• Les propres documents de Pfizer prouvent qu’ils savaient que leurs vaccins covid n’étaient pas «sûrs et efficaces»… et ils savaient que les nanoparticules d’ARNm circulaient dans tout le corps

     

     Par Cogiito

    Jeudi 10 mars 2022 par : Lance D Johnson


    Cet article peut contenir des déclarations qui reflètent uniquement l’opinion de l’auteur

    https://citizens.news/600709.html

    Fin 2021, le juge de district américain Mark Pittman a ordonné à Pfizer de publier toutes les données pertinentes sur son «vaccin contre le covid-19». 

    La Food and Drug Administration (FDA) a tenté de protéger Pfizer, suggérant que les données soient gardées secrètes pendant les vingt prochaines années. 

    Cependant, les tribunaux ont ordonné la divulgation rapide des informations, exigeant la transparence pour un produit qui a été utilisé avec arrogance et tyrannie pour détruire les moyens de subsistance et la santé des gens.

    Alors que les documents sont rendus publics au rythme de 55 000 pages par mois, les chercheurs documentent la vérité sur les vaccins covid-19 . 

    D’une part, ces injections utilisent la technologie de réplication de l’ARN pour exploiter le système immunitaire inné, afin de produire en masse une variante de l’arme biologique de la protéine de pointe. Cela a entraîné une déplétion immunitaire généralisée et une aggravation de la maladie, entraînant une augmentation du nombre de cas, des hospitalisations et des décès.

    De plus, les propres documents de Pfizer prouvent qu’ils savaient que leurs vaccins covid n’étaient pas “sûrs et efficaces”.

    Pfizer savait également que les nanoparticules d’ARNm circulaient dans tout le corps, causant des dommages aux organes. La FDA a quand même accordé une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), mentant au public sur la « sécurité » et « l’efficacité » du vaccin.

    Négligence criminelle ou complot criminel : démêler la tromperie de Pfizer et de la FDA concernant les vaccins contre le covid-19

    Il n’y a que deux explications au comportement de la FDA dans cette affaire historique de faute professionnelle médicale :

    négligence criminelle ou complot criminel.

    Soit la FDA a négligemment ignoré les données contenues dans ces documents, soit elle a activement participé à un complot criminel visant à commettre une fraude et à nuire à la population. 

    Pourquoi la FDA ferait-elle aveuglément confiance à une entreprise (Pfizer) qui faisait auparavant la promotion illégale de produits pharmaceutiques, ce qui a conduit au plus grand règlement de fraude en matière de soins de santé de l’histoire du ministère de la Justice ?

    Les documents de Pfizer étant rendus publics, Pfizer et la FDA devraient être inculpés. 


    Ils devraient être inculpés non seulement pour la promotion illégale de produits pharmaceutiques, mais aussi pour avoir utilisé la tromperie et la coercition pour imposer des produits nocifs à la population.


    Les documents de Pfizer soulèvent de graves problèmes de santé publique.

    Au moins 50 000 pages ont été publiées à ce jour . Dans les documents, Pfizer a rassuré la FDA à plusieurs reprises sur le fait que son vaccin « empêcherait » le covid-19, même si la conception de l’étude utilisait des normes de diagnostic frauduleuses pour manipuler les points finaux, tout en ignorant la réduction absolue du risque . 

    Pfizer a compris que les personnes vaccinées peuvent toujours être testées positives pour le covid-19 et peuvent toujours présenter les mêmes symptômes respiratoires, même après avoir souffert des effets secondaires du vaccin. Pourtant, Pfizer a affirmé à plusieurs reprises que son vaccin « empêcherait » le covid-19 – mentant à la FDA sur son efficacité.

    Dans les documents, Pfizer a indiqué que le vaccin serait utilisé pour “l’immunisation active pour prévenir le COVID-19 causé par le SRAS-CoV-2 chez les individus de 16 ans. » 

    Cependant, Pfizer et la FDA disposaient également de données montrant que «l’efficacité» du vaccin diminuait rapidement. 

