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  • Prenez connaissance de la liste des 52 « genres sexuels » déconnectés du réel publiée par Facebook

    Faites attention à votre santé, car le mal de crâne est garanti. Vous pouvez prendre un Doliprane dès à présent avant d’entamer l’écoute de la vidéo ci-dessus. Il est difficile de l’écouter jusqu’au bout, nonobstant le fait que ce soit pas de la faute de l’intervenant… D’un point de vu strictement rationnel et mathématique, toutes ces affirmations sur les « non-genrés » ne signifient rien du tout. À l’avenir, il faudrait créer une IA complètement dézinguée pour que des bots en ligne (ou des robots à l’extérieur) puissent traiter ces non-informations, positivement du moins.

    Ces frappadingues tournent en rond et les définitions se ressemblent toutes : de neutre, à non-binaire en passant par les « trans je-ne-sais-quoi » (avec ou sans opération chirurgicale, etc.). Les deux genres réels et indéboulonnables, que sont homme et femme, ne sont même pas décomptés dans ce « document de référence » (sic) publié en 2014 via un des sites à l’avant-garde dudit progressisme (comprendre la dégénérescence et la transgression morale), j’ai nommé State (c’est du niveau de Konbini). Ces barjots se rendent-ils seulement compte du ridicule qu’ils prodiguent à leurs ouailles tombées sous leurs griffes ?

    Noyés par leur écriture dite inclusive entre autres (aliénation et barbarie ultime contre la langue de Molière), leur verbiage amphigourique et logomachique, sans queue ni tête (dans tous les sens du terme !), ces dingos, complètement incultes et se croyant pourtant très intelligents, producteurs de concepts « et tout et tout », se croient accessibles qu’à une élite, celle de la tyrannie homosexualiste. La blague !

    L’Occident est devenu si décadent, déraciné, antitraditionnel, et si confortable à la fois, que des gens, souvent forts médiocres, faibles et hypocondriaques, s’inventent des problèmes tellement ils n’en ont pas : ainsi sont les soi-disant turpitudes liées à la grossophobie, à la glottophobie et tutti quanti. Je ne crois pas que ce sujet aurait effleuré l’esprit des poilus pour les diverses raisons susmentionnées d’ailleurs (tradition et soucis concrets).

    Désormais, plus rien n’existe véritablement en ce bas monde, l’ordre naturel, l’homme, la famille, la nation, la race  et la civilisation sont rangés au rang du néant. Tout cela participe logiquement du tout transhumaniste, technologiste, antinaturel et antisocial que nous dénonçons régulièrement.

    Source : http://integralisme-organique.com


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  • 18 mars 1871 : la Commune de Paris commence

    Il y a 150 ans débutait la Commune de Paris, période insurrectionnelle et meurtrière qui dura 71 jours dans la capitale.

    Nationalistes et nationaux ne peuvent qu'être partagés.

    D'un côté, le peuple résistant, la foi patriotique, le refus de l'étranger, la volonté sociale, le colonel Rossel. De l'autre, l'anti-chistianisme acharné, les incendies, les exactions, la chienlit révolutionnaire des internationalistes, l'ignoble Louise Michel, les redoutables blanquistes...

    D'un côté le mur des Fédérés et l'ombre sanglante de la bourgeoise thieriste, de l'autre le chaos.

    Jean-François Touzé - Délégué général du Parti de la France


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  • Montauban (82) : un homme fonce sur un policier avec un couteau, ce dernier fait alors usage de son arme

    On assiste à une banalisation de ce genre de faits“, nous confie un policier encarté au syndicat Alliance. Les faits dont il parle sont graves. Vendredi 12 mars 2021, à 19 heures, la police reçoit un coup de téléphone d’un habitant de Montauban dans le Tarn-et-Garonne. Un homme, bien connu des services de police, aurait été vu rue Frédéric Cayrou avec un couteau de 20 centimètres, il serait un danger pour lui-même. Les forces de l’ordre interviennent alors pour éviter ce qui semble être une tentative de suicide. Mais l’homme devient menaçant pour la police.

    Sur place, les premiers policiers en civil demandent des renforts. Des forces de l’ordre arrivent en tenue, l’homme muni de son couteau fonce alors sur l’un d’entre eux. Surpris, le policier tire, sans toucher son agresseur.

    L’homme aurait ensuite été “tasé” afin que les policiers puissent le désarmer et l’interpeller. “Après avoir été vu par un médecin, il a été placé en garde à vue dans les locaux de Montauban“, indiquent les policiers.

    Le policier syndiqué que nous avons contacté fait part de sa satisfaction en apprenant que le procureur ouvre une enquête pour tentative d’homicide. “Cela montre que le procureur espère faire entendre la dangerosité de ces faits. Cependant, l’affaire ne sera probablement pas portée aux assises, elle risque d’être re-qualifiée en violence volontaire ou aggravée“.

    L’enquête devrait révéler le profil de l’agresseur, espèrent les policiers. “On saura s’il était malade ou sous l’emprise de drogue“.

    […]

    France 3 via fdesouche


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  •  Jean-Vincent Placé tente d’embrasser une gendarme contre son gré, il est condamné à 5.000 euros d’amende pour « harcèlement sexuel »

    Les faits, qui remontent à 2016, ont été commis au préjudice d’une gendarme affectée à la sécurité du logement de fonction de celui qui était alors secrétaire d’Etat au sein du gouvernement Valls.

    […]

    Ce soir-là, après le dîner, Jean-Vincent Placé, alors sénateur écologiste de l’Essonne et secrétaire d’Etat à la réforme de l’Etat et à la simplification au sein du gouvernement de Manuel Valls, regagne son logement de fonction situé rue de Babylone, dans le 7arrondissement de Paris. Une gendarme affectée à la sécurité du bâtiment se trouve à l’entrée, le secrétaire d’Etat tente de l’embrasser contre son gré, puis l’invite à le suivre en ces termes : « Venez avec moi et vous verrez, ça va être sympa. » Suffisant pour caractériser le harcèlement sexuel tel que défini par l’article 222-33 du code pénal, qui punit « le fait d’imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle ».

    […]

    Cette nouvelle condamnation ne figurera pas au casier judiciaire de l’intéressé, pas plus que les trois mois de prison avec sursis et les 1 000 euros d’amende qui lui avaient été infligés en septembre 2018 pour violences et outrages. A l’époque, Jean-Vincent Placé avait été reconnu coupable d’avoir, quelques mois plus tôt lors d’une soirée arrosée dans un bar du centre de Paris, importuné et poussé une cliente, puis insulté les policiers venus le cueillir à la sortie de l’établissement dont il avait été expulsé.

    Le Monde via fdesouche

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