• Immigration, violence, insécurité à Nantes et partout en France. « Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve » [L’Agora]

    Résultat de recherche d'images pour "violences insécurité nantes breizh infos"

     Des mômes se font frapper, taillader à la sortie des bars. Les petites racailles se flinguent pour contrôler le marché de la drogue, les migrants déferlent, squattent, errent, rodent, agressent, et déferlent encore, les roms cambriolent à tout va. La société multiculturelle, à Nantes et ailleurs, tient toutes les promesses des Cassandre et pourtant, personne ne semble prendre la mesure de la chute.La chute, certains attendent qu’elle advienne, comme un grand soir, avec un black-out électrique et l’arrêt des trains et des avions.Pourtant la chute a déjà eu lieu, et ce qui subsiste, ce sont des mouvements du corps, des réflexes nerveux, tels ceux du chat que la voiture a percuté.Ce policier qui demande les papiers de la dame parce qu’elle a mis deux roues dans la voie de bus, mais qui n’est pas en bas du lycée squatté par des centaines de clandestins.Ce jeune qui s’engage dans l’armée par tradition et instinct et qu’on envoie combattre les islamistes payés pas le chômage en France.Ces impôts payés de toutes parts, sur la moindre activité, collectés mécaniquement et aussitôt déversés à une foule d’improductifs, haineux parfois, comme des fauves indomptables, venus eux-mêmes s’enfermer dans la cage dorée.Ces ministres et ces élus, qui n’ont à la bouche que la République, quand le champagne finit de rincer les mets les plus fins.  La chute est en cours. 
    D’autres pans de l’édifice s’amoindriront et s’effondreront.C’est une étrange expérience de vivre cela autrement que de regarder la carte et les récits lointains de la chute de Rome.
    Dans la chute nous ne sommes pas moins que nous-mêmes.
    Nous avons appris que le pantin étatique, s’il reste fort en apparence quand il déploie ses zombies, est faible de ce qui seul justifie son existence, la sécurité commune.
    Déjà les gens qui ont compris s’organisent en solidarité.
    Bientôt les espaces de relâchement de l’ancien ordre nous mettrons face à notre nécessaire réorganisation, locale dans un premier temps.
    Déjà les temps durs forgent une jeunesse qui ne veut plus subir.
    Une jeunesse qui ne se laisse pas faire et qui se bat, un peu pour rien, mais au moins pour montrer qu’elle n’est pas dégénérée et faible.Tous les dogmes qui ont mené à cette situation sont battus en brèche.La société multiculturelle ne pouvait exister que sur un ordre policier très dur assisté d’une justice non moins sévère.C’est le modèle américain, et certains de nos amis semblent encore en rêver, comme un moindre mal, en adulant les chefs étrangers réputés couillus et brutaux.La justice et la police forment un duo solide pour combattre ceux qui se lèvent en parallèle de ses manquements, en aucun cas pour faire tenir l’édifice hasardeux du vivre ensemble.  “Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve” .  Wilfried Van Liempd Précision :
     
     Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    votre commentaire
  •  


    votre commentaire
  •   
    Anne-Sophie Chazaud

    Gouverner contre le peuple, combien de temps ?
    Quand meurt un pompier dévoué à la cause commune, un sauveteur en mer, quand il s'agit d'inventer des attaques de Pitié-Salpêtrière, à LREM on a la main sur le coeur, la larmichette à l'oeil, le trémolo dans la voix, on invoque la République, l'intérêt général, et tout un tas de notions avec lesquelles on a autant de rapport qu'avec la planète Mars.

    En revanche, on apprend que nos amis pompiers grévistes font désormais l'objet de tentatives de répression de leur droit de grève (lequel se limite au port très symbolique d'un brassard "gréviste") avec des mesures disciplinaires à la clef. 
    La grève des urgentistes semble s'abîmer en pure perte auprès d'un exécutif qui ne connaît de toute façon rien d'autre que la logique de compression des coûts et la répression si tu n'es pas content.
    Les policiers quant à eux ont été montés contre leur propre peuple et se retrouvent au bout du rouleau ou sanctionnés comme le secrétaire général du syndicat VIGI, Alexandre Langlois, qui avait sauvé l'honneur et donc a été suspendu, tandis que des images de violences totalement disproportionnées et hallucinantes contre les citoyens français circulent désormais chaque jour auprès d'une population chez qui elles suscitent la nausée et le dégoût.
    Un peuple français qui était le premier à défendre sa police. 
    Diviser pour régner, aussi putride qu'efficace. 
    Mais efficace seulement un temps, et médiocrement...
    Agriculteurs dégoûtés de la trahison des élus avec le traité félon du Ceta et bientôt du Mercosur, accusés de commettre des attentats lorsqu'ils manifestent leur colère face à cette indigne traîtrise. Urgentistes, pompiers excédés et totalement au bout du rouleau, policiers chauffés et instrumentalisés au service d'une politique de répression indigne de la République française, et j'en passe... 
    A la rentrée, ce sera au tour des retraités de passer sous le panzer, alors qu'en réalité strictement RIEN n'a changé dans les raisons légitimes de la colère des Gilets Jaunes qui, on le rappelle et bien que pour la plupart rentrés à la maison (avec parfois un oeil ou une main en moins), sont toujours là.