    Les données montrent que les effets du vaccin diminuent en un mois seulement, même après l’administration de deux doses. 

    Cependant, la FDA n’a pas averti le public que les personnes vaccinées auraient besoin de rappels mensuels pour que le vaccin fonctionne.

    Pfizer et la FDA avaient des preuves claires que le vaccin cause des dommages étendus 


    Pfizer disposait également de données accablantes sur les effets indésirables du vaccin.

    La société pharmaceutique savait que les événements indésirables augmentaient avec chaque injection de rappel supplémentaire, mais la FDA a approuvé un protocole à deux injections dès le départ et a même approuvé un troisième rappel, malgré les preuves de risques sanitaires croissants. 

    Dans une série de documents, Pfizer a écrit à la page 24 sur la nature dose-dépendante des événements indésirables, qui comprenaient des degrés sévères d’œdème et d’érythème ainsi que la nécrose musculaire, la fibrose et l’augmentation de la taille et du poids de la rate. 

    “L’incidence et la gravité des réactions étaient plus élevées après la deuxième ou la troisième injection par rapport à la première injection”,a publié Pfizer.


    Pfizer avait également la preuve que les nanoparticules d’ARNm avaient migré du site d’injection, mais le gouvernement et les médias ont menti à plusieurs reprises sur la dégradation de l’ARNm et sur le fait que tout le processus restait dans les muscles deltoïdes.

    Les ingrédients du vaccin ont migré principalement vers

    les ovaires,

    le foie et

    la rate, mais ont également proliféré dans

    les glandes surrénales,

    la vessie,

    les os,

    la moelle osseuse,

    les yeux,

    le gros intestin,

    les ganglions lymphatiques,

    le pancréas,

    les glandes salivaires,

    la peau,

    l’intestin grêle,

    les testicules,

    le thymus,

    la thyroïde

    et l’utérus.


    Pfizer et la FDA disposaient de données claires montrant plus d’événements indésirables systémiques survenant dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo, mais ils ont tous deux menti au public, affirmant que les vaccinés avaient une maladie bénigne et que les non vaccinés constituaient une “menace pour la santé publique”.

    Pfizer savait que les personnes vaccinées étaient deux à vingt-cinq fois plus susceptibles de subir des effets négatifs du vaccin sur leur santé.

    Dans les documents, Pfizer préférait catégoriquement un système passif de surveillance des événements indésirables qui reposait sur des rapports non fondés qui pouvaient être facilement rejetés. 

    Pfizer ne voulait pas assumer le coût supplémentaire d’un enregistrement précis des blessures causées par les vaccins, ni indemniser les familles blessées par leurs vaccins . 

    De toute évidence, ni Pfizer, la FDA ou le CDC n’ont donné un consentement éclairé approprié pour ces vaccins, blessant d’innombrables personnes à vie, tout en mentant au public avec de la désinformation et en portant atteinte à la confiance du public.

    Les sources comprennent :

    SteveKirsch.substack.com

    NaturalNews.com

    PHPT.org

    Justice.gov

    NaturalNews.com

    PHPT.org [PDF]


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  • Le gamin devrait laisser tranquille Poutine .Par: Pieds Noirs 9A..

    Billet N° 6485 du dimanche 13 mars 2022..

    Le gamin devrait laisser tranquille Poutine ,il ne fait pas le poids .

     

    Poutine a son propre calendrier. Mais, si, en plus, au passage, il peut ridiculiser le prétentieux guignol qui se pose en grand négociateur au moment de sa candidature à réélection, pourquoi s'en priver . Le moment de cette attaque contre l'Ukraine, après des discussions diplomatiques de façade avec notre Choupinet, est choisi.Le gamin devrait laisser tranquille Poutine .

