrons dans le terrier du lapin blanc et suivons l'argent...


    votre commentaire
  •  


    votre commentaire
  • Dr RYAN COLE : ..."J'ai reçu une note très intéressante d'un médecin de famille qui est en Irlande depuis 40 ans.
    Il connaît sa communauté, ses patients. Et il a dit, hé, beaucoup de mes patients se font vacciner. Certains ne le font pas, mais ceux qui le font… et il a énuméré le nombre de cancers qu'il a vus sur une période de six semaines, comme il n'en a jamais vu en 40 ans de carrière"...

    Rumble


    votre commentaire
  • Le temps des barbares est venu : en Belgique, le viol d’une fillette de 8 ans

     
     
     

    Aujourd'hui, le temps de la barbarie est venu, et nul n’est protégé. 

    Ni le médecin militaire catholique, ni le vieux prêtre qui, après une vie de service, célèbre sa messe, ni la vieille dame coupable d’être juive, ni le couple de policiers devant chez lui. Ni les petites filles dans leurs familles.

    À Doische, dans la province de Namur, en Belgique, un « fait divers » sordide - car c’est ainsi que les  nomment, avec une ignoble retenue, les crimes perpétrés par des immigrés extra-européens - s’est déroulé au printemps 2021. Révélé par le site d'un des principaux quotidiens belges francophones La Dernière Heure, ce drame a fait peu de bruit : vous n’en lirez sûrement pas la trace ailleurs.

    Entre janvier et mars 2021, un Syrien arrivé en Belgique en 2019 viole sa belle-fille de huit ans, de façon répétée. Le crime est révélé par la grossesse de la fillette. « Il a été décidé de procéder à une interruption volontaire de grossesse thérapeutique car, vu son âge, elle n’aurait pas pu la mener à son terme sans mettre sa propre vie en péril », précise le parquet de Namur. L’analyse ADN du bébé avorté révèle l’identité du criminel, que la fillette n’a jamais voulu dénoncer. On n’arrive pas à imaginer la terreur de cet enfant, le massacre moral et psychologique infligé, la torture physique des actes subis.

    L’audience s’est tenue mercredi au tribunal correctionnel de Dinant, le compte rendu est ubuesque.

    L’accusé a reconnu les faits, mais en impute la responsabilité à la consommation d’alcool : « C’est la première fois que je buvais, je n’ai pas su me contrôler », et à l’attitude de la fillette : « Elle a huit ans mais elle est plus âgée que cela dans sa tête. Elle est venue sur mes genoux et m’a fait des bisous puis m’a demandé cette relation. »

    L’avocat de la défense a réclamé un sursis. La raison ? Le parcours de son client, arrivé en Belgique en 2019. Toute honte bue, il n’hésite pas à dire : « Dans son pays, les jeunes filles peuvent se marier à 13 ans. À la suite des faits commis, il y a eu une prise de conscience. Il souhaite s’adapter à nos lois et vivre à la belge. » Un crachat lancé à la figure de son pays hôte, qui n’en tiendra sûrement aucun compte.

    Bref, un violeur victime… de ses origines culturelles. S’il y a bien quelque chose qu’il aura rapidement appris de notre Occident décadent, de notre Europe Orange mécanique, c’est la culture de l’excuse, la déresponsabilisation du moindre de ses actes et de ses conséquences, la  sans frein, qui semblent être devenues le mode de fonctionnement de nos sociétés.

    Dans ce compte rendu, l’usage biaisé des mots tend à déformer cette réalité trop horrible pour la minorer et en gommer le caractère pédophile : cela ne fait, en réalité, qu’ajouter de l’indignité au crime.

     La « jeune fille » avait huit ans au moment des faits, elle en a neuf aujourd’hui : c’est donc une fillette. L’homme qui l’a violée – mais où, donc, était la mère de cette petite fille ? – a 27 ans, mais on parle de lui comme d’un « jeune homme ». Comme pour faire passer ce comportement animal et barbare comme un délit induit par la différence culturelle entre la société belge et le mode de vie syrien.

    Triste exemple, encore, de l’abolition criminelle de la volonté occidentale : on ne veut plus voir ce que l’on voit. La réalité, la  des faits sont gommées. Jusqu’à quand ?


    votre commentaire
  • «700 000 morts lors des canicules de 1718-1719»

    Sur les rives de l'Elbe le 26 juillet 2018. (Photo AFP / Tobias SCHWARZ) 

    Attention, c'est Libé qui le dit, donc de gauche cochant toutes les cases de la vraie information et ne pouvant en aucun cas être soupçonné de complotissssssssssme

    Archives
     
    Interviewé en 2003, l'historien Emmanuel Le Roy Ladurie revenait pour «Libération» sur les précédents coups de chaleur qui avaient touché la France.
    par Antoine de Baecque
     

    [Mise à jour du 7 août 2018 : en 2003, à l'occasion de l'épisode caniculaire, Libération avait interviewé Emmanuel Le Roy Ladurie. Nous republions cet article aujourd'hui.]

    Emmanuel Le Roy Ladurie, 74 ans, professeur au Collège de France, a écrit une Histoire du climat depuis l'an mil (Flammarion, 1967), maintes fois rééditée, qui reste le livre de référence sur le sujet.

