• Le grand remplacement à Londres : mosquées ouvertes et églises fermées

    Le grand remplacement à Londres : mosquées ouvertes et églises ferméesVoici encore un fait que les négationnistes du « Grand remplacement » auront du mal à nier. Selon un article du Gatestone Institute daté du 2 avril 2017, depuis 2001, 500 églises chrétiennes ont fermé dans la capitale britannique pendant que 423 mosquées ont été ouvertes, la part de la population anglicane étant passée de 21 à 17 % entre 2012 et 2014, soit une perte sèche de 1,7 million de fidèles.  La part des musulmans dans les autres grandes villes britanniques a considérablement augmentée : ils représentent désormais 15,8 % de la population de Manchester, 21,8 % de celle de Birmingham et 24,7 % % de celle de Bradford.

    L’église de Hyatt United, sur Hamilton Road, est devenue une mosquée pour des colons égyptiens et l’église Saint Pierre, église catholique, est devenue la mosquée Madina. Rappelons que l’une des premières mosquées de Londres en 1976, celle de Brick Lane à Spitalfields, le fut en lieu et place d’une synagogue, qui elle-même remplaça un temple méthodiste en 1898, lui-même succédant au temple bâti pour les Huguenots français réfugiés en 1742. Submergés ethniquement, il ne reste plus que 679.000 chrétiens à Londres, il ne reste plus que 12 fidèles dans la paroisse de San Giorgio dont l’église peut accueillir 1230 personnes et 20 à celle de Santa Maria.

    Le plus intéressant est que sur les 1700 mosquées anglaises, il y’en en a que 2 qui prônent un islam non-fondamentalisme, contre 1176 aux Etats-Unis ! Il existe également à Londres 100 tribunaux de la Charia, la capitale anglaise ayant élu un maire musulman (qui d’ailleurs a condamné mollement les attentats du 22 mars dernier), le Pakistanais Sadiq Aman Khan, ayant succédé au truculent pluripatride (turc par son grand-père paternel, issu de la famille princière du Wurtemberg par sa grand-mère paternelle, anglais par son grand-père maternel et juif par sa grand-mère maternelle) Alexander Boris de Pfeffel Johnson (Boris Johnson en version abrégée). Rappelons que Londres fut évidemment majoritairement hostile au Brexit, la carte lisible ici étant plus que révélatrice

    Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur le Gatestone Institute, disons simplement que ses liens avec la prétendu « fachosphère » sont inexistants : fondée par Nina Rosenwald (Démocrate) qui en est la présidente, il est dirigé par l’ancien ambassadeur américain à l’ONU, John Robert Bolton (Républicain) et compte dans ses rangs l’écrivain David Joel Horowitz, le juriste Alan Morton Dershowitz, le conseiller pour la défense de Donald John Trump Sebastian Lukacs Gorka (fils du résistant hongrois Paul Gorka), ainsi que le baron Daniel William  Finkelstein (rédacteur en chef du Times) et, avant sa mort, ce bon vieux Eliezer « Elie » Wiesel, humoriste et romancier Prix Nobel de la Paix.

    Hristo XIEP

    Source : medias-presse.info


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  • La dérive humanitariste du christianisme

    La dérive humanitariste du christianisme

    La dérive humanitariste du christianisme 

    08/04/2017 – 18h15 Montpellier (Lengadoc Info) – Tribune Libre – La question de savoir pourquoi les cultures disparaissent et les empires s’écroulent a toujours oppressé historiens et philosophes. Nietzsche, dans l’Antéchrist, n’hésite pas à dire que « le christianisme nous a frustrés des fruits de la civilisation antique ». La question de la responsabilité que porte le christianisme dans la chute de l’Empire Romain fascine encore. C’est le Britannique Edward Gibbon (1737-1794) qui, le premier, établi cette responsabilité. Ernest Renan, dans son Marc-Aurèle (1895), reprit l’une des formules de Nietzsche :« Durant le II ème siècle, le christianisme suce comme un vampire la société antique ». Et il ajoutait cette phrase qui aujourd’hui résonne d’un bien étrange écho : « L’Eglise, au III ème siècle, en accaparant la vie, épuise la société civile, la saigne, y fait le vide. Les petites sociétés tuèrent la grande société ».

    En ce début du XXI ème siècle, se pose la question de la responsabilité de l’Eglise et plus précisément, de la Papauté dans cette crise migratoire qui risque de plonger l’Europe dans le chaos et l’anarchie.

