• « C’est une pré-guerre civile. Les politiciens ont installé chez nous des colonies de barbares »

     

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    Posté par:Pieds Noirs 9A..

     

    Plus qu'as fournir la boite de vaseline aux policiers 

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    Castaner a envisagé une cérémonie avec des policiers qui s’agenouillent dans la cour de l’hôtel Beauvau

     
    En signe d'allégeance auprès des manifestants en mémoire de George Floyd et Adama Traoré, le ministre de l'Intérieur a suggéré que des policiers et gendarmes mettent un genou en terre à l'occasion d'une cérémonie dans la cour de l'hôtel Beauvau. Une proposition a fait bondir au sein même du ministère de l’Intérieur et à l’Élysée.
    Depuis plusieurs jours, ce geste de soumission fait des émules chez les politiques et dans les milieux d'extrême gauche.
     
    image drole castaner - Recherche Google (avec images) | Humour ...

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  • Lettre à Assa Traoré : un mot pour nos soldats tombés au Mali ?



      Madame,

    Connaissez-vous ces noms : Mickaël Chauwin, Kévin Clément, Antoine Serre, Alexandre Van Dooren, Jean-Luc Ronis, Baptiste Truffaux, Mickaël Poo-Sing, Alberic Riveta, Abdelatif Rafik, Ronan Pointeau, Valentin Duval.

    Avez-vous reconnu ces onze noms ?

    Non ? Alors, lisez-les une nouvelle fois. Et une fois encore.
    Si vous en êtes capable, mémorisez ces noms.  
    Qui sont-ils, ces jeunes gens ? demanderez-vous, puisque vous ne les connaissez pas.
    Aucun n’est plus âgé que votre frère lorsqu’il est mort : 24 ans.
    Onze gamins, onze vies.
    Onze parmi une liste de quarante noms, les plus jeunes.
    Ils devraient vous faire saigner le cœur.
    Ils sont morts dans votre pays, le Mali, pour votre pays, le Mali.
    Ils faisaient partie de la force armée française engagée là-bas dans les opérations Serval et Barkhane, et destinée à éviter que des fous furieux islamistes prennent possession de votre terre et vous mettent sous bâche avec interdiction de parler.
    Ces onze gamins sont morts pour vous.
    C’est devant leur mémoire que vous devriez plier le genou.

    Je m’associerai à votre combat « Justice pour Adama » le jour où vous aurez pris la tête d’un comité « Justice pour Mickaël », puis « Justice pour Kévin », et ainsi de suite.
    Vous avez quarante comités à créer, un pour chacun de ces « morts pour le Mali » auxquels vous tournez le dos.
    Je m’associerai à votre combat le jour où vous exigerez – oui, je dis bien exigerez – que les forces françaises engagées chez vous, au Mali, comportent au moins la moitié de soldats d’origine malienne. Ce n’est pas trop demander, me semble-t-il.
    Je m’associerai à votre combat le jour où vous cesserez d’être aveuglée par la haine du pays qui vous accueille, vous et les vôtres, et que vous manifesterez dans la rue pour exiger – oui, je dis bien exiger – que les délinquants, dont votre famille regorge, soient arrêtés et punis et non louangés et portés à l’admiration des décervelés.
    Je m’associerai à votre combat lorsque vous avouerez qu’en dépit de quelques « brebis galeuses », la police de notre pays n’est pas ce bloc de racisme que vous vous plaisez à dénoncer avec cette outrance ébouriffée qui est votre marque de fabrique.

    Je m’associerai à votre combat lorsque vous reconnaîtrez publiquement le tribut payé par les forces de l’ordre à la tranquillité publique – 25 morts et 20.000 blessés par an – et que vous montrerez de la commisération pour leur abnégation et leur sacrifice.

    En attendant, lorsque je vous entends dans le poste, je tourne le bouton.

    Sur « off ».

     Yannik Chauvin

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  • Dijon : le temps des barbares…




    Parmi les dizaines de tweets décrivant la lâcheté d’ face aux jeunes arabes armés de , j’en ai retenu un qui résume tout. 
    Celui de Damien Rieu qui présida aux destinées de Génération Identitaire avant d’en démissionner.

