• Le clandestin sous contrôle judiciaire après l’incendie de la cathédrale de Nantes tue un prêtre

    Le laxisme judiciaire et immigrationniste tue. Tue des personnes innocentes, des Français honnêtes, des prêtres accueillants. Si le bras armé est celui d’un clandestin sous contrôle judiciaire, l’idéologie mortifère qui anime le bras est cette bien-pensance qui préfère l’étranger au compatriote, le coupable à la victime…

    Ce lundi matin 9 août 2021, le Père Olivier Maire, supérieur des Montfortains a été assassiné par un criminel qu’il hébergeait par charité, à Saint-Laurent-sur-Sèvre en Vendée. Il est décédé après avoir reçu des coups selon les premiers éléments de l’enquête. L’assassin n’est autre que le Rwandais mis en examen pour l’incendie à la cathédrale de Nantes le 18 juillet 2020. Il avait été remis en liberté sous contrôle judiciaire en juin dernier après plusieurs mois d’incarcération dans l’attente de son procès. L’auteur présumé sortait d’un séjour en hôpital psychiatrique et était hébergé par la communauté des frères missionnaires Montfortains. Ce clandestin avait reçu une obligation de quitter le territoire Français en 2019 qui n’a jamais été appliquée.

    Ce meurtre horrible commis par un sans-papier, déjà soupçonné d’avoir incendié la cathédrale de Nantes alors qu’il était accueilli par la communauté catholique locale, à l’heure où le gouvernement Castex, sous les ordres de Macon, impose un passe sanitaire à l’ensemble des Français pour les tâches de la vie quotidienne, où ces mêmes Français ne sont plus libres d’aller et venir sur le territoire de leur nation sans devoir montrer un passeport santé, témoigne plus que jamais de l’anarchie-tyrannie dans laquelle sombre la France, Macron régnant. Fort avec les honnêtes gens, faibles avec les malhonnêtes.

    Comme le remarque ironiquement certains internautes sur twitter  :

     « Si j’ai bien compris le nouveau monde on peut incendier la cathédrale de Nantes faire un peu de prison sortir et tuer un prêtre par contre manger une moules frites en terrasse sans pass sanitaire c’est impossible . Quand l’autorité de l’Etat n’a plus aucun sens. »

    « 1-Je suis clandestin avec une OQTF en 2019

    2-J’incendie la cathédrale de #Nantes en 2020

    3-Je suis remis en liberté et pas expulsé et tue un prêtre en 2021.

    4-Pour protéger les français dans leur vie de tous les jours le #PassSanitaire entre en vigueur aujourd’hui : ça rassure ! »

    « Macron impose l’entrave de la liberté d’aller et venir le jour-même où un prêtre est assassiné en Vendee par un criminel remis en liberté. La 3e dose est une coulée de sang. La France des innocents bâillonnés est à l’agonie. »

    Par ces quelques lignes, l’ancien président du Conseil Régional de Vendée, Philippe de Villiers, souligne toute l’absurdité du « passe sanitaire » hygiéniste sous couvert de sécurité sanitaire et la malhonnêteté du discours sécuritaire de l’actuelle macronie.  

    Quant aux habitants de Saint Laurent sur Sèvres, ils ont accueilli le ministre de l’Intérieur Gérard Darmanin par les cris :

    « Darmanin démission ! » 

    Francesca de Villasmundo

    Source : medias-presse.info


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  • Jeunes aux vies brisées après les injections anti-covid

    Jeune italien de 31 ans, décédé quelques heures post de la vaccination. En attente des résultats d’autopsie, une plainte déposée par parents à quelques jours de son anniversaire. « Un pizzaiolo de 31 ans décède au lendemain du vaccin, raconte Le Corriere del Veneto, en Italie. » Comme en France, les autorités de santé régionales italiennes, la Direction de l’USL 7 Pedemontana, minimisent le lien de causalité entre le décès et la vaccination anti-covid en déclarant dans une note  « qu’à l’heure actuelle il n’y a aucune raison de suspecter un lien de causalité entre les deux événements » c’est-à-dire entre la mort de l’homme de 31 ans et le fait que la veille il avait reçu la première dose de vaccin anticovid. Les parents ont fait appel à un avocat : « Je veux absolument savoir ce qui est vraiment arrivé à mon fils » sont les mots de la mère de Mattia Brugnerotto, Terry, désespérée par la perte de son unique enfant.

    Autre jeune home victime de l’injection anti-covid Pfizer, le jeune Eliot, 24 ans, futur pilote de chasse.

    Et une jeune maman de 23 ans meure du vaccin (thromboses) et laisse une orpheline de 19 mois. Et un autre père de famille.

    Et ainsi de suite… des morts et des effets secondaires graves à la pelle !

    Source : medias-presse.info


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  • Algérie : le « Système » touché en plein cœur de sa pseudo « légitimité » historique

    Le blog officiel de Bernard Lugan

    Une furieuse polémique divise actuellement l’Algérie. Elle est d’autant plus vive qu’elle a fait remonter à la surface l’artificialité de la nation algérienne et l’opposition entre la berbérité et l’arabo-islamisme. Et cela, à travers la mise en lumière du coup d’Etat par lequel, en 1962 les « planqués »[1] de l’ALN (Armée de libération nationale) ont évincé les combattants de l’intérieur.

