• Victoire maçonnique : Vincent Lambert, handicapé, va être euthanasié sur décision du Conseil d’Etat

    Vincent Lambert, handicapé, va être euthanasié

    Communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune :

    Le Conseil d’État vient de confirmer la décision du Tribunal Administratif de Châlons-en-Champagne d’arrêter de nourrir et d’hydrater Vincent Lambert, ce qui revient à le faire mourir de faim et de soif alors même qu’il est vivant.

    Les experts mandatés par le Tribunal Administratif avaient pourtant précisé dans leur rapport que la prise en charge de Vincent Lambert ne relevait pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable.

    La justice ne les a pas suivis. Elle condamne aujourd’hui Vincent Lambert à une mort certaine en s’appuyant sur la loi Claeys-Leonetti qui a ouvert la porte à l’euthanasie en France. Vincent Lambert sera plongé dans un état de sédation profonde et continue jusqu’à la mort, conformément à cette loi. C’est une euthanasie déguisée.

    Condamner à mort Vincent Lambert, c’est signifier aux personnes handicapées que leur vie n’a aucune valeur aux yeux de la société. Jean Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune, qui, depuis le début a soutenu les parents de Vincent dans leur combat pour la vie de leur fils, dénonce cette décision et alerte sur la situation des autres patients en état pauci-relationnel qui risquent de connaître le même sort.

    Poursuivant l’œuvre du Professeur Jérôme Lejeune, qui aimait rappeler que « la qualité d’une civilisation se mesure au respect qu’elle porte aux plus faibles de ses membres », la Fondation Jérôme Lejeune ne peut se résoudre à accepter une société qui élimine au lieu de soigner.

    Pour rappel, cette vidéo prise par un proche en 2015, montrant un Vincent Lambert qui serait « en fin de vie ». Vincent Lambert est un grand handicapé, qui ne peut pas, comme beaucoup de gens, se nourrir seul. Il n’a par ailleurs exprimé aucun désir de mourir :

    La légalisation de l’euthanasie est l’un des chevaux de bataille de la franc-maçonnerie ces dernières années, et, comme d’habitude, elle utilise un cas extrême (et en le déformant) pour faire passer une loi qui va tout permettre.

    Source : http://contre-info.com

    À lire : Jérôme Triomphe : « Aujourd’hui, on peut euthanasier un homme au motif qu’il est handicapé »


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  • Le rejet de l’action d’Emmanuel Macron n’a jamais été aussi fort

     

    Frederic Legrand - COMEO / Shutterstock
     

    Selon une étude Opinionway parue samedi 20 avril, la politique du président de la République a atteint un record de rejet. Une désaffection qui touche également le Premier ministre et tout le gouvernement.

    27% de taux de satisfaction pour l’action d’Emmanuel Macron. Un niveau minimum record depuis le début du quinquennat du président de la République, de cinq points inférieur à l’enquête du mois de mars.

    Seuls 5% des Français interrogés se disent très satisfaits par l’action d’Emmanuel Macron. Tandis que 20% des sondés s’affichent mécontents et 40%, très mécontents du chef de l’Etat, qui ne bénéficie donc pas des appels à la mobilisation nationale autour de la reconstruction de Notre-Dame-de-Paris.

    Le Premier ministre Edouard Philippe ne réunit que 29% de taux de satisfaction, là encore un plus bas historique depuis 2017. Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, en première ligne dans la gestion de l’ordre du mouvement des Gilets jaunes, chute également de cinq points, à 27%.

    La Berezina.

    https://lalettrepatriote.com


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  • Des bergers Lallement contre les gilets jaunes ?

    Des bergers Lallement contre les gilets jaunes ?

    Pour la manifestation de samedi des Gilets jaunes, le nouveau préfet de police de Paris Didier Lallement a augmenté le nombre de policiers à moto (170) et a mobilisé une douzaine de chiens policiers dressés pour l’attaque. Le Canard précise qu’il a ordonné de les démuseler.


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  • Selon le Musée de l'Immigration, Paris est propre grâce aux immigrés...

    Selon le tableau de Chéri Samba, « artiste » congolais, exposé au Musée de l'Immigration, la ville de Paris est propre grâce aux immigrés. En effet, « l’œuvre » est légendée : “Paris est propre / Grâce à nous les immigrés qui n’aimons pas voir les urines et les crottes des chiens / Sans nous, cette ville serait peut-être la scorie de crottes”.

    Nul doute que, une fois sortis du monde parallèle fantasmé de ce musée de la propagande immigrationniste, les visiteurs pourront constater d'eux-mêmes l'inestimable apport des Africains dans la propreté de la voirie urbaine de Paris...


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  • Acte XXIV

    Lallement on dirait Himmler sous sa casquette ...son nom lui correspond bien .....

