•  Le droit de savoir 

    Système de marquage nazi des prisonniers

    Système de marquage nazi des prisonniers

     

    Les nazis avaient développé un système de symboles d'étiquetage des prisonniers permettant d'identifier la cause de leur incarcération. Dans certains camps, le traitement variait selon le marquage porté par les détenus.

     

    1. Marquage pour les prisonniers politiques de la compagnie disciplinaire.
    2. Marquage pour les Juifs asociaux.
    3. Marquage pour les apatrides juifs.
    4. Marquage pour les prisonniers politiques juifs.
    5. Marquage pour les Juifs. (Étoile de David)
    6. Marquage pour les Juifs « honte de la race »
    7. Marquage pour les prisonniers « asociaux », tels que les Tsiganes, les vagabonds, les alcooliques, les prostituées, les lesbiennes, les handicapés, les malades mentaux
    8. Marquage pour les apatrides (notamment, les républicains espagnols déchus de leur nationalité par Franco).
    9. Marquage pour les criminels de droit commun.
    10. Marquage pour les prisonniers formés au travail.
    11. Marquage pour les homosexuels allemands. Ce signe n'a cependant pas été systématiquement utilisé : il n'apparaît qu'en 1937, après la vague la plus massive d'internements des homosexuels, et une partie des internés au titre du paragraphe 175 pénalisant l'homosexualité masculine se sont vu attribuer un autre marquage (triangle bleu, rouge ou noir) en fonction de leur « parcours » judiciaire
    12. Marquage pour les Témoins de Jéhovah.
    13. Marquage pour les prisonniers politiques allemands, les résistants et les autres prisonniers politiques, en grande partie les communistes. La première lettre du nom allemand du pays d'origine était ajoutée.
    14. Marquage pour les prisonniers politiques français.
    15. Marquage pour les prisonniers politiques espagnols.
    16. Marquage pour les Tsiganes dans certains camps.

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  • Municipales : virez vos maires à migrants, et pas une voix pour les collabos !

    Le dimanche 15 mars, cela sera donc le premier tour des municipales (sauf si la panique coronavirus devient telle qu’ils annulent les élections !). Depuis 2014, date des dernières élections, nos communes ont été, pour trop d’entre elles, soumises à une accélération de la submersion migratoire, à cause de la politique criminelle de Merkel, soutenue par le traître Hollande.

    L’appareil d’État s’est mobilisé pour imposer – via ses préfets, ses associations humanitaires et antiracistes, ses milices antifas, ses journaleux de propagande, ses juges « Murs des Cons » – à des communes, petites, moyennes ou grandes, des dizaines, des centaines, parfois des milliers de faux réfugiés, qui pour beaucoup ne fuyaient pas la guerre, mais venaient la faire chez nous, comme les récents événements grecs le confirment.

    Cette politique a bien sûr un coup exorbitant, et l’argent que l’État consacre – avec nos impôts et nos taxes – à ces nouvelles populations, par une politique de préférence étrangère qui crève les yeux, ne va pas aux SDF français qui crèvent sur les trottoirs, ni à nos agriculteurs dont près de deux se suicident par jour en moyenne annuelle.

    Mais le pire n’est pas là. D’abord, l’Association des maires de France, présidée par François Baroin (qui se voit en recours des LR pour 2022) n’a pas bougé, au contraire, devant ce viol de la démocratie, et l’imposition aux maires de devoir accepter des dizaines de clandestins dans leur ville, sans avoir leur mot à dire.

    Mais il n’y a pas que les maires de gauche des grandes villes qui ont trahi leurs électeurs et les Français. Il y a aussi tous ces maires LR de droite, les LREM ou les Modem, qui non seulement ont favorisé l’accueil de ces envahisseurs, mais qui, d’autre part, ont acheté, tout au long de leur mandat, le vote musulman, par des concessions sans fin aux soldats d’Allah. L’exemple de Christophe Lagarde, épinglé, mais aussi d’Estrosi à Nice, Benisti à Villiers-sur-Marne, et tant d’autres, est accablant. L’islamiste Iquioussen, sans vergogne, expliquait d’ailleurs à ses ouailles le mode d’emploi pour faire chanter les élus…

    Et puis il y a les petits maires locaux collabos, comme ce Gérard Dubois à Pessat-Villeneuve, qui s’est vanté, pour le plus grand bonheur du préfet, d’avoir accueilli des dizaines de réfugiés dans l’urgence, sans en parler à sa population, et a pleurniché ensuite parce qu’il recevait quelques réactions, pas toujours amicales, suite à son coup de force.

    Il y a aussi eu la résistance victorieuse des habitants d’une petite ville bretonne, Arzano, dont on voulait réquisitionner la gendarmerie pour installer des dizaines de clandestins, avec l’accord et la complicité active du maire, Anne Borry.

    Des maires collabos comme cela, il y en a des centaines. Ce sont eux qu’il faut faire payer, en les virant, dans les petites villes, en rayant leur nom si la commune fait moins de 1.000 habitants et qu’il est le seul candidat, ou bien, dans les grandes villes, en votant pour les candidats de la droite nationale ou parfois d’autres listes, où les postulants se positionnent clairement dans le combat patriote, contre l’invasion de nos villes et l’islamisation de notre pays.