    Gouverner contre le peuple français ne pourra pas se faire indéfiniment.

    Gouverner contre son peuple, du reste, ça porte un nom et ce nom ce n'est pas la démocratie.

    Je vous souhaite par conséquent un bon repos et de reprendre des forces, toutes vos forces, parce que ce pays va en avoir besoin.

    votre commentaire
  • La fête est finie.Posté par :Sylvestre Brunaud ..

    Petite anecdote de Olivier Maulin ...

     

     La fête est finie.

     

    “La vallée avait bien changé depuis sa jeunesse; il avait vu les petits commerces et les cafés fermer, les artisans cesser leur activités, les distilleries faire faillite, les paysans se mettre au maïs, les fermiers transformer leur ferme en restaurant, les musées ouvrir et les touristes débarquer. Il avait connu des fromageries au chapellerie même! et des tanneurs, des cordonniers, des bourreliers, un tonnelier, un ferblantier, un forgeron et un cordier… Il avait connu l'époque où il y avait cinq bierstubs au bourg! Toutes remplies comme des œufs! Aujourd'hui, il restait deux boulangeries, une épiceries et une pizzeria, et un horrible hypermarché à l'entrée de la vallée, moloch de tôle qui avait sucé toute la vie du pays. Mais le pire de tout c'est que, quand il expliquait que c'était mieux avant, il y avait toujours un jeune con de sociologie pour lui expliquer que c'était une illusion de vieux. Or le vieux Marcel n'en démordait pas : putain de merde, oui, c'était mieux avant! Et sacrément mieux encore! La vie était rude et laborieuse mais elle avait une convivialité, une saveur et un sens qui avait disparu.”

    Olivier Maulin, La fête est finie.


    votre commentaire
  • "Macron est un psychopathe" : l’analyse d’un psychiatre italien 

    "Macron est un psychopathe" : l’analyse d’un psychiatre italien

    //////////////////////////////////////////////////////////////////////////

    Je ne suis pas psychiatre mais seulement assez vieux pour savoir qu'un homme qui n'a connu dans sa vie qu'une seule femme depuis l'âge de 15 ans, à savoir sa prof, qui avait 39 ans à l'époque, et qui, 25 ans plus tard, est toujours resté avec la même femme, ne peut pas être tout à fait normal. 

    Le psychiatre de la vidéo a diagnostiqué une psychopathie. 

    On ne peut nier que les travers de cette maladie, précisément détaillés par le professeur Segatori, nous rappellent furieusement la personnalité de Macron, que l'on connait de mieux en mieux après bientôt deux années de mandat. 

    En ce sens, on peut dire que Macron ressemble beaucoup à Trump, un autre psychopathe, dûment diagnostiqué par une palanquée de psychiatres américains. En version évidemment beaucoup plus policée et BCBG que le gros beauf U.S qui sévit depuis deux ans de l'autre côté de l'Atlantique. 

    Mais on ne peut nier, là non plus, que la politique de Macron ressemble de plus en plus à celle de Trump, mais en beaucoup plus tordue. 

    En effet, Trump, contrairement à Macron ne se cache pas derrière des belles phrases. Quand il a quelque chose à dire, il le dit haut et fort. Macron parle beaucoup, mais il fait exactement le contraire de ce qu'il dit. Macron méprise les français de base, Trump chouchoute les américains de base. Finalement, Trump est moins atteint que Macron. 

    La différence entre Trump et Macron, c'est qu'au début tout le monde savait que Trump est un psychopathe mais que depuis deux ans il surprend de plus en plus son monde, à tel point qu'on finit par se demander s'il ne serait pas beaucoup moins fou qu'on ne le pense. 

    Macron, c'est exactement le contraire : au début, tout le monde l'admirait, même ses détracteurs (sauf moi et quelques autres quand même) et l'aurait volontiers pris comme gendre. Après presque deux ans d'exercice tout le monde commence à sentir que type n'est pas si clair que l'on pensait. Et beaucoup d'observateurs attentifs de la société française commencent à penser, après tous ses derniers flops répétés qu'il ne s'agit peut-être pas de simples erreurs de communication mais peut-être des conséquences d'une personnalité beaucoup moins "équilibrée" qu'il n'y paraissait. 

    Bien entendu, pour moi, Macron et Trump, c'est la peste et le choléra. 

    Finalement, j'avoue que la perspective de voir, pendant encore trois ans, un psychopathe en charge des destinées de mon pays n'est pas pour m'enchanter. D'autant que les psychopathes, c'est bien connu, ne supportent pas qu'on leur résiste et que cela les rend de plus en plus dangereux. 

    Or, de ce point de vue, compte tenu des problèmes psychiatriques de Macron et du caractère volontiers rebelle des français, il y a peu de chances que les choses s'arrangent. 

    https://www.deridet.com


    votre commentaire