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  • Attentat en Russie: Ce que l'on sait de l'explosion dans le métro de Saint-Pétersbourg

    TERRORISME « 20 Minutes » fait le point sur sur ce qu'il s'est passé ce lundi à Saint-Pétersbourg...

    Une explosion a fait une dizaine de morts dans le métro de Saint-Petersbourg ce 3 avril 2017.Une explosion a fait une dizaine de morts dans le métro de Saint-Petersbourg ce 3 avril 2017. - Alexander BULEKOV / AFP

    F.F. avec AFP

    Une explosion a retenti dans le métro de Saint-Pétersbourg lundi en début d’après-midi, faisant 11 morts et près de 50 blessés. Selon l’agence Interfax, les autorités privilégient la piste d’un attentat suicide.

    Que s’est-il passé ?

    Aux alentours de 14h40 ce lundi, une explosion dans une rame de métro a retenti entre les deux stations Sennaïa Plochiad et Tekhnologuitcheski Institout. Il s’agit d’une ligne très fréquentée par les habitants de la ville. Les premières images diffusées sur les réseaux sociaux et télévisions russes montraient une rame de métro soufflée, et de nombreux voyageurs tentant de sortir des victimes des décombres au milieu d’un nuage de fumée. 

    «L'explosion a eu lieu entre deux stations mais le conducteur a pris la bonne décision de continuer sa route jusqu'à la station, ce qui a permis de procéder rapidement à l'évacuation et à l'aide aux victimes», a déclaré dans un communiqué le Comité d'enquête. «J'ai vu les gens sortir, ils étaient comme sourds, beaucoup se tenaient la tête. Les secours les ont très vite pris en charge», a raconté Galina Stepanova, qui se trouvait sur les lieux. 

    Peu après, vers 15h, plusieurs médias russes ont indiqué qu’un autre engin explosif avait également été retrouvé et neutralisé dans une autre station de métro. « Dans la station de métro Plochad Vosstaniïa, une bombe artisanale a été découverte et désamorcée à temps », a déclaré dans un communiqué le Comité antiterroriste cité par les agences russes, précisant que « les services spéciaux étaient sur place ». Selon l’agence russe Interfax, l’objet explosif découvert contenait 1 kg de TNT et aurait été dissimulé dans un extincteur d’incendie. La totalité des stations du métro ont ensuite été fermées, selon le service de presse du métro cité par l’agence Interfax.

    Quel est le bilan ?

    Dans un nouveau bilan publié lundi soir, les services antiterroristes ont fait état de 11 morts et 45 blessés hospitalisés, dans un communiqué aux agences russes.

    Où en est l’enquête ?

    Les autorités russes ont annoncé l’ouverture d’une enquête pour « acte terroriste ». Le Comité d’enquête russe a par ailleurs indiqué que les policiers vont examiner « toutes les autres pistes éventuelles », alors que l'attaque n'a pas encore été revendiquée.

    Selon Ren-TV, une chaîne de télévision russe, des caméras de vidéosurveillance ont filmé un terroriste. Sur Twitter, plusieurs médias russes relaient la photo d’un homme présenté comme un suspect. 

    L’agence Interfax, citant une source proche de l'enquête, indique que l'attaque est imputable à un kamikaze qui a fait exploser une bombe. Ses explosifs étaient dissimulés dans un sac à dos. Selon la même source, le suspect, âgé de 23 ans, est originaire d'Asie centrale et serait lié à l'islam radical. Selon la même source, la police russe estimerait à présent que le même homme aurait également déposé le second engin explosif qui a pu être désamorcé à temps dans une station voisine.

    Un autre homme, repéré sur des images de vidéosurveillance s'est par ailleurs présenté aux autorités et leur a dit n'avoir joué aucun rôle dans l'attaque, explique Interfax.


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  • PIPOLERIES ET MACRONERIES!

    (VIDÉO)

     

    Il y a eu Giscard à l’accordéon, chanté par Michel Delpech, et d’Estaing présentant sa femme, façon pot de fleurs sur le rebord de la cheminée, pour ses vœux aux Français. Puis Lionel Jospin chantant « Les Feuilles mortes » à la télévision, Jean-Louis Borloo et Dominique Strauss-Kahn exposant leurs couples modèles à la une des gazettes : après la cause du peuple, celle du people ?

    Avec Emmanuel et Brigitte Macron, le grand déballage intime est passé du bricolage artisanal au stade industriel : en 2016, dix couvertures de VSD, quatre de Paris Match, deux de Closer et une de Voici.

