• Spécialité Française << faire l'autruche >>...

     En France les spécialistes a faire l'autruche ...

    Par:Pieds Noirs 9A..

    Ne pas oublier les attentats

    En 2016, plusieurs femmes avaient tenté de faire sauter Notre-Dame avec des bonbonnes de gaz.

    En 1995, lors du détournement de l’avion Alger-Paris, les terroristes avaient prévu de projeter leur avion sur la Tour Eiffel.

    Ne pas oublier AZF de Toulouse 

    Du pain béni pour les conspirationnistes cet incendie, nous allons en prendre pour 20 ans au moins de théories fumeuses d'experts autoproclamés, appuyés par la méga force de leurs pensées par eux mêmes sans références et sans études....

    Pour notre Dame de Paris 

    Il y a bien un deuxième foyer latéral, et c'est le constat des pompiers.

    Icone

     Il faudrait donc tout de suite écarter la piste de l'incendie volontaire sans attendre les résultats de l'enquête ? Mais on ne peut s'empêcher de penser que si l'on écarte d'emblée cette piste c'est fausser l'enquête dont les conclusions n'auront que peu d'intérêt...

    Le Grand Débat a été pipé dès le début car on y a interdit de parler d'immigration. On nous referait le coup avec l'incendie de Notre Dame de Paris ?... Il est pourtant incontestablement suspect après avoir entendu les premières déclarations des uns et des autres. Et quand on sait la détermination de certains à détruire tout ce qui relève de la culture occidentale et chrétienne en particulier, on ne peut que s'interroger sur les circonstances de cet incendie. D'autant que l'Observatoire de la Christianophobie nous rappelle que de nombreux lieux de culte chrétiens sont détruits par des extrémistes un peu partout dans le monde. Alors, pourquoi Paris ne serait-il pas la suite logique de cette triste série ? Si l'opinion publique verse dans la théorie du complot ce n'est pas sans raison. Et si la sagesse demande d'attendre les conclusions de l'enquête, on se doute que celles-ci seront conformes aux codes de la bien-pensante imposés par l'UE... Circulez, ya rien à voir !  ...

     (((Lisez sur : https://fr.gatestoneinstitute.org/14080/europe-eglises-vandalisees-incendiees)))

    Depuis ce temps ,on entend procureur et membres du gouvernement, soutenus par une presse qui "répète", parler d'un incident qui mettrait évidemment en cause l'entreprise et sa filiale. Je voudrais mettre ici, un certain nombre de déclarations, dont certaines technique, qui excluent totalement la possibilité d'avoir, par un simple court-circuit électrique (d'ailleurs impossible, voir ci-dessous) totalement détruit les énormes sections de bois faites de chênes centenaires... Alors ? Donc impossible !...

    Deux jours après l'incendie de Notre-Dame de Paris, l'entreprise Le Bras répondait à la presse le mercredi après-midi. C'est elle qui devait assurer le chantier de rénovation de la flèche de la cathédrale. Sa filiale Europe Échafaudage a quant à elle monté la structure de 100 mètres de haut permettant ce chantier.

    Pour la première fois depuis l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, après les dizaines et dizaines de sollicitations de la presse régionale, nationale et même internationale, l'entreprise Le Bras Frères a tenu une conférence de presse le mercredi après-midi sur son site à Jarny. 
    "Nous avons une alimentation électrique pour le chantier et systématiquement, nous coupons l'alimentation en quittant le chantier". Julien Le Bras, représentant d'Europe Échafaudage, l'assure, il n'y a pas eu de défaillance humaine le soir de l'incendie.
    "Nous avons la ferme conviction que nous ne sommes pas liés à cet événement", rajoute-t-il. "Nous souhaitons collaborer afin de savoir ce qui s'est passé et pour que nous soyons mis hors de cause".

    "J'entends parler d'ascenseur", poursuit-il. "Il y avait une alimentation électrique bien entendu. L'ascenseur était distant de 7 ou 8 mètres de la cathédrale. L'alimentation électrique de l'ascenseur avait été contrôlé par un organisme agréé."
    "Le chantier se déroulait tout à fait normalement. Il a démarré il y a un an, les conditions de sécurité ont été respectées". 
    "J'ai essayé de déculpabiliser tout le monde", assure Julien Le Bras. "Il n y avait aucun travaux d'électricité ; nous étions en train de monter l'échafaudage."

    Le Bras Frères, c’est l’entreprise lorraine spécialisée dans les chantiers souvent très complexes de rénovation de monuments historiques. Ces restaurateurs de cathédrales sont tout récemment passés par Reims, mais aussi Verdun, Amiens, Poitiers, Strasbourg, Metz.
    C’est cette structure, toujours debout d’ailleurs, qui se retrouverait au cœur de l’enquête déclenchée, aux premières heures mardi 16 avril au lendemain de l’incendie qui a ravagé une bonne partie de la cathédrale.