    Tout est parti des déclarations de Noureddine Aït Hamouda à une chaîne de télévision privée au sujet d’Abd el-Kader, de Messali Hadj, de Ben Bella, ainsi que des présidents Boumediene et Bouteflika qu’il qualifia de « traîtres ». Ce faisant, Amrane (dit Nouredine) Aït Hamouda, ancien député du parti kabyle RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie), fils du colonel Amirouche Aït Hamouda, chef emblématique du maquis kabyle de la willaya III, tué au combat le 29 mars 1959, visait le cœur même du « Système » algérien à travers son histoire fabriquée. La réaction de ce dernier a été immédiate : Noureddine Aït Hamouda a été jeté en prison…

    En 2008, Nouredine Aït Hamouda avait déjà provoqué un tumulte quand il avait dénoncé les faux moudjahidine légitimés par l’ONM (Office national des Moujahidine, le Ministère des anciens combattants), socle du « Système » algérien dont la « légitimité » repose sur le mythe de 1,5 million de morts de la guerre d’indépendance, chiffre surréaliste permettant de justifier ces deux millions de porteurs de la carte de moudjahidine et d’ayants-droit qui forment sa clientèle. Pour le « Système », la dénonciation des faux moudjahidine représentait donc déjà un danger mortel. Or, l’actuelle polémique est encore plus dangereuse pour ceux qui dirigent et qui pillent l’Algérie depuis 1962 car, ceux que Noureddine Aït Hamouda accuse de « traitrise » sont les chefs de la tendance arabo-islamiste du courant nationaliste algérien actuellement au pouvoir.

    Je laisse de côté le cas historique de l’émir Abd el-Kader qui sera traité dans le numéro de juillet de l’Afrique Réelle, pour m’en tenir aux accusations portées par Nouredine Aït Hamouda contre des personnages contemporains.

    Un retour en arrière s’impose. Dès le lendemain du second conflit mondial, la question berbère divisa le courant nationaliste algérien. En 1948, dans son appel à l’ONU, le PPA/MTLD (Parti du peuple algérien-Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques) dirigé par Messali Hadj, inscrivit la phrase suivante : « La nation algérienne, arabe et musulmane existe depuis le VIIe siècle », ce qui provoqua la fureur de la composante kabyle du mouvement.

    Puis, en 1949, au sein du PPA-MTLD, éclata la « crise berbériste » qui opposa les Kabyles voulant faire reconnaître la « berbérité » comme partie intégrante du nationalisme algérien, à la direction arabo-islamique du mouvement laquelle s’y opposait farouchement. Ce fut alors que fut posée la question de l’identité algérienne : est-elle exclusivement arabo-islamique ou berbère et arabo-islamique ? (Voir à ce sujet mon livre Algérie l’histoire à l’endroit).

    Pour la direction du mouvement et pour Messali Hadj, arabisme et islamisme étaient les éléments constitutifs sans lesquels l’Algérie algérienne ne pourrait pas faire « coaguler » des populations qui n’avaient jamais formé un tout commun. Tout était donc clair : l’Algérie était une composante de la nation arabe, sa religion était l’islam et le berbérisme un moyen pour le colonisateur de diviser les Algériens.

    Les berbéristes furent donc écartés de la direction du PPA/MTLD, et ce fut alors que le Kabyle Hocine Aït-Ahmed perdit la direction de l’OS (Organisation Spéciale) au profit de l’Arabe Ben Bella.

    L’opposition entre berbéristes et arabo-islamistes se prolongea durant toute la guerre d’indépendance algérienne qui, sur le terrain, fut essentiellement menée par des Berbères dont les chefs étaient Abane Ramdane, Amirouche Aït Hamouda, Krim Belkacem ou Hocine Aït Hamed, etc. Or, les dirigeants du FLN, notamment Ben Bella, Boussouf, Bentobbal, Boumediene et Bouteflika, qui se réclamaient de la ligne arabo-islamique, même quand à l’image de Boumediene, ils n’étaient pas Arabes, firent tout pour marginaliser les chefs politiques et militaires kabyles à leurs yeux suspects de berbérisme. La liquidation physique d'Abane Ramdane et la mort d’Amirouche, illustrent cette lutte à mort.

    Durant plusieurs années après l’indépendance, les souvenirs de l’éviction des Berbères par les tenants de la ligne de l’arabo-islamisme furent enfouis sous forme de non-dit. Mais, en 2010, ils resurgirent avec une grande intensité avec la parution du livre « Amirouche, une vie, deux morts, un testament », que Saïd Sadi consacra à Amirouche Aït Hamouda, le père de Nouredine Aït Hamouda.

    La thèse du livre qui est au cœur du contentieux qui divise actuellement l’Algérie, est que le colonel Amirouche Aït Hamouda, chef du maquis kabyle et de la willaya III, tué dans une embuscade, aurait été donné aux Français par ses rivaux arabo-islamistes du MALG (Ministère de l’Armement et des Liaisons Générales, le service de renseignement de l’ALN), notamment par Abdelhafid Boussouf et Houari Boumediene, afin d’éliminer un dangereux rival, ce qui a permis de coup d’Etat de l’ALN durant l’été 1962.

    Or, les héritiers de ceux qui livrèrent Amirouche forment aujourd’hui le « Système » algérien…

    Bernard Lugan

    [1] Planqués parce que, réfugiés au Maroc et en Tunisie, ils n’ont pas véritablement combattu l’armée française et cela, à différence des maquisards de l’intérieur auxquels ils volèrent l’indépendance.


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  • Jean-Marie Le Pen déplore les poursuites contre Cassandre Fristot

    Jean-Marie Le Pen : « La poursuite engagée contre une manifestante isolée portant une pancarte illisible, sauf par la télévision, est un de ces cas d'imbécillité qui, au lieu de combattre l'antisémitisme, le propage. »


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