    Le Pape François dans la continuité de la dérive humanitariste du christianisme

    Le Pape François aime les gestes symboliques spectaculaires (comme de ramener des familles de clandestins musulmans de Lesbos dans son avion). Il a multiplié les déclarations sur le sujet. Mais il ne faut pas se méprendre. François est dans la continuité des papes précédents. Même Jean-Paul II, qui a un discours très fort sur les nations et sur « la valeur religieuse de la fidélité à l’identité nationale », ne semble pas percevoir la contradiction avec la sanctification du phénomène migratoire qu’il opère par ailleurs : « la clef d’un avenir de paix pour l’humanité tout entière ».

    Tout le problème est que c’est un magistère qui est né au moment où l’Eglise semblait dans une sorte d’euphorie de la « mondialisation heureuse ». L’impact de ce discours en faveur de l’accueil des migrants sur les fidèles est énorme : il relève de l’intimidation en faisant croire dans l’Eglise qu’être opposé à l’immigration de masse, c’est être contre l’Eglise. Contre la parabole du Bon Samaritain et la parole du Christ : « J’étais un étranger et vous m’avez accueilli ».

    La confusion entre politique et charité

    Il existe au sein de l’Eglise, une tentation de faire des préceptes évangéliques, qui sont des chemins de salut personnel, des principes de gouvernance politique. Cette confusion s’étend également à la notion même de charité, dont on oublie qu’elle doit être juste, responsable, efficace, et qu’elle obéit à un ordre de priorité : « Les plus proches ont un droit de priorité », écrit Saint Thomas d’Aquin. En oubliant ces adjuvants, on fait de la charité une caricature humaniste d’elle-même qui n’a plus grand-chose de chrétien. La charité devient alors l’une de ces « vertus chrétiennes devenues folles » décrites par Chesterton.

    En se coupant des populations autochtones européennes, l’Eglise se marginalise

    En participant activement à plonger l’Europe dans le chaos et l’anarchie, l’Eglise n’apporte aucun secours aux migrants car ces derniers ont besoin de stabilité et de prospérité. En favorisant en Europe la progression d’un Islam conquérant, l’Eglise contribue elle-même à se marginaliser encore davantage des populations européennes qui sentent leurs souffrances ignorées au profit d’une attention exclusive donnée aux migrants et qui s’indignent de voir leurs inquiétudes quant à leur avenir et à celui de leur civilisation balayées d’un revers de main comme autant de « crispations identitaires… ».

    Retrouver l’équilibre entre le souci de la fraternité et la bénédiction des enracinements

    Cette dérive du christianisme qui hérisse tant de Catholiques n’est pas une fatalité. La charité ne peut pas être une fuite en avant. L’Eglise doit se souvenir qu’elle doit également la charité aux populations européennes dont elle a la charge. Il lui faut cesser de considérer la migration comme une panacée et qu’elle consente à privilégier les solutions durables de développement et de stabilité politique plutôt que favoriser le déracinement des peuples.

    Pour cela, il y a besoin d’une Europe forte, fière de ses racines, et à laquelle l’Eglise sache redonner le supplément d’âme qui lui fait aujourd’hui cruellement défaut.

    Germanicus

    Photos : DR

    Source : lengadoc-info


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  • Quelques vérités sur l’attaque chimique à Idlib

    Des enfants victimes de la contamination à Idlib. ©AFP
    Des enfants victimes de la contamination à Idlib. ©AFP

    Mais l’ensemble des indications prouvent que la soi-disant opposition armée, avec le soutien des relais d’information dont elle dispose au niveau international et en obéissance aux parties désireuses de mettre fin au processus politique en Syrie, a excellé dans la fabrication d’une nouvelle propagande qui accuse le gouvernement syrien d’utiliser des armes chimiques.

    Sur cette base, nous posons, en qualité d’observateurs, une série de questions et d’interrogations, dans l’espoir que l’un de vous sera capable de nous fournir des informations véridiques.

    1. Pourquoi des pages internet et des réseaux sociaux ont-ils publié des photographies d’enfants prétendument tués après avoir été asphyxiés par un gaz toxique, mais portant du sang sur leur corps ?

    2. Pourquoi, jusqu’à présent, les médias ont-ils été incapables de nous indiquer l’endroit précis du bombardement ?

    3. Pourquoi les médias ont-ils recommandé de ne pas s’approcher du site du bombardement, alors que les images diffusées montrent des dizaines de personnes donnant des soins aux blessés ?

    4. Pourquoi les terroristes des Casques blancs portaient des masques à gaz pour se prémunir des émanations toxiques, alors qu’au même endroit, il y avait des dizaines d’autres qui ne portaient même pas de masques antipollution ?

