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  • UN SEUL CHOIX: L’ETAT NATIONAL OU LE CHAOS.

    Qu’elles soient sanitaires, économiques, sociales, financières, internationales, migratoires ou géopolitiques, les crises mettent en lumière l’incapacité des démocraties — singulièrement des démocraties européennes — à faire face.Tiraillés entre leur crainte de ne pas en faire assez et celle de devoir en faire trop, soumis à l’idée qu’ils se font d’une opinion publique qui n’attend pourtant d’eux que l’action, les dirigeants occidentaux tanguent et roulent sous les coups des tempêtes comme autant de bateaux ivres. 


    En France, cette main tremblante de l’Etat dissimulée sous le gant d’une autorité brandie mais non assumée, on la voit se recroqueviller après chaque attaque terroriste islamique, au moment de chaque pic de la déferlante migratoire, devant chaque menace du Président turc et chaque décision commerciale ou stratégique de Washington.


    Aujourd’hui l’épidémie de coronavirus sévit. Elle aura sa fin. Dans ses effets sanitaires, comme dans ses conséquences économiques et sociales possiblement bien plus redoutables que la maladie elle même. 


    Mais un jour ou l’autre cette érosion continue de l’autorité de l’Etat se transformera en effondrement. Ce jour là, quand viendra le temps de la paralysie nationale, y compris en termes d’ordre public, ce sera le chaos. Peut être bien plus vite que l’on ne le croit, l’expérience de l’Histoire montrant que lorsque les choses deviennent possibles, elles ne tardent pas à se réaliser.
    Le combat national est avant tout une course contre la montre. Seuls les Etats forts sont en capacité de protéger leurs peuples.
    Jean-François Touzé


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  • Ce dimanche 8 mars, Brigitte Macron s'est retrouvée bien malgré elle au cœur d'une nouvelle polémique. Si la Première dame est habituée des critiques et des attaques au moindre de ses faits et gestes, elle ne devait pas s'attendre cependant à être prise pour cible par des participants du carnaval indépendant de Nice. Alors qu'elle participait à Paris, aux côtés de son Gamin de mari, à un meeting pour la journée internationale des droits des femmes, une grosse tête à son effigie a été brûlée sur la place Garibaldi, d'après Nice-Matin.


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  • Environ 4.000 citoyens grecs armés patrouillent la frontière pour stopper les migrants : « Pas un seul ne passera ! »

    « Ici, il n’y a pas de loi. Nous ne laisserons personne passer en Grèce, pas un seul ! », dit Yorgos, qui est l’un de ceux qui gardent la frontière de la Grèce avec la Turquie, bien qu’il ne soit ni soldat ni garde-frontière. Comme des milliers d’autres ici.

    Des fermiers et des retraités portent des vêtements noirs et de lourdes bottes, imitant les forces spéciales grecques, et marchent le long d’une route dans le cadre d’une patrouille de nuit à la recherche de migrants tentant de traverser la frontière avec la Turquie. Ils ont crié « On vous aura la prochaine fois ! » à un groupe de migrants qui avaient réussi à passer et qui se sont enfuis.

    Les citoyens ordinaires, dont beaucoup en ont assez, prennent les choses en main.

    Les villageois des villes frontalières forment des patrouilles civiles pour traquer les migrants. Des habitants de l’île ont mis en place des barrages routiers, d’autres ont attaqué physiquement des travailleurs humanitaires et des journalistes, les accusant d’aider les migrants à venir sur l’île.

    « Nous n’en pouvons plus. Nous voulons retrouver notre vie. » Avec d’autres habitants, elle s’est rassemblée autour d’un petit feu sur le bord de la route, formant un barrage routier improvisé destiné à empêcher les migrants de traverser le village.

    « Depuis que nous nous sommes débarrassés des ONG, il n’y a plus eu de nouveaux migrants », a déclaré un homme au barrage du village de Moria, à Lesbos. « Est-ce une coïncidence ? Non. C’est fini, nous reprenons le contrôle. »

    Source : http://lalettrepatriote.com


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  • Pascal Praud réagit aux menaces portées contre lui par des rappeurs

    VIDÉO. Insulté et violemment ciblé dans un clip des rappeurs Sneazzy et Nekfeu, le journaliste ne devrait pas porter plainte pour éviter d'alimenter la polémique.

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