    Certes, une écrasante partie des médias roule pour le candidat en marche, mais les journaux people obéissent à une logique autrement plus commerciale. Quand Paris Match consacre sa une au couple Fillon, il divise ses ventes par deux alors qu’avec celui des Macron, ces mêmes ventes sont quasiment multipliées par deux. Loi du marché, donc. Ainsi le couple Macron est-il glamour, parce qu’il le vaut bien ; parce qu’il le veut bien, et surtout parce qu’il fait tout pour.

    Au cœur de ce dispositif, Michèle Marchand qui, avec sa société Bestimage, fait la pluie et le beau temps sur ce secteur éminemment concurrentiel, et détient, de plus, un contrat d’exclusivité avec le couple en question.

    Et Sylvain Fort, porte-parole d’En marche !, de confier à L’Obs : « Cela permet de mieux maîtriser leur image, le choix des photos qui circulent sur eux. Quand ils sont victimes d’une paparazzade, ils font appel à un photographe de l’agence, ils sont sûrs, ainsi, d’avoir des clichés plus avantageux. »

    On notera qu’Emmanuel Macron ferait peut-être mieux de consacrer plus d’efforts à la construction de son programme, lequel est pour l’instant plus qu’évasif, ainsi qu’à la rédaction des fiches que lui fournissent ses proches collaborateurs, que ce soit en matière d’histoire et de géographie, plutôt qu’à une gestion de son image, si bien ciselée qu’on ne serait pas étonné plus que ça qu’elle puisse faire l’admiration de Madonna en personne…

    Un sans-faute ? Pas si sûr. En avril 2016, première une de Paris Match, avec ce titre valant son poids de cacahuètes et de fraises Tagada : « Ensemble sur la route du pouvoir, Brigitte et Emmanuel Macron. » Pourquoi pas Le Triomphe de la volonté ? Et le tout en kiosques, le jour où François Hollande s’apprête à défendre ce qui lui tient lieu de bilan. « Une bêtise que ma femme regrette », assure immédiatement Emmanuel Macron. Mais une « bêtise » appelée à être la première d’une longue série.

    Ainsi, quatre mois plus tard, toujours en couverture de Paris Match, les deux tourtereaux marchant sur la plage, cheveux au vent et pieds dans l’eau, avec ce titre : « Emmanuel et Brigitte Macron, vacances en amoureux avant l’offensive. » Heureusement que c’était sur le sable de Biarritz et non point sur celui de Normandie, parce qu’autrement, on aurait pu croire qu’il s’agissait du débarquement de 1944.

    Ajoutez à cela sa « dimension christique », que le principal intéressé ne « revendique pas », mais « ne nie pas non plus », et cette anecdote susceptible de « faire sens », comme écrivent les cuistres : c’est Caroline Pigozzi, spécialiste du Vatican à Paris Match, qui a mis en contact Brigitte Macron avec cet hebdomadaire. Poids des mots, choc des ex-voto ? D’où, peut-être, l’explication de la photo sulpicienne du candidat sur son programme de campagne. Les yeux hagards et écarquillés tournés au ciel, comme si saint Frusquin et saint Glin-Glin venaient de lui apparaître…

    Sans aller jusqu’à prétendre que ce mec est fou, il n’est pas impossible que, non content d’avoir les fils qui se touchent, il n’ait pas forcément la lumière à tous les étages. Candidat de la post-démocratie 2.0 ? Zéro tout court, comme aurait pu noter, en rouge et dans la marge, la reine mère lui tenant lieu d’épouse.

    http://www.delitdimages.org/pipoleries-macroneries-video/


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  • Jelloul et Vallaud-Belkacem signent une convention sur l’apprentissage de l’arabe en France

    Une convention a été signée hier, vendredi 31 Mars, entre la Tunisie et la France portant sur l’apprentissage de la langue arabe à l’école primaire en France, et sur le projet de création d’une école tunisienne à Paris.

    La signature de cet accord est intervenue lors d’une rencontre, hier au siège du ministère, entre le ministre de l’Education, Néji Jalloul, et la ministre de l’Education nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche française, Najat Vallaud-Belkacem.

    La ministre française était hier dans nos murs, à l’occasion de la tenue vendredi à Tunis de la 3ème conférence ministérielle de recherche, de renouveau et d’enseignement du dialogue 5 + 5.
     

     

    Source : gnet


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