Quels sont les salauds qui ont laissé Claude Sinké, 84 ans, crever en prison ?

Des magistrats ont osé incarcérer un homme de 84 ans en mauvaise santé parce qu’il a échoué à incendier une mosquée et avait blessé deux musulmans de 74 et 78 ans, toujours en vie, eux. Certes, c’est condamnable de tirer sur deux personnes âgées, à cause de leur religion, mais la détention de Claude Sinké, par ailleurs fortement diminué physiquement et mentalement, s’imposait-elle vraiment ?

J’ignorais que la justice était descendue si bas. À longueur d’année ils laissent libres des racailles multirécidivistes en l’attente de leur procès pour viols en réunion par exemple. Et ils ont osé incarcérer un Français de 84 ans, en mauvaise santé. Français qui n’a d’autre pays que la France, contrairement aux racailles qui ont leur pays d’origine et tous les pays musulmans pour fuir la justice française !

Je pensais Claude Sinké reclus chez lui ou hospitalisé, en l’attente d’un procès qui arriverait après sa mort, vue la lenteur des magistrats français. Et bien pas tout à fait, oui le procès n’aura pas lieu mais c’est parce que les magistrats l’ont condamné à mort par incarcération en prison.

Il est évident pour tous, je pense, qu’un homme de 84 ans, en mauvaise santé, n’a pas sa place en prison.

D’un côté nous avons : Balkany, 71 ans, libéré bien que jugé et condamné.

Et de l’autre nous avons : Sinké 84 ans, non jugé, donc toujours présumé innocent pour la justice, et bien lui ils l’ont incarcéré jusqu’à ce que mort s’ensuive.

Olivier JANSON est le magistrat qui a signé le communiqué de presse annonçant la mort du prisonnier innocent Claude Sinké, qu’il détenait à Mont-de-Marsan.

Depuis 2017 il est vice-procureur de la République près le tribunal de grande instance de Bayonne :

https://jorfsearch.steinertriples.fr/name/Olivier%20Janson

« Comme le rappelle le nouveau procureur de Bayonne, Jérôme Bourrier, « l’instruction judiciaire n’est pas close pour autant. Elle le sera quand les circonstances précises des faits seront définitivement établies ». « Nous le devons aux victimes », ajoute-t-il. À la fin de l’instruction, une ordonnance prononcera toutefois l’extinction de l’action publique. Reste à savoir si, en l’absence de l’auteur des faits, la Commission d’indemnisation des victimes d’infraction (Civi) pourra prendre le relais sur le plan de la réparation financière. »

https://www.sudouest.fr/2020/02/27/mort-de-claude-sinke-l-auteur-de-l-attaque-a-la-mosquee-de-bayonne-on-ne-saura-pas-ce-qu-il-avait-dans-la-tete-7249782-4018.php

Jérôme BOURRIER est un vaillant petit soldat de la magistrature, qui s’attaque à l’incendie partiel d’une porte de mosquée. Ouais, ce magistrat d’élite qui, comme nombre de ses collègues, préfère s’acharner sur un vieil homme scandaleusement mort en prison, quand 120 agressions par jour au couteau se déroulent en France, la plupart du temps commises par des Suédois, bien sûr !

Nous allons également probablement payer, via nos primes d’assurances, un tribu aux deux blessés !

Elle est pas belle la vie ? La communauté la plus agressive, délinquante et criminelle de France se dit  traumatisée parce que pour une fois un Blanc a blessé deux de ses coreligionnaires. Nombre de ceux-ci ont tellement l’habitude de tabasser un Français à 10 contre un que lorsqu’un vieux Gaulois de 84 ans blesse à lui seul deux des leurs, ils sont sous le choc. Et pour une fois, ce ne sont pas des soldats d’Allah qui tuent des infidèles, à la kalachnikov, à la voiture folle, au camion fou ou au couteau ! Ils ont même, quelques jours après, osé organiser une manifestation dans les rues de Paris, contre l’islamophobie, avec des cris « Allahu akbar » et des appels à la haine contre Zemmour et Zineb el Razoui. Et avec le soutien de toute la gauche !

Aucun d’entre eux n’aura un mot pour s’indigner qu’un vieil homme de 84 ans ait été envoyé à la mort en prison, ni ne se posera des questions sur ce que furent, durant ces cinq mois de détention, ses conditions d’existence.

A-t-il seulement été protégé de la promiscuité des musulmans, majoritaires dans les prisons ? On aimerait en être certain, mais on craint le contraire.

Salauds !

Brenton ANDERS