    Les douze salariés d’Europe Échafaudages, filiale de Le Bras Frères, ont été entendus par la police judiciaire, chacun plusieurs fois. « Ils ont apporté tous les éléments nécessaires avec une vraie volonté de collaborer. Qu’on sache le plus rapidement possible ce qui s’est passé et qu’on soit mis hors de cause », affirme Julien Le Bras.

    Si le chantier de l’échafaudage n’est pas en cause, c’est le grand mystère. « Franchement, c’est dur à expliquer. Il n’y avait pas de travaux par points chauds ni travaux électriques. » Quelques personnes seulement s’attelaient au montage de l’échafaudage. « Le montage, c’est un marteau et une clé de 22 ! »

    Soudure, court-circuit électrique ? « Les gens parlent beaucoup sans savoir. Il n’y avait pas de soudure sur plomb comme j’ai pu l’entendre. Certains ont même parlé de soudure sur bois ! Quant à l’alimentation électrique, elle a été homologuée par un organisme agréé. Les ascenseurs étaient distincts de 7-8 mètres de la cathédrale. » En fin de chantier, comme le préconise une des multiples et draconiennes mesures de sécurité, les hommes ont coupé l’alimentation électrique propre au chantier, lumières et ascenseur. « L’armoire électrique est alors fermée à clé et la clé remise au concierge », a expliqué Marc Eskenazi, conseiller en cette période de crise. « Au moment du départ de l’incendie, plus aucun salarié n’était sur place », assure-t-il.

    Côté charpente, Julien Le Bras exprime la surprise de beaucoup de spécialistes : « il faut une vraie source de chaleur pour enflammer de telles sections de bois. » Alors le PDG s’interroge et n’exclut pas l’intrusion, le pari stupide. « Beaucoup de gens cherchent à monter en haut de Notre-Dame. »

    Voilà un an qu’Europe Échafaudage est à pied d’œuvre pour le montage de l’échafaudage de ce chantier hors norme. Plus de 600 tonnes d’acier – et non pas 250 comme nous l’avions estimé dans un précédent article –. Une structure monumentale, véritable forêt de tubes capable de s’élever à quelque cent mètres à hauteur de la flèche, mais sans jamais la toucher pour ne pas l’altérer. L’échafaudage dans les cas de restauration d’un monument historique, c’est une technicité hors norme. Précisément, Europe Échafaudage a acquis une réputation dans ce domaine. Notamment lors du chantier à Paris de la colonne Vendôme, il y a quelques années.

    Pour Notre-Dame, l’entreprise était dans les temps par rapport au calendrier imposé. Au rendez-vous, lorsque le 11 avril dernier, les douze apôtres et quatre évangélistes, statues de cuivre qui ornaient la flèche avaient été démontées. Une grue à 120 mètres de hauteur, les avait soigneusement déposées après les avoir fait danser dans le ciel sous les yeux médusés des Parisiens. Elles ont été envoyées dans un atelier de restauration à Marsac-sur-l’Isle en Dordogne. Les télévisions nationales étaient sur place pour immortaliser le moment devant de nombreux experts.

    Les travaux de restauration de la charpente, de la flèche et ses ornements de plombs, lots attribués à l’entreprise Le Bras n’avaient pas encore commencé.

    Les salariés Le Bras, si fiers de leur entreprise et son expertise, sont sonnés même si les chantiers suivent leurs cours. Ils ne croient pas en la faute, connaissent la rigueur exigée, n’osent imaginer ce que ressentent les douze collègues du chantier Notre-Dame. Ce devait être leur chantier emblématique, c’est devenu leur cauchemar. Du PDG à l’apprenti, c’est dur, peu imaginable lorsqu’on ne le vit pas.
    Heureusement, il y a les marques de soutien : le Louvre, Versailles – des ornements de la chapelle de Versailles sont actuellement dans les ateliers pour restauration –, la Drac de l’Île de France… « Clients, architectes, confrères et inconnus nous adressent leur soutien. Ça fait du bien. Beaucoup se disent étonnés car ils connaissent notre sérieux et notre rigueur », confie Julien Le Bras.
    À cela, se sont cumulées des dizaines, voire centaines de requêtes de la presse régionale, nationale et internationale. Insultes même de la part d’un journaliste américain éconduit. Il faut être solide pour supporter tout ça. Concernant la presse, pour ne pas être débordé et poser des limites tout en choisissant de communiquer, Julien Le Bras a décidé de ne s’adresser qu’aux médias régionaux.Je n'ai rien d'autre à ajouter...

    Qui mal y pense !

    Pieds Noirs 9A..


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