    Heinrich Himmler

    Des Himmler, il y en a partout qui n'attendent qu'une situation propice pour se révéler. C'est précisément de cette situation qu'il faut se préserver, et il n'est pas certain qu'on en prenne le chemin.

    himmler

    Petit détail pendant que nous y sommes ;

    Fils de professeur, filleul du prince Heinrich de Bavière, Heinrich Himmler a été élevé, selon les méthodes de l’époque, dans une famille catholique très pratiquante, qui ne plaisantait pas avec la morale et les convenances bourgeoises, et dans l’amour et le respect de la patrie allemande. Docile, affectueux, respectueux, il fit de solides études et se destina à la carrière d’officier. La Première Guerre mondiale n’interrompt pas ses études. Il doit attendre 1917 avant d’être admis à s’engager et fait ses classes dans le 11e régiment d’infanterie de Bavière; il suit ensuite un cours d’élève officier à Freising (Allemagne), puis un cours de canonnier à Bayreuth (Allemagne). Deux mois après il est démobilisé avant même son arrivée au front. Plus tard, il prétendra avoir conduit les hommes au combat pendant la Première Guerre mondiale. Himmler décide alors de se tourner vers l’agronomie. Après avoir travaillé dans une ferme-école aux environs d’Ingolstadt (Allemagne), il s’inscrit à l’université de Munich (Allemagne) pour poursuivre ses études d’agronomie et devient ingénieur à vingt et un ans.

    Cette année-là, il rencontre le capitaine Röhm qui fait sur lui une grande impression et le convertit à ses vues politiques. En août 1923, il adhère au NSDAP. d’Adolf Hitler. En novembre, il participe au putsch de Munich (Allemagne) aux côtés de Röhm, mais il n’est pas poursuivi par la justice. C’est alors qu’il rencontre Gregor Strasser, qui le prend en qualité de secrétaire du Mouvement national-socialiste pour la liberté, qui remplace la NSDAP. interdite. En 1925, Himmler travaille pour Gregor Strasser en collaboration avec Joseph Goebbels. Cette même année, Himmler entre à la SS (sous le numéro matricule 168) que Hitler vient de fonder. Dès ce moment, Himmler va vouer à Hitler une admiration, une soumission et une fidélité qui ne se démentiront que dans les tout derniers jours de la Seconde Guerre mondiale. «Henri le Fidèle» (der treue Heinrich ), comme l’appelle Hitler, est à la fois le confident des projets les plus secrets du Führer et son exécuteur des hautes œuvres, mais il n’appartiendra jamais au cercle de ses amis intimes.

    Heinrich Himmler est doté d’une personnalité très difficile à saisir. Ceux qui l’ont connu de son vivant avaient peine, après l’avoir vu, à le décrire. Il y a autant de portraits de Himmler qu’il y a de témoignages: «Une application d’écolier borné, mais aussi quelque chose de méthodique comme peut l’être un automate» (Karl J. Burckhardt); «un bon maître d’école, certainement pas un chef» (général Walther Dornberger, «père des V1»): «froid, calculateur, avide de pouvoir, mauvais génie de Hitler, l’individu le plus dénué de scrupules du IIIe Reich» (général Friedrich Hossbach); «jamais je n’ai pu accrocher son regard toujours fuyant et clignant derrière son pince-nez» (Alfred Rosenberg); «cet homme n’avait rien de diabolique. Courtois, non dépourvu d’humour, il aimait à jeter de temps à autre un mot d’esprit pour détendre l’atmosphère» (comte Bernadotte).

    Himmler monte rapidement dans la hiérarchie de la NSDAP : gauleiter en Basse-Bavière (1925), gauleiter en Bavière et en pays souabe (1926), directeur des services de propagande du Reich (1926). Le 6 janvier 1929, Adolf Hitler lui confie la SS dont il devient Reichsführer. Il va en faire le terrible Ordre noir avec sa police politique (Gestapo), son service de renseignements, son organisation de camps de concentration, son service pour la race et la colonisation, son armée (la Waffen SS) et son parti dans le parti (l’Allgemeine SS, la SS générale), etc.

    Capable de fournir un immense travail, mais comme un automate routinier, son fanatisme, d’apparence glacée, est profond, tumultueux et sincère. Il croit fermement à ce qu’il dit et ne recule devant aucun crime pour réaliser les objectifs que lui fixe son Führer. Tout au long de l’histoire du IIIe Reich, son nom apparaît souillé de tortures, de sang et de férocité. Chef suprême de toutes les polices en 1938, il devient ministre de l’Intérieur en novembre 1943. Il fait régner la terreur non seulement en Allemagne mais dans toute l’Europe occupée. Après l’attentat manqué contre Hitler le 20 juillet 1944, il reçoit le commandement de toutes les forces armées de l’intérieur.

    Le 23 avril 1945, il rencontre le comte Bernadotte à Lubeck (Allemagne) et lui annonce que, Hitler étant sur le point de mourir, il prend le pouvoir et se tient prêt à négocier la capitulation de l’Allemagne. Hitler, l’ayant appris, révoque Himmler qui gagne le Schleswig où il sera arrêté par les Anglais. Son suicide lui permet d’échapper au jugement du Tribunal militaire international de Nuremberg.

    Source : © Encyclopédie Universalis 2003

    Pas d’Amalgame 

    Il veut lâcher les bergers "lallement" ?

     


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