    « Une banderole contre le racisme anti-blanc déployée 15 minutes par 12 gamins aura créé plus d’indignation médiatique et politique qu’une guerre entre 300 Tchétchènes et narcotrafiquants à Dijon ».
    Car la réalité elle est là !
    Ce qui aurait du faire la une de tous les journaux imprimés et télévisés n’a de fait guère ému nos journalistes.
    Et pourtant,cette réalité, grâce aux vidéos tournées par ces « chances pour la France » pour montrer combien ils nous défient, nous éclate aux yeux.
    Combien de banlieues sont-elles ainsi  prêtes à livrer bataille ?
    Les armes y circulent librement.
    Kalachnikov, Magnum, grenades, fusils à pompe.
    Elles sont là, dissimulées dans les caves inaccessibles à la police.
    Et c’est en toute sérénité que lundi, à Dijon, aux , l’un de ces quartiers qui n’appartient plus à la République, ceux qui se proclament arabes et musulmans devant les objectifs de leurs portables appuient à qui mieux mieux sur de multiples gâchettes pour détruire les caméras de sécurité.
    Et quelle est la réponse du Gouvernement ?
    L’envoi de Nunez sur place, après le déluge, gendarmes mobiles et policiers envoyés en renfort et quelques rares arrestations.

    Emmanuel Macron et Edouard Philippe ont-il exigé de leur ministre de l’Intérieur de ratisser les caves, de fouiller les appartements à la recherche des armes et déguisements aperçus sur les vidéos ?
    Rien. Que nenni.
    On attend toujours une déclaration fulgurante de l’Elysée.
    On attendra encore longtemps, je pense, une déclaration de guerre, non pas à un virus mourant mais à ces guerriers de banlieue, trafiquants de toute sorte, lourdement armés qui se savent ici, en France, à l’abri d’une répression sans faille.
    Ces Français de papier que la France généreuse accueille et abrite depuis deux ou trois générations, savent que la lâcheté du pouvoir leur procure la meilleure des impunités.
    Hier Dijon.
    Demain où se dérouleront les guérillas que décrit avec talent Laurent Obertone tout au long de ses livres ?
    La France Orange Mécanique et son dernier, Le temps des barbares sont devenus, ce week-end à Dijon, une triste réalité.

    Addendum : on apprend que l’Élysée demande au ministère de l’Intérieur d’expulser les étrangers ayant participé aux violences… à suivre donc

     Floris de Bonneville

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  • Comprendre l’imposture #BlackLivesMatter avec Amandine Gay

    Amandine Gay, universitaire et conférencière, suivie par 25.000 personnes sur Twitter, est une activiste du mouvement #BlackLivesMatter. Elle est aussi la responsable du site internet « badassafrofem » sur lequel elle se définit comme une « angry black lady », c’est-à-dire une femme noire en colère. On imagine le tollé si nous créions un site des « hommes blancs en colère ». L’horreur, quasiment le nazisme.

    Donc cette activiste, en quoi nous donne-t-elle une bonne raison de mettre en lumière l’objectif réel (anti-blanc) du militantisme #BlackLivesMatter ? Tout simplement par sa réaction à la banderole déployée le week-end passé par Génération Identitaire contre le racisme anti-blanc. Cet énième avatar du progressisme racisé a déclaré, suite à la diffusion de la photo des jeunes blancs embarqués par la police : « On a (pas encore tous) les noms des identitaires et on a leurs photos. Peut-on savoir où ces personnes travaillent et étudient afin de lancer des pétitions et autres cercles d’appels pour demander leur renvoi ? »

    Amandine Gay@OrpheoNegra
     
     

    On a (pas encore tous) les noms des identitaires et on a leurs photos.
    Peut-on savoir où ces personnes travaillent et étudient afin de lancer pétitions et autres cercles d’appels pour demander leur renvoi?

     
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    Le projet de pourrir la vie, d’essayer de faire perdre leurs emplois à des Blancs qui se plaignent de racisme anti-blanc, venant de Noirs qui se plaignent de racisme anti-noir en dit long sur la vraie nature des militants de #BlackLivesMatter : comme d’habitude, leur antiracisme n’est qu’un nom de code pour anti-blanc !

    Il est temps de siffler la fin de cette turbulente récréation : dissolution de toutes les officines anti-françaises et expulsion de tous les indésirables.

    Foutons-les dehors !

    Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France


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