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  • L'auteur

    Certains, très nombreux, s’imaginent que les pieds-noirs auraient pu rester en Algérie après l’Indépendance, dans une Algérie associée avec la France, ex-colonisatrice, et lui permettre ainsi de continuer à fonctionner économiquement et à se développer vers un avenir commun plein de promesses.

    Qu’ils lisent ce qui suit et ils comprendront qu’il ne s’agissait là que d’une illusion, d’un rêve.

    « Supprimez les fermiers « blancs », tuez-les ».

    20 années plus tard, le mythe du « vivre-ensemble » s’effondre.

    Les fermiers blancs sont régulièrement attaqués, massacrés. En 20 ans, plus de 2 000 fermiers et membres de leurs familles ont été assassinés.

    Ce ne sont pas des attaques menées uniquement contre les « Blancs » mais également contre les fermes. Toutes les unités de production se perdent et cela entraîne des répercussions sur l’emploi des ouvriers agricoles et sur la communauté.

    Des « Blancs » sont brutalement assassinés, massacrés, brûlés vifs, dans leurs fermes et tout cela, toute cette haine, est passé sous silence par les autorités.

    À la fin de la ségrégation, le pouvoir a été remis à la majorité noire mais l’économie est restée dirigée par la majorité blanche (9 %) qui détient 75 % des terres agricoles.

    Le parti au pouvoir veut modifier la Constitution afin d’exproprier les fermiers blancs sans compensation.

    L’Afrique du Sud s’est engagée dans ce changement afin de rendre possible les expropriations des terres agricoles sans aucune indemnisation.

    Le pouvoir en place, l’ANC, parti de Nelson Mandela, ferme les yeux et reste silencieux sur ces assassinats.

    Un courant anti-Blancs grandissant : on appelle à tirer, à tuer les Boers et les fermiers blancs.

    Un climat dangereux s’installe et la rhétorique raciale et haineuse se propage. Les « Blancs » doivent être massacrés tôt ou tard.

    La politique menée a pour effet d’écarter les « Blancs » de tous les postes à responsabilité.

    Nombreux déjà vivent dans des bidonvilles dans tout le pays.

    Une politique raciale progressive et de plus en plus de lois raciales produisent de nouvelles formes d’inégalité, de discriminations, envers les « Blancs » et même contre les « métissés ».

    Les jeunes quittent le pays, ils ne croient plus en son avenir. »

    *Remplacer la couleur « blanche » par le terme « pieds-noirs » et vous obtiendrez la projection de ce que serait devenu le « vivre-ensemble » en Algérie, dans les années qui auraient suivi l’Indépendance, en y ajoutant, bien évidemment, une dimension qui n’existe pas en Afrique du Sud : celle de la religion.

    Dans ce pays, on n’exige pas qu’ils se convertissent, on ne les empêche pas de pratiquer leur religion, ce qui ne serait pas le cas en Algérie : les Arabes auraient pratiqué sur les pieds-noirs la même obligation employée contre les Berbères, lors de leur conquête : se convertir « par le sabre et par la force », puisqu’il s’agissait bien davantage d’une guerre de religion que d’indépendance.

    « La valise ou le cercueil », il s’agissait bien de la seule solution qui nous était proposée. Nous l’avions tous compris !

    Manuel Gomez


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  • Graffitis sur la mosquée de Rennes : une diversion qui arrive à point nommé

    Les « hasards » du calendrier.

    Récemment nous avions enfin l'occasion d'entendre dire, dans les grands médias, que le racisme anti-blanc s'était installé ici et là, que des réunions interdites aux Blancs s'organisaient, que Pulvar réclamait le silence des Blancs, etc. Bref, un petit bruit réussissait enfin à monter qui venait détruire le mythe d'un racisme à sens unique dont seuls les Blancs seraient capables.

    Puis arrive la polémique Pierre Ménès, grossier personnage qui aurait proféré des insultes racistes contre une Arabe. L'affaire ne prend pas, la diversion échoue. Puis arrivent les graffitis sur une mosquée, et là tout l'appareil médiatique se met en branle, le ministre de l'Intérieur se déplace, « la République est agressée », etc.

    Plus personne ne parle de l'UNEF, plus personne ne parle de Pulvar, tout est rentré dans l'ordre : les méchants, les fachos, les racistes, les haineux, sont donc bel et bien les Blancs.

    Retour à la case départ.

    Jonathan Sturel


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  • Ce gouvernement a tué des vieux et personne dans la rue pour manifester

     

    Les gilets jaunes ont foutu le bordel pendant des mois pour une augmentation du carburant, mais pour l'assassinat des anciens rien, j'ai honte


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  • Le roi des cons


     Et le roi des cons, sur son trône
    Il est français, ça j'en suis sûr


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