    Il faut bien avouer que le guignol Macron ne fait pas le poids, il en est ridicule, il croyait amadouer Poutine, qu'elle naïveté, pendant des mois la France a vécu des manifs et des violences chaque WE, il n'a rien fait, la repentance à vomir face aux généraux du gouvernement Algérien du FLN ,pourquoi vouloir toujours et toujours se mettre en avant surtout nous déclarer la guerre a Poutine avant de quitter les lieux de l'Elysée .Macron complément perdu, avait convoquer Sarkozy et Hollande. Ce président n'est vraiment pas à sa place dès qu'il est affronté aux duretés de la vie. 

    Il ouvre un parapluie.

    Si la situation dérape pour la France alors il trouvera des fautifs soit : Sarkozy et

    Le gamin devrait laisser tranquille Poutine . Hollande qu'ils auront mal conseillé. Franchement, comment revoter pour un président de cette trempe à deux sous . Dieu merci je n'ai jamais voté pour lui. Pour un anti-France ,dont un anti-peuple de France  .Ce n'est qu'un minable . 

     

     

    Que notre guignol accuse la Russie sans connaître les faits et l'histoire, et nous verrons les résultats 

     

    Moi, je me pose une question existentielle qui me turlupine. Comment des Gaulois ont-t-ils pu élire au poste suprême de l’état un gugus qui n’est arrivé QUE 5ème au sortir de « l’Ecole Nationale des Ânes » ? (ENA pour les nuls) Vous savez, cette école qu’il devait fermer, mais qui forme toujours des ronds de cuir, mais dont-il a changé de nom… pour donner le change ! Un véritable menteur et embrouilleur patenté. Et là : IL EST PREMIER le squatteur de l’Elysée !

    Personnellement, je ne parierais pas un centime d’Euro sur le fait que Macron ne soit pas réélu. Les Français sont tellement; dramatiquement et irrémédiablement CONS; au point qu’ils revoteront pour lui; par PEUR de perdre la baguette de pain qu’il leur reste et le petit "M2" de terrain qu’ils pensent leur appartenir; mais surtout, vous savez, pour « Faire barrage à la droite forte  ». Les Français sont trop CONS; trop lâches; trop peureux; trop divisés, pour faire preuve d’une quelconque cohérence ou unité. La preuve; avant lui, ils ont voté Hollande et encore avant depuis plus de 50 ans toujours les mêmes . Depuis le temps qu’on attend notre guerre civile…Je crois que, dans quelques semaines, il vaudra mieux se trouver en Ukraine qu’en France…

    Pieds Noirs 9A..


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  • OUI CHEZ VOUS ,MAIS PAS CHEZ LES AUTRES !.

    http://


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  • Peut être une image de 13 personnes, personnes assises, personnes debout et texte qui dit ’2014 FR+ Valérie Pécresse visite l'école coranique d'Évry-Courcouronnes’


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  • Alger le 26 mars 1962  (le massacre).Par :Antoinette Prieto..

     
    «L’occultation du massacre de la rue d’Isly tue les victimes une seconde fois»
    , des soldats de l’armée française ouvraient le feu, rue d’Isly à Alger, sur des manifestants «Pieds-Noirs», faisant au moins 46 morts et 150 blessés. Le silence qui entoure ce drame aggrave le sentiment d’injustice des Français d’Algérie et de leurs descendants, explique Jean Tenneroni. «Né en Algérie française en 1962, je vis le jour pendant sa mise à mort. Je serai peut-être le dernier des Mohicans de cette chaleureuse tribu», explique l’auteur. Ancien officier, Jean Tenneroni est Français d’Algérie, fils, petit-fils et arrière-petit-fils de Français d’Algérie.
    Quelques semaines après ma naissance, le 26 mars, un torrent de sang jaillit sur le plateau des Glières devant cette Grande Poste d’Alger. Des soldats appartenant à une unité de tirailleurs de l’armée française abattirent officiellement 46 manifestants européens (avec des estimations plus hautes, jusqu’à 80 morts, après prise en compte des morts hospitalisés) et firent 150 blessés.
    Ces Français d’Algérie n’avaient pour toute arme que des drapeaux tricolores et pour tout dessein que de vouloir rester Français sur leur terre natale. Cette manifestation pacifique n’avait pour objectif que de reprendre le contact avec le quartier européen de Babel-el-Oued encerclé et isolé depuis plusieurs jours par la force armée.
    Qualifiée «d’émeute (qui) ne peut être dispersée que par le feu meurtrier des troupes» dans les Mémoires d’espoir du général de Gaulle, cette tuerie est légitimée au nom de la lutte contre l’OAS. Pourtant, il n’y avait nulle intention parmi les manifestants de renverser un régime politique, comme ce fut le cas pour les insurgés royalistes du 13 vendémiaire an IV, canonnés par Bonaparte sur les marches de l’Église Saint-Roch.
    Cette manifestation pacifique n’avait en fait pour objectif que de reprendre le contact avec le quartier européen de Babel-el-Oued encerclé et isolé depuis plusieurs jours par la force armée et dont l’intervention, en représailles des actions commando de l’OAS contre des unités de la gendarmerie et de l’armée, avait causé la mort de nombreux civils dont des enfants.
    Les adjoints militaires du préfet de police purent faire passer des consignes d’ouverture de feu dès lors que les barrages étaient franchis. Une directive du commandement supérieur en Algérie, disparue depuis des archives militaires, aurait prohibé l’emploi de cette unité de combat en contact direct avec la foule à Alger. À la faveur de l’absence du chef de corps, dont le P.C se trouvait à plus de 100 kilomètres d’Alger, des sections de cette unité de combat furent néanmoins utilisées pour interdire cette manifestation. Ces consignes n’étant pas écrites, le commandement local de l’unité n’ordonna le tir qu’en cas de légitime défense face à un tir ennemi, les armes restant, comme au combat, «approvisionnées et chargées».
    Dans un premier temps, de nombreux manifestants purent franchir les cordons dispersés de soldats avant de se retrouver piégés plus loin face à des blindés. Les correspondants de la presse étrangère racontèrent sans censure ce que fut cet effroyable mitraillage de la foule durant une douzaine de minutes, souvent dans le dos ou à bout portant, malgré les appels à cesser le feu des officiers. Les correspondants de la presse étrangère (Daily Telegraph, New-York Times) racontèrent sans censure ce que fut cet effroyable mitraillage de la foule durant une douzaine de minutes, souvent dans le dos ou à bout portant pour ceux qui se cachaient ou se relevaient, et pour lequel on ramassa près de deux mille douilles.
    L’enquête officielle qui argue d’une légitime défense face à d’hypothétiques tireurs de l’OAS embusqués sur les terrasses n’a jamais pu procurer des preuves déterminantes. On parla aussi au procès de Bastien-Thiry de barbouzes déclenchant le tir.En réalité, il n’y eut aucun tué de la sorte du côté militaire, pas d’arrestation de tireurs, pas d’armes retrouvées, l’armée était présente sur les terrasses, un hélicoptère Sikorski survolait le tout. Même si l’on admet un prétendu tir initial en-dehors des soldats, pourquoi ceux-ci n’ont-ils pas simplement riposté plutôt que de se livrer à cet acharnement de mitraillage, et ce malgré les appels à cesser le feu de leurs officiers?
    Les phénomènes de panique collective de tir observés par la psychiatrie de guerre face à une perception de danger peuvent sans doute en partie expliquer cet affolement meurtrier dans le climat d’extrême tension de l’époque. Par ailleurs, la très grande majorité de la troupe était composée de soldats musulmans , non entraînés à des opérations de maintien de l’ordre dans des villes, et qui, en ces dernières semaines de souveraineté française, devaient être assurément moins «sûrs» que les tirailleurs aux côtés desquels mon père servit en 1944 à Monte-Cassino et durant le débarquement en Provence.
    Les intentions, ou en tout cas l’état d’esprit, des hautes autorités françaises responsables à Alger, semblent aujourd’hui connus.
    Les intentions, ou en tout cas l’état d’esprit, des hautes autorités françaises responsables à Alger, semblent aujourd’hui connus. Le Préfet de police Vitalis Cros écrivit dans Le temps de la violence: «La nouvelle que nous redoutions et espérions à la fois arriva, les tirailleurs avaient ouvert le feu.». Le Haut-commissaire Christian Fouchet (si l’on en croit Jean Mauriac dans son livre L’Après De Gaulle, notes confidentielles) répliqua au général de Gaulle après son limogeage du ministère de l’intérieur en 1968 pour ne pas avoir maintenu l’ordre en osant faire tirer: «J’aurais osé s’il l’avait fallu… Souvenez-vous de l’Algérie, de la rue d’Isly. Là, j’ai osé et je ne le regrette pas, parce qu’il fallait montrer que l’armée n’était pas complice de la population algéroise.»
    De nombreux corps ne furent jamais rendus aux proches et furent amenés directement au cimetière Saint-Eugène par camion militaire, les obsèques religieuses ayant été interdites. Une chape de plomb s’abattit durant des années sur la douleur des familles.
    C’est par un patient travail d’historiens, notamment de Francine Desaigne (Un crime sans assassin, 1994) ou de Jean Monneret (Une ténébreuse affaire: la fusillade du 26 mars 1962 à Alger, 2009), que d’autres éléments purent lentement émerger. Sur cette nouvelle base d’informations un documentaire de Christian Weber put être diffusé en septembre 2008 sur FR3.Contre l’oubli de ces morts, il fallut attendre 2010 pour qu’un geste officiel charitable soit accompli en faveur de la mémoire de ces innocents, celui d’ajouter les noms des tués sur une des trois colonnes lumineuses et tricolores du mémorial national de la guerre d’Algérie sur le quai Branly, en les différenciant toutefois de ceux qui étaient «morts pour la France». Mais la charité ne peut se substituer à la justice.
    C’est bien à partir du 26 mars 1962 que s’intensifièrent les enlèvements massifs d’Européens, puisqu’il était acquis désormais que les autorités militaires françaises n’interviendraient plus pour les protéger.Plus près de nous, en décembre 2019, une initiative courageuse de parlementaires pour une proposition de loi tenta de faire reconnaître en vain la barbarie de cette tuerie et des disparitions de pieds-noirs qui s’ensuivirent jusqu’à la terrible journée du 5 juillet à Oran.
    Près de 59 ans après, l’oubli de l’une des plus sombres affaires de la Cinquième République ravive le sentiment d’injustice et la soif de vérité. Inconsciemment, n’y a-t-il pas aujourd’hui derrière cette occultation, qui tue les victimes une seconde fois, l’idée radicale de violence propagée dans l’ouvrage de Frantz Fanon Les damnés de la terre: «Abattre un Européen, c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé»?
    Comme l’indiquait le Chef de l’État dans son discours du 13 septembre 2018 à propos de Maurice Audin: «Il en va enfin du devoir de vérité qui incombe à la République française, laquelle dans ce domaine comme dans d’autres, doit montrer la voie, car c’est par la vérité seule que la réconciliation est possible.»
    Après la répression sanglante de la manifestation populaire du 9 janvier 1905 à Saint-Pétersbourg, le régime autocratique tsariste reconnut ses torts en révoquant dans les jours qui suivirent le préfet de police, le maire et le ministre de l’intérieur.Peut-on attendre moins de la République française, près de soixante ans après que ces terribles balles de la rue d’Isly frappèrent des coups brefs sur la porte du malheur pour les Français d’Algérie?
     

    Alger le 26 mars 1962  (le massacre).

    Alger le 26 mars 1962  (le massacre).Alger le 26 mars 1962  (le massacre).


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