• Tous les droits pour les envahisseurs, aucun pour les Français !!

    Avec le gouvernent socialiste ou le chef et Hollande et avec la complicité de Valls et Cazeneuve.. À Calais, tous les droits pour les envahisseurs, aucun pour les Français
     
    À Calais, tous les droits pour les envahisseurs, aucun pour les Français À Calais, tous les droits pour les envahisseurs, aucun pour les Français

    C’est le journal antifrançais Nord-Éclair qui évoque l’affaire. Au-delà de la propagande nauséeuse de journalistes semblant écrire sous la dictée de Manuel Valls, la tragique réalité de la ville occupée apparaît.

    Les forces de « l’ordre » – celles qui laissent libres des étrangers clandestins qui multiplient chaque jour les délits, quand ce ne sont pas des crimes – sont intervenues pour arrêter un homme qui tentait d’empêcher des délinquants étrangers de venir squatter un terrain municipal. La municipalité UMP de la ville, dirigée par la sénatrice Natacha Bouchart, aurait « toléré » que les délinquants étrangers jouissent de ce terrain… que cette même municipalité refuse aux Français habitant la ville.

    Un Calaisien a ainsi tenté d’empêcher l’invasion des lieux. Il y a installé une grue pour dissuader les envahisseurs ; il souhaitait l’utiliser pour abattre des arbres :

    « Ils se sont mis juste en face de chez ma belle-mère. Elle a 65 ans, elle est malade : elle a peur. Je voulais coucher les arbres avec la grue pour qu’ils s’éloignent. […] Moi, j’ai voulu acheter une partie du terrain il y a quelques années, et la ville a refusé. Pourquoi eux ont le droit de s’y* installer ? »,

    explique le Français désespéré. Très rapidement, des policiers arrivent, rapidement secondés par des CRS, ces policiers et ces CRS absents quand une jeune Blanche se fait violer à Évry, quand, durant des mois, un pédocriminel viole des enfants dans une école, quand des islamistes s’entraînent, achètent des armes et trafiquent de la drogue.

    Aucun homme politique n’est venu pour parler avec les victimes de la situation, proposer des solutions, abandonnant les Français aux conséquences de l’invasion qu’ils ont organisée.

    Dans le 2e canton de Calais dimanche dernier, un Français sur deux n’est pas allé voter. Un tiers de ceux qui l’ont fait ont voté Front national. C’est deux fois plus qu’il y a dix ans. Et pour l’avenir, sous les couleurs du Parti de la France (PDF), Kevin Reche, qui dirige l’association Sauvons Calais, a obtenu 3,3 % des voix.

    immigration_stop-rapatriement-maintenant-2

    C’est le journal antifrançais Nord-Éclair qui évoque l’affaire. Au-delà de la propagande nauséeuse de journalistes semblant écrire sous la dictée de Manuel Valls, la tragique réalité de la ville occupée apparaît.

    Les forces de « l’ordre » – celles qui laissent libres des étrangers clandestins qui multiplient chaque jour les délits, quand ce ne sont pas des crimes – sont intervenues pour arrêter un homme qui tentait d’empêcher des délinquants étrangers de venir squatter un terrain municipal. La municipalité UMP de la ville, dirigée par la sénatrice Natacha Bouchart, aurait « toléré » que les délinquants étrangers jouissent de ce terrain… que cette même municipalité refuse aux Français habitant la ville.

    Un Calaisien a ainsi tenté d’empêcher l’invasion des lieux. Il y a installé une grue pour dissuader les envahisseurs ; il souhaitait l’utiliser pour abattre des arbres :

    « Ils se sont mis juste en face de chez ma belle-mère. Elle a 65 ans, elle est malade : elle a peur. Je voulais coucher les arbres avec la grue pour qu’ils s’éloignent. […] Moi, j’ai voulu acheter une partie du terrain il y a quelques années, et la ville a refusé. Pourquoi eux ont le droit de s’y* installer ? »,

    explique le Français désespéré. Très rapidement, des policiers arrivent, rapidement secondés par des CRS, ces policiers et ces CRS absents quand une jeune Blanche se fait violer à Évry, quand, durant des mois, un pédocriminel viole des enfants dans une école, quand des islamistes s’entraînent, achètent des armes et trafiquent de la drogue.

    Aucun homme politique n’est venu pour parler avec les victimes de la situation, proposer des solutions, abandonnant les Français aux conséquences de l’invasion qu’ils ont organisée.

    Dans le 2e canton de Calais dimanche dernier, un Français sur deux n’est pas allé voter. Un tiers de ceux qui l’ont fait ont voté Front national. C’est deux fois plus qu’il y a dix ans. Et pour l’avenir, sous les couleurs du Parti de la France (PDF), Kevin Reche, qui dirige l’association Sauvons Calais, a obtenu 3,3 % des voix.

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