• Jean-Marie Bigard, agressé par des extrêmistes antifas

    Jean-Marie Bigard, agressé par des extrêmistes antifas



    Jean-Marie Bigard a été exclu de la manifestation parisienne des Gilets jaunes, ce samedi. Accusé d’être un “collabo” et un “nazi”, l’humoriste fort en gueule est la dernière victime médiatique de la gauche extrémiste antifa.

    Mauvaise surprise pour Jean-Marie Bigard. Ce samedi 12 septembre, alors qu’un appel à manifester avait été lancé par des figures des Gilets jaunes, l’humoriste s’est retrouvé, malgré son soutien au mouvement, persona non grata pour certains des manifestants antifas à Paris. Pris à partie il a été exfiltré. À peine arrivé, celui qui souhaite être candidat à la présidentielle, a essuyé les insultes que la gauche extrémiste antifa : « Pourquoi tu viens avec la peste brune », « collabo », « espèce de nazi »« homophobe »« sexiste », etc. « Un vocabulaire d'extrême gauche et d’antifas. Ce ne sont pas les patriotes qui utilisent ces mots-là », analyse Jean Messiha, cadre du Rassemblement national.
    Un conflit avec Rodriguez qui cultive ses amitiés à l'extrême gauche

    L'humoriste a aussi pu entendre le slogan « la police, c’est des nazis », dans les rues de la capitale. Car le tort de Jean-Marie Bigard est de s’être opposé aux propos de Jérôme Rodriguez, l’une des anciennes figures médiatiques des Gilets jaunes, qui semble s'être acoquiné avec l'extrême gauche. Le 10 septembre, il avait comparé les policiers à une « bande de nazis » et le commissariat du 18e arrondissement de Paris « à un camp de concentration », lors d’un échange avec le syndicat Synergie-officiers. Choqué, Jean-Marie Bigard, qui jouit d'une grande notoriété parmi les Gilets jaunes, s’était aussitôt désolidarisé des propos diffamatoires de Jérôme Rodrigues, qui fréquente des personnalités de la gauche radicale antifa, comme Olivier Besancenot, Taha Bouhafs et Assa Traoré.

    "Je ne peux pas défiler samedi à côté d’un mec qui traite la police de nazis, c’est n’est pas moi du tout."

    Le rassemblement parisien était organisé à son initiative. Jean-Marie Bigard avait alors annoncé vouloir défiler à Brest. « Je ne peux pas défiler samedi à côté d’un mec qui traite la police de nazis, c’est n’est pas moi du tout », affirmait-il dans une vidéo. Finalement, l’humoriste s’y est rendu après un accord trouvé avec les représentants des Gilets jaunes pour défiler à la tête d’un autre cortège. Mais il était attendu par des militants d’extrême-gauche, y compris antifascistes. « C’était prémédité », a assuré l’humoriste à la presse, « la moitié [des manifestants], ne comprenait pas pourquoi je me faisais huer ».

    D'après : https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/politique/jean-marie-bigard-victime-de-lextreme-gauche-et-de-ses-ambitions-presidentielles-123624


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