Berlin :
Alors qu’il passait en revue les troupes, le menton levé, le torse bombé et bras tendus le long du corps, Macron a une fois de plus laissé son ego prendre le dessus.
Marchant d’un pas décidé, notre vaillant chef d’État a continué sa route, visiblement plus intéressé par son propre reflet dans les vitrines que par ses homologues. Le Premier ministre polonais Donald Tusk, toujours prêt à rendre service, a gentiment tapoté le dos de l’homme d’État français distrait pour le ramener sur Terre.