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    Moderna : complice et (grand) bénéficiaire de la création du Sars-Cov 2 en laboratoire

    Une étude scientifique parue fin février 2022 dans la revue internationale Frontiers in Virology met en évidence la concordance entre un brevet déposé par Moderna trois ans avant l’apparition de l’épidémie de Covid et le clivage de la furine sur la protéine de pointe (Spike) du Sars-Cov-2. Les auteurs de l’étude se couvrent en précisant que cette similitude n’est pas si rare que cela, sous entendant que cela pourrait être le fruit du hasard. Ce n’est pas ce que pense d’autres biologistes qui y voient la marque du fabriquant.

    L’étude parue en février 2022 n’a pas fait beaucoup parler d’elle et pourtant on apprend sans sourciller qu’il y a une concordance parfaite entre un brevet déposé par Moderna en 2016 sur une séquence génomique destinée officiellement à une recherche contre le cancer et le site unique de clivage sur la protéine spike du Sars-cov-2.

    Un brevet de Moderna troublant

    Qu’est-ce que le site de clivage unique de spike ? Le génome de Sars Cov 2 est composé d’environ 30 000 lettres, l’OMS avait annoncé l’avoir séquencé début janvier 2020 après l’avoir isolé et déclaré qu’il était à l’origine de l’épidémie de Covid en Chine.

    Une insertion entre les fragments S1 et S2 de la protéine spike a créé un site de clivage protéolytique sensible à la furine. Cette insertion est récente, puisqu’aucun virus connu proche de Sars-CoV-2 ne la contient. Sars-Cov-2 est l’unique coronavirus à coder cette particularité…et c’est Moderna qui détient ce brevet.

    Cela nous conduit à conclure tout droit que Moderna a participé à la fabrication du Sars-Cov 2. Mais il existe une catégorie de spécialistes – rappelons que l’indépendance des chercheurs s’arrête là où commence l’autorité de ceux qui les financent – qui ont annoncé qu’un tel événement n’était pas rare, sous entendant que ces spécificités seraient liées à l’évolution naturelle des virus, c’est-à-dire au hasard. Cependant, d’autres spécialistes affirment que la probabilité d’une évolution naturelle sur cette partie du génome qui permet précisément la transmission du Sars-Cov-2 de l’animal à l’homme est de 1 sur 3.000 milliards, soit un événement statistiquement impossible.

    Les théoriciens évolutionnistes nous ramènent donc consciencieusement à la version mensongère de la chauve-souris et du pangolin qui permettait d’orienter l’opinion publique vers une théorie aussi loufoque qu’impossible. Instaurer dans les esprits la peur des zoonoses (maladie infectieuse des animaux vertébrés transmissible à l’être humain) est une stratégie internationale portée par l’OMS et ses partenaires depuis plusieurs années pour mieux orienter et contrôler l’opinion publique. L’apparition des virus du Sida, d’Ebola, de la maladie de Marburg n’ont jamais permis de mettre en évidence un réservoir animal. Même si des souches spécifiques du VIH existent chez l’animal (singe, chat…), le passage du virus animal à l’humain n’a jamais été formellement démontré.

    Quand le profit justifie la maladie

    Le meilleur moyen de vendre des traitements (vaccins ou médicaments) consiste à créer des maladies. L’industrie pharmaceutique l’a compris depuis longtemps et a investi depuis des décennies dans l’agro chimie et l’industrie agroalimentaire pour y introduire des composants chimiques dont il aura fallu attendre plusieurs décennies pour se rendre compte qu’ils développaient des cancers et autres maladies mortelles.

    Les habitudes alimentaires changent d’un pays à l’autre, d’une région à l’autre (Afrique, Afrique, Europe…). Les retours sur investissements sont longs et aléatoires. Créer des pathogènes en laboratoires et les inoculer à l’humanité entière à partir d’un virus crée en laboratoire apporte de nombreux avantages : une même maladie multiforme (pour ne pas éveiller les soupçons) pour tout le monde et un retour sur investissement rapide car les vaccins sont prêts en même temps que la maladie est identifiée (les candidats vaccins de Pfizer et Moderna étaient prêts dès janvier 2020).

    Moderna engrange 1.000 $ de profit à la seconde, soit 65.000$ à la minute. Alors pourquoi voudriez-vous qu’en plus ils vous vendent des vaccins qui vous protègent ?

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