    5. Pourquoi les vêtements de certains ont-ils été retirés et pas ceux des autres ?

    6. Comment veulent-ils nous convaincre de la crédibilité d’une vidéo montrant un site bombardé avec des gaz toxiques, dans laquelle le gaz n’a pas touché tous les habitants de la région, mais a ciblé certains d’entre eux, les blessés l’étant à des degrés divers ?

    7. Pourquoi Firas Karam, le correspondant de la télévision Orient, a-t-il fait une allusion à la possibilité d’attaques au gaz toxique des heures avant l’évènement, et il a affirmé que les attaques auraient lieu à Hama ?

    8. Firas Karam a aussi dit que le gouvernement syrien avait utilisé des armes chimiques quelques jours auparavant, faisant plus de soixante-dix victimes, mais pourquoi n’a-t-il pas présenté des photos et pourquoi la communauté internationale n’a-t-elle pas réagi prestement comme elle le fait maintenant à Khan Cheikhoun ?

    Des observateurs russes ont déclaré que les témoignages et les vidéos de la ville de Khan Cheikhoun ne contiennent aucune indication quant à l’utilisation de bombes aériennes contenant des produits chimiques et qu’il est clair que la source de pollution est terrestre.

    Les observateurs ont indiqué que le largage de produits chimiques à partir d’aéronefs ne peut se réaliser que de deux manières, soit avec des moyens spécifiques de pulvérisation des produits toxiques (moyen utilisé par l’armée américaine au Vietnam), soit en larguant des bombes aériennes contenant des matières chimiques.

    Et selon la météo, les conditions météorologiques dans la région de Khan Cheikhoun étaient bonnes mardi matin (quand a eu lieu la prétendue attaque) avec une couverture nuageuse partielle, une vitesse de vent de 3 mètres par seconde et une visibilité de 1500 mètres.

    Ces observateurs ont assuré que si l’aviation syrienne avait largué une bombe chimique ou si elle avait pulvérisé des produits toxiques, il y aurait eu des milliers de morts.

    Publié avec l'aimable autorisation de l'auteur Dima Hassan

    http://www.presstv.com


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  • Un porte-avions américain et sa flotte font route vers la péninsule coréenne

    Le commandement américain dans le Pacifique a expliqué qu’il s’agissait d’une « mesure de précaution », mentionnant la menace nucléaire nord-coréenne.

    Le Monde.fr avec AFP et Reuters 

    Un porte-avions américain et sa flotte faisaient route, samedi 8 avril, vers la péninsule coréenne. Une « mesure de précaution », a justifié auprès de l’Agence France -Presse (AFP) Dave Benham, le porte-parole du commandement américain dans le Pacifique :

    « La menace numéro un dans la région reste la Corée du Nord, en raison de son programme de missiles irresponsable, déstabilisateur et imprudent, et de la poursuite [de ses recherches] en vue de disposer d’armes nucléaires. »

    Ce groupe aéronaval comporte le porte-avions Carl Vinson, son escadron aérien, deux destroyers lanceurs de missiles et un croiseur lanceur de missiles. Alors qu’il devait initialement aller faire escale en Australie, il a pris la route du Pacifique ouest depuis Singapour.

    Menace d’une action unilatérale

    La Corée du Nord a réalisé cinq tests nucléaires, dont deux en 2016, et les images satellites décortiquées par les experts du « 38 North » suggèrent que Pyongyang pourrait en préparer un sixième. Les services de renseignement estiment que le pays pourrait être à même de disposer d’un missile à tête nucléaire capable de frapper le sol américain d’ici moins de deux ans.

    Jeudi et vendredi, le président américain Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping ont longuement discuté en Floride, à Mar-a-Lago, dans la résidence privée du nouvel hôte de la MaisonBlanche. Le dirigeant aurait demandé à son visiteur de faire pression sur Kim Jong-un pour que celui-ci cesse son programme d’armement nucléaire.

    Lire aussi :   Début de normalisation entre Washington et Pékin

    M. Trump a d’ores et déjà menacé Pyongyang d’une action unilatérale, et cette menace paraît encore plus crédible depuis la frappe ordonnée jeudi soir sur une base aérienne syrienne d’où auraient décollé les avions supposés responsables de l’attaque chimique présumée contre le village de Khan Cheikhoun, mardi.

    Lire aussi :   La menace implicite de Trump complique l’équation nord-coréenne

    La Corée du Nord a d’ailleurs qualifié cette intervention d’« acte d’agression intolérable ». « La réalité d’aujourd’hui montre que nous devons exercer pouvoir contre pouvoir, et cela prouve plus d’un million de fois que notre décision de renforcer notre dissuasion nucléaire a été le bon choix », a ajouté un porte-parole non identifié du ministère nord-coréen des affaires étrangères, cité par l’agence officielle KCNA.


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