• Mélenchon est un fils de Pieds-Noirs qui défend les assassins ...

    Mélenchon est un fils de Pieds-Noirs qui défend  les assassins Pieds-Noirs…

    Décidément, Mélenchon n’aime pas les Pieds-Noirs.

    Pourtant, il devrait se souvenir que lui-même en est un parce que ses parents sont nés à Oran, deuxième ville française d’Algérie, eux-mêmes nés de parents ayant émigré d’Espagne comme des milliers de familles espagnoles fuyant la misère au début du siècle dernier et s’établissant en Algérie française.

    Enfin, comme ma mère disait,  « Les chats ne font pas des chiens ! » et Mélenchon ne déroge pas à ce vieil adage de bon sens. Quand bien même voudrait-il, par ses positions belliqueuses, effacer ses origines de « Français d’Algérie », il n’en reste pas moins un « Français rapatrié du Maroc » où ses parents s’étaient installés, à Tanger, après leur mariage.

    Il est un pur produit pied-noir, ne lui en déplaise.

    Et il est aussi venimeux que peut l’être une femme trompée lorsqu’il parle de la Résistance des Français d’Algérie contre l’abandon de ce territoire par la France.

    Forcément, le Français d’Algérie résistant a combattu le communisme allié du FLN algérien. Il est tout à l’opposé d’un Mélenchon qui a appartenu à l’Organisation communiste internationaliste (OCI), courant trotskiste-lambertiste, dès l’âge de 17 ans, n’est-ce pas ?

    Alors, il leur en veut, à ces Pieds-Noirs. Comme si lui-même avait été combattu pendant cette période dans sa chair et dans son esprit.

    Déjà, pendant la campagne présidentielle de 2007, alors encarté chez les socialistes, il avait craché son venin que nous ne sommes pas près d’oublier.

    Cet immigrationniste amoureux de l’islam, lors d’un meeting dans l’Est de la France et devant un auditoire conséquent d’arabo-musulmans, s’en était pris avec hargne contre les Pieds-Noirs qui, selon lui, étaient forcément tous Frontistes et donc partisans de la principale adversaire de Royal, Marine Le Pen.

    A quelques mots près, il avait hurlé : « Les Arabes sont nos cousins ! Les PN n’ont pas été fichus de conserver l’Algérie, ils ne vont pas nous emmerder, ici ! S’ils ne sont pas contents ils n’ont qu’à repartir. Nous sommes, ici, chez nous et nous y resterons ! »

    Il va de soi qu’il ne s’adressait pas aux Français de l’Est en général, qui sont sans conteste chez eux, mais aux Arabo-musulmans, en particulier.

    Donc, selon cet illuminé trotskyste, nous, Français d’Algérie, ne sommes pas chez nous en France mais les Arabes, les musulmans, oui.

    Ça fera sûrement plaisir aux millions d’électeurs français qui ont voté pour Marine en 2007, 2012 et 2017, qui l’ont choisie, précisément, parce qu’ils rejettent cette immigration létale pour notre identité nationale. Eh oui ! La virulence mélenchonique s’adresse à eux également. Si, des fois, certains ne l’avaient pas entendue, les voilà prévenus.

    Mais, c’est vrai qu’il doit en rêver, des Français d’Algérie !

    Le 23 septembre, le voilà qui remet ça en s’adressant à Macron, place de la République.

    Et il s’écoute, le bougre, il est content quand la foule hurle, même quand il dit des âneries aussi grosses que lui. Cette fois, c’était « la rue ».

    C’est la rue française qui aurait abattu les nazis… C’est la rue française qui aurait protégé la République contre les généraux félons en 1962…

    Si toutes les formations politiques ont contesté sa référence aux nazis, personne n’a voulu soulever celle, aussi farfelue, aux généraux prétendument abattus par la rue française.

    Même s’il n’avait que 10 ans en 1961, ça la fiche mal pour un professeur auxiliaire de français de ne pas connaître la vraie histoire de France. Celle que tout élève devrait avoir étudiée si ses professeurs gauchistes étaient moins partisans de l’ennemi de la France.

    Parce que c’est « la rue française », en Algérie, qui a porté les généraux Salan, Jouhaud, Zeller et Challe, à s’élever contre l’abandon du pays décidé par le chef d’État.

    La rue française, en Algérie, était unanime derrière ces valeureux généraux de l’armée française qui ont osé se rebeller contre l’infamie de leur chef des armées. Elle les a encouragés. Elle les a suivis. Elle les a protégés. Elle les a aidés. Elle les a cachés. Elle a pris les armes avec eux.

    Et cette « rue française », notre rue française, comptait largement un million d’âmes, toutes confessions confondues.

    En parlant de « la rue française », Mélenchon n’a fait que nommer les communistes, les socialistes, les musulmans qui militaient pour le FLN en France, tous ces syndiqués cégétistes et autres, tous gauchistes aveuglés par leurs idéologies qui n’ont eu que la mort économique et sociale de la France pour seul but.

    Non ! Non ! La rue française n’a jamais été pro arabe. C’est la politique arabe de la France qui a été fatale à la France. Et les communistes, dont Mélenchon, y sont pour beaucoup dans cette politique mortifère.

    Parce que, sans cette politique, nous, Français d’Algérie, serions restés en Algérie. Et les Arabes seraient restés avec nous, chez nous, au pays, à travailler et manger à leur faim.

    Ce sont ces communistes qui sont à l’origine de la misère qui frappe tous ces pays arabes. Ils sont à l’origine de leurs guerres. Ils sont responsables des morts qu’elles ont engendrés, partout où ils les ont générées. Ces communistes qui rêvent d’annihiler notre identité en favorisant l’afflux de migrants africains et arabes de confession islamique.

    Votre rue française, Monsieur Mélenchon, est responsable de la ruine de notre pays.

    Danièle Lopez


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