    Si les électeurs veulent remettre en place des maires ou des équipes collabos à Paris, Marseille, Lyon, Nice, Nantes, Rennes, Strasbourg, et tant d’autres, là où nos villes, superbes, sont petit à petit détruites par ces envahisseurs, qu’ils ne pleurent pas pour la suite, et qu’ils crèvent.

    Mais si d’autres électeurs font payer la note à quelques traîtres prêts à brader leur commune et son patrimoine culturel au nom de l’idéologie mondialiste, qu'ils ne se gênent surtout pas !

    Pas une voix pour des maires ou des listes comprenant des gauchos, des écolos, des Insoumis, des cocos, des socialos et autres raclures LREM ou Modem, pas une voix pour les LR collabos, sanctionnez-les dans les urnes !

    Source : http://ripostelaique.com


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  • Femen en pointe dans le combat contre la pandémie patriarcale

    Les nichons de Femen sont comme les chiens en appartement : de temps en temps, il faut leur faire prendre l’air ; et, franchement, ils commençaient à me manquer. Pour tout dire, j’avais fondé de gros espoirs sur la cérémonie des César, mais il y avait sans doute, ce soir-là, trop de concurrence à se pousser en avant dans la guerre des sexes.

    Heureusement, ce dimanche, la « Journée internationale des droits des femmes » venait opportunément s’intercaler entre deux autres journées d’importance planétaire et tout aussi passionnantes : hier, celle « de l’impro » (?) et, lundi, celle « du rein ». Bonne occasion, pour nos compagnes, de ressortir les calicots rangés, il y a trois mois, après la manif contre les violences sexistes, et de se masser, place d’Italie, pour défiler, entre autres, contre la répartition inéquitable du travail domestique, avec un héroïque jeter collectif de gants de ménage ! Pas très écoresponsable, quand même… Mais aussi contre les effets supposés négatifs, pour les femmes, de la réforme des retraites (tant qu’on y est…) et les « violences gynécologiques et obstétricales » que mes sadiques de confrères leur font subir quotidiennement. Travailler là où les autres s’amusent, n’est-ce pas déjà un signe patent de perversité ?

    Quant aux tsunamis et aux invasions de sauterelles, ils ne sont pas encore imputés au machisme, mais nul doute que ça ne tardera guère.

    Les Femen ne pouvaient, évidemment, pas rater une occasion aussi « féministement » correcte d’afficher leurs maigres appas mais, fidèles à leur habitude, ne voulaient pas se mélanger à la plebeia femina modèle Bastille-Nation. C’est donc place de la Concorde, sans risque de promiscuité autre que celle des journalistes convoqués, que les amazones avaient décidé de se produire au petit matin pour « nettoyer les rues du virus patriarcal délétère et repousser les violences sexistes ».

    À en croire les Parisiens, il y aurait beaucoup d’autres choses – moins abstraites mais plus malodorantes – à balayer dans leurs rues, mais ne décourageons pas les bonnes volontés.

    Il se murmure, toutefois, qu’initialement, les Femen projetaient de produire leur happening contre la pandémie patriarcale à La Courneuve ou à Bobigny, et que seule la crainte du Covid-19 dans le métro les a forcées à ne se dépoitrailler qu’au pied d’un obélisque solitaire en érection permanente. Dommage, on se serait bien amusé…

    Richard Hanlet

    Source : http://bvoltaire.fr


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  • « Pourquoi la crise actuelle sera bien pire que celle de 2008 »

    L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    La Chine ne se rallume pas.

    L’Italie s’éteint.

    La Corée du Sud résiste.

    Le Japon aussi malgré toutes ses écoles fermées et des JO qui seront sans doute reportés.
    La France vacille, et connaîtra un moment très difficile d’ici 10 jours.
    Aux Etats-Unis, la gestion du début de l’épidémie a été lamentable.
    Il faut dire que Trump, tout à sa réélection, voulait une bourse élevée, un chômage très bas, et une économie en bonne santé grâce à lui.
    Alors l’épidémie a été sous-estimée.
    Les gens meurent aux Etats-Unis sans avoir été détectés.
    Bref, cela se voit juste, mais d’ici trois semaines, le système américain sera mis en tension.
    Il n’y a donc aucune raison de croire ou d’imaginer que cela va aller mieux.
    Au contraire, ce sont des larmes trop nombreuses qui nous attendent a priori pour les prochaines semaines.
    Pour ceux qui pensent que la grippette passera bien vite au printemps, allez voir dans « chronique de la pandémie » les déclarations du docteur Ryan de l’OMS.
    Il n’y a aucune raison de penser que ce sera le cas.
    L’économie du monde est donc en train de s’éteindre et cela va durer encore de plusieurs semaines à plusieurs mois.
    La crise économique de 2008 était financière, et pour lutter contre une crise financière il « suffit » comme nous l’avons vu, d’imprimer de l’argent !
    La crise économique de 2020 est une crise de l’arrêt des flux de l’économie réelle.
    Le chômage va exploser.
    La croissance n’aura pas lieu et le monde sera très rapidement en récession.

    Les banques vont tanguer.
    Partout ce sera compliqué jusqu’aux pénuries à venir liées à la rupture des chaînes mondialisées d’approvisionnement.
    Je vous dis presque tout dans le dernier JT de l’éco.
    Partagez, abonnez-vous à la chaîne youtube, et surtout… préparez-vous et informez vos proches.
    Ce n’est pas une grippette économique, c’est une économie totalement grippée…




    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
    Charles SANNAT

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