    Que faut-il penser de la canicule actuelle ?

    J'aurais plutôt tendance à la relativiser ; même si l'aggravation du phénomène d'effet de serre est une rupture dans l'histoire du climat qui peut ouvrir une nouvelle ère climatique avec un ou deux degrés de différence. Ce qui aurait des conséquences incalculables. Mais l'actualité d'un été chaud, c'est autre chose : ce genre de grande sécheresse n'a pas manqué dans l'histoire française. En 1168, la Sarthe a séché. De même, l'été magnifique de 1351, où le prix du froment a été multiplié par trois à cause de sa rareté, avec «échaudage», comme l'on disait, ce qui entraînait des moissons et des vendanges très précoces, un vin en faible quantité mais excellent. Vous avez aussi des séries d'étés caniculaires consécutifs, des microères climatiques : 1331-1334, quatre étés de suite, 1383-1385, trois étés, ou encore la première moitié du XVIe siècle, particulièrement douce, où l'on peut parler d'un petit âge du réchauffement. L'été, les glaciers reculent beaucoup, la neige fond très haut. En 1540, beaucoup de témoins habitant les Alpes l'ont noté. A partir de 1560, on entre dans une autre période climatique, le «petit âge glaciaire», les étés caniculaires se font plus rares. Il y en a cependant encore, par exemple en 1636, l'été du Cid, où les témoins évoquent «un effroyable harassement de chaleur» pendant plusieurs semaines à Paris.

    En cas de forte chaleur, quel est l'ennemi principal des Français ?

    D'une part, la précocité et le faible rendement des récoltes, donc la rareté du grain, son prix qui flambe. D'où des phénomènes de disette, voire de famine. Mais la pluie est l'ennemi numéro 1, davantage que la chaleur : l'été pourri est plus redouté que l'été trop chaud. En revanche, la mortalité grimpe lors des étés trop chauds à cause de la dysenterie. Le niveau des fleuves et des cours d'eau baisse, l'eau puisée pour vivre et boire est plus vaseuse, infectée, polluée, et la mortalité est spectaculaire. 500 000 morts lors de l'été 1636 ou de l'été 1705, 700 000 lors des étés caniculaires de 1718-1719, avec même l'apparition de nuées de sauterelles et une forme de climat saharien sur l'Ile-de-France. Ces morts, ce sont surtout les bébés et les petits de l'année. Il y a, régulièrement, des générations décimées en France par la chaleur. Actuellement, les principales victimes, dans une proportion moindre, ce sont les vieux. L'autre conjoncture catastrophique était ce que l'on peut appeler le «modèle profiterole», c'est-à-dire une accumulation rapprochée de catastrophes climatiques. C'est le cas du contexte prérévolutionnaire : en 1787-1789 se succèdent de fortes pluies à l'automne, la grêle au printemps 1788 et un été suivant caniculaire. Ce fut explosif : échaudage, disette, cherté du grain. C'est à partir de ce moment que la chaleur a mis les gens dans la rue, et n'a plus été acceptée comme une simple fatalité.

    C'est-à-dire que les Français, en période de chaleur, commencent à se tourner vers les pouvoirs publics ?

    Moins les étés deviennent meurtriers, plus les gens se tournent vers l'Etat, et ce n'est pas un paradoxe : à partir du moment où l'Etat se mêle de plus près de la vie des gens, ceux-ci sont plus exigeants et plus enclins à dénoncer les incuries du pouvoir central. Ce processus historique accompagne la baisse de la violence, confisquée par l'Etat, ou la chute de la mortalité. Les interventions de l'Etat en période de canicule visent essentiellement à conjurer ou à limiter les effets de la famine. Dès la fin du XVe siècle, Louis XI tente d'instaurer un «maximum» (un contrôle des prix) en période de canicule. L'intervention massive vient avec Louis XIV et Colbert, très typique de la monarchie absolue : importations de blé, interdiction d'exporter, instauration de réserves dans les greniers d'abondance. Cela vise aussi à répondre aux deux principales accusations des Français en période de canicule : l'Etat ne fait rien ou, au contraire, ferait tout pour spéculer sur la cherté du blé, c'est ce qu'on appelle au XVIIIe siècle le «complot de famine».

    Comment les gens ou les autorités anticipaient-ils les étés trop chauds ?

    Plus encore qu'aujourd'hui, les Français ne parlaient que de cela : le climat était le sujet principal de conversation. Les marchés, par exemple, étaient suspendus aux nouvelles. On trouve aussi des théories, assez tôt, non pas sur les prévisions, impossibles, mais sur les tendances. Les fontes de glaciers ou les séries étaient interprétées : Mme de Sévigné évoque le fait que «le procédé du soleil et des saisons a changé» pour expliquer une série d'étés caniculaires successifs. Les curés jouaient aussi un rôle spécifique, ils étaient les baromètres de l'époque, prédisant plus ou moins le climat à venir. Si bien que les autorités, souvent sous la pression des Français, pouvaient anticiper. Arrachage de vignes, par exemple (entre 1587 et 1600), ou même constitution de réserves d'eau potable, qui commencent dès le début du XIXe siècle dans certaines municipalités.

    Pas de diesel, pas de surpopulation et surtout pas de journalopes pour crier "au loup" !


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique