• Macron est à l'origine du désordre et du chaos

    Macron est à l'origine du désordre et du chaos

    Le pays tombe peu à peu dans l'anarchie et ce dans tous les domaines .
    Il est temps que le pays mette à sa tête , celui qui saura taper du poing sur la table.

    Il n'a eu de cesse de diviser, de fractionner, de monter les Français les uns contre les autres, depuis le début de son mandat ne fait des insultes de fainéant de traverser la rue pour un emploi et du reste .
    En principe et dans notre Constitution, le Chef de l’État est le Président de tous les Français . Or Macron ne gouverne que pour ses prochains électeurs. Il finira par détruire le pays ,en faire payer le prix à son propre peuple .2020 sera une année douloureuse ...

    Cet homme n'est pas normal ,il faut qu'il quitte son poste avant que le pays s’effondre dans les larmes et le sang ...

    Ils avaient dits que si Marine Le Pen était au pouvoir ? ,se serait la révolution ,Nous voyons aujourd'hui avec le jeunot et le joueur de poker ,comme le Préfet qu'ils ont aucune valeurs patriotique pour son pays, nous voyons que la le chaos est présent par Macron !,On pleure la casse ,des gens tabassé pour uniquement défendre le droit de vivre et de manger un peu ,comme nous voyons tous ceux qu'ils se gavent sur le dos de la misère ,et l'on invite encore et encore plus d'étranger pour les nourrir aux frais du pauvre citoyen Français ..Mais cela quand cessera !...Comme d'avoir agit avec les retraités de leur avoir enlevés un peu de pain pour la CSG et tous ceux qui nous traînent dans la boue pour nous taxé encore plus, pour ce remplir les poches ,ces gens là touches minimum 6 a 8 fois le SMIC et plus avantage mensuel ,alors que les retraités étant leurs dû bien mérités.Que ses bons pas a grand chose me demande combien je faisait d'heure par mois ,<<je leurs dirait qui sont les fainéants>> ...Oui c'est une honte ...

    Pieds Noirs 9A.. 


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  • En marche vers l'affrontement total

     
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  •  Démission du préfet de police

     «Nous ne sommes pas dans le même camp, Madame.»

     

    RN, LFI, PS : les appels à la démission du préfet de police de Paris se multiplient

     RN, LFI, PS : les appels à la démission du préfet de police de Paris se multiplient
    © LUDOVIC MARIN / POOL / AFP Source: AFP
    A la suite de La France insoumise et du Parti socialiste, la présidente du Rassemblent national Marine Le Pen a appelé au départ de Didier Lallement, le préfet de police de Paris.

    Celui-ci est critiqué pour sa gestion de manifestations.
                                       
    La France Insoumise (LFI), le Parti socialiste (PS) et désormais le Rassemblement national (RN) : tous ont appelé à la démission du préfet de police de Paris, pointé du doigt après de nouvelles accusations de violences policières lors de manifestations dans la capitale.
    «Je mets en cause le préfet de police de Paris, les choix qui ont été faits par lui en matière de maintien de l'ordre sont des choix qui évidemment ont poussé à l'aggravation des tensions et des violences», a déclaré Marine Le Pen sur le plateau de l'émission de France 3 Dimanche en politique, ce 19 janvier.
    Relancée par le journaliste sur le plateau télévisé, la présidente du RN a répondu qu'elle souhaitait «bien sûr» le départ de Didier Lallement.
    DimancheEnPolitique 
     
    @DimPolitique

    La présidente du @RNational_off @MLP_officiel demande la démission du préfet de police de Paris Didier Lallement.

    cc @letellier_ftv @France3tv

     
    Voir les autres Tweets de DimancheEnPolitique
     
      Dix jours auparavant, le patron du PS Olivier Faure avait, lui aussi, appelé à la démission du préfet controversé.
    «J’ai du mal à saisir pourquoi ce gouvernement continue à conforter ce préfet qui, semaine après semaine, est une véritable provocation pour l’ensemble de ceux qui, démocratiquement, défendent une autre position», a-t-il dit au Figaro.
    Et de conclure : «Le gouvernement devrait mettre fin aux fonctions de ce préfet qui a choisi, comme il le dit lui-même, son "camp".»
    Une référence à un épisode médiatique datant du 17 novembre dernier : au lendemain d'affrontements violents sur la place d'Italie à Paris (XIIIe), entre forces de l'ordre et manifestants lors de l'acte 53 des Gilets jaunes, une femme présentée par BFM TV comme une Parisienne avait expliqué au préfet de police de Paris, Didier Lallement : «Oui je suis Gilet jaune» ; ce à quoi le haut-fonctionnaire avait répliquer, sans la regarder, en passant son chemin : «Nous ne sommes pas dans le même camp, Madame.»
    Olivier Faure 
     
    @faureolivier
     
     

    Comment le gouvernement peut-il encore conforter un préfet qui développe une conception paranoïaque de l’ordre et qui a choisi son « camp » qui n’est pas celui de la démocratie? Son maintien est une insulte à l’Etat de droit. https://twitter.com/S2RVNL/status/1215025431172263936 

    Sophie de Ravinel 
     
    @S2RVNL

    Le @partisocialiste élevé chez le préfet de police Didier Lallement au rang de "parti politique contestataire". Avec @EELV.#9janvier2020
    (via @ferrerbartomeu )

    Voir l'image sur Twitter
    Les Insoumis vent debout depuis plusieurs mois contre Didier Lallement

    Même son de cloche du côté des Insoumis.
    Après les violences survenues le 16 novembre sur la place d'Italie à Paris pour l'anniversaire des Gilets jaunes en novembre 2019, les Insoumis avaient mis en cause le représentant de l'Etat dans la capitale.
    Le chef de file de LFI, Jean-Luc Mélenchon, avait accusé le 17 novembre Didier Lallement d'être responsable de l'envenimement de la situation, en ayant demandé le départ de la manifestation parisienne des Gilets jaunes au niveau de la place d'Italie, alors que celle-ci était en travaux.
    Cette caractéristique du lieu, selon le député de Marseille, avait facilité la casse et les débordements.
    «Même le maire de l'arrondissement a trouvé que ce n'était pas le bon endroit [...]
    Le préfet de police a été nul dans cette affaire. Il a lui-même créé les conditions du débordement», avait-il estimé.
    RT France 
     
    @RTenfrancais

    : «L'intention du gouvernement et de monsieur Macron c'est de faire tellement peur que les gens ne disent plus rien» https://francais.rt.com/france/68071-violences-place-ditalie-pour-melenchon-prefet-lui-meme-cree-conditions-debordement 

    Violences place d'Italie : pour Mélenchon, le préfet «a lui-même créé les conditions du débordement»

    Le chef de file insoumis n'a pas mâché ses mots à l'encontre du préfet de Paris Didier Lallement, qu'il a accusé d'avoir «créé les conditions du débordement» place d'Italie, le 16 novembre, en...

    francais.rt.com
     
    Le lendemain, alors qu'il lui était demandé sur France Info s'il demandait la démission du préfet de Paris, le député insoumis Eric Coquerel avait répondu : «Après ce week-end, oui. On se retrouve avec une manifestation qui ne peut pas manifester, [...] ce n’est pas n’importe quoi dans un pays, de ne pas pouvoir manifester.»
    Deux mois plus tard, le 10 janvier sur BFM TV, une autre députée LFI, Danièle Obono, avait appelé Didier Lallement à quitter ses fonctions.
    «Nous redemandons la démission du préfet Lallement et du ministre Castaner, car au-delà des actes dont les agents responsables doivent rendre directement compte, c'est leur stratégie politique d'organiser le désordre qui produit ces violences policières depuis plus d'un an», avait-elle tweeté.
    Députée Obono 
     
    @Deputee_Obono
     
     

    Nous redemandons la démission du préfet & du ministre , car au-delà des actes dont les agents responsables doivent rendre directement compte, c'est leur stratégie politique d'organier le désordre qui produit ces depuis + d'1 an.

    Il est à noter qu'en mars 2019 déjà, le député insoumis de Gironde Loïc Prud'homme avait accusé la police de l'avoir matraqué lors d'une manifestation des Gilets jaunes à Bordeaux.
    Une pétition en ligne avait été publiée pour réclamer la démission de Didier Lallement, alors préfet de Gironde.
    Elle avait recueilli plus de 20 000 signatures.

    RT France
     
    PETITION :
    https://www.mesopinions.com/petition/politique/demission-didier-lallement/79389
     

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  • 150 quartiers sont « tenus » par les islamistes, selon un document classé secret-défense

    Conséquence ou pas du bel accueil médiatique fait au livre du politologue Bernard Rougier, Les territoires conquis de l’islamisme, l’exécutif semble déterminé à lutter tant bien que mal contre les dérives communautaires, mais craint d’être accusé de stigmatiser les musulmans. Ainsi, le 5 janvier, après l’attentat de Villejuif, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a envoyé un télégramme aux préfets leur demandant de réunir les GED, à savoir les groupes d’évaluation départementaux. Cette énième réunion aura au moins accouché d’un chiffre, relayé par Le JDD : 150, soit le nombre de quartiers sous l’emprise de l’islam radical. Des territoires perdus de la République cartographiés par la DGSI.

    « Situation alarmante »« proportions inquiétantes »« microterritoires » salafisés… 

    Le document, classé secret-défense, est extrêmement sensible et n’a été divulgué qu’à un seul ministre, celui de l’Intérieur. Les autres ministères concernés par la lutte contre le communautarisme, et qui se sont réunis pour évoquer le sujet les 5 et 16 décembre, à savoir la Justice, l’Éducation nationale, la Santé, les Collectivités locales ou encore la Jeunesse, n’ont pas de droit de regard. « Les ministres sont sous la pression de Macron, qui leur a demandé de faire des propositions fortes », fait remarquer un connaisseur du dossier au JDD. Le 27 novembre dernier, déjà, Christophe Castaner avait adressé aux préfets une circulaire faisant de « la lutte contre l’islamisme et le repli communautaire » un « nouvel axe de [leur] action ». 

    Mais outre les banlieues de Paris, Lyon et Marseille, qu’on sait touchées par le phénomène, plusieurs cités du département du Nord sont dans le viseur des renseignements intérieurs. À Maubeuge, par exemple, l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) a obtenu 40 % des voix dans un bureau de vote. Une « situation alarmante » semblable à celle de l’agglomération de Denin ou encore Roubaix, où « bien qu’historique, la situation prend des proportions inquiétantes », explique un préfet cité par Le JDD. Parmi ces territoires « tenus » par l’islam salafiste, figurent des zones moins attendues, comme en Haute-Savoie ou dans l’Ain, à Annemasse, Bourg-en-Bresse, Oyonnax ou encore Bourgoin-Jallieu. Enfin, plus surprenant encore, la DGSI constate « l’apparition de microterritoires qui se salafisent dans des zones improbables », telles que Nogent-le-Rotrou, en Eure-et-Loir.

    Source : http://valeursactuelles.com


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