• Quand Macron voulait supprimer la force de dissuasion nucléaire Française…

    Marc Endeweld est journaliste d’investigation. Il vient de publier son nouveau livre : L’emprise. En voici un extrait qui fait froid dans le dos.

    Il y a douze ans, alors qu’il participait à la Commission Attali, Emmanuel Macron, jeune banquier d’affaires chez Rothschild, […] expose aux membres présents une proposition pour le moins osée : supprimer la force de dissuasion nucléaire pour faire des économies ;

    « Ce n’est pas très compliqué de trouver 4 milliards d’euros d’économies. La dissuasion nucléaire, ça sert à rien. Les Allemands n’en ont pas », affirme-t-il.

    À ces mots, Jacques Attali, ancien conseiller spécial et « sherpa » de François Mitterrand, voit rouge. Il interrompt sèchement son protégé :

    « Tu ne te rends pas compte de ce que tu dis. Tu racontes n’importe quoi ! »

    Un recadrage en bonne et due forme : « La force de dissuasion nous permet d’avoir un siège au Conseil de sécurité de l’ONU ! Les Allemands n’en ont pas pour des raisons particulières… La question essentielle est celle de la souveraineté. »

    Autour de la table, où ont pris place Serge Weinberg, président de Sanofi, Xavier Fontanet, ancien dirigeant d’Essilor, ou le journaliste Yves de Kerdrel, patron à l’époque de Valeurs actuelles, les membres de la commission renchérissent : pas question de supprimer la dissuasion, outil majeur de l’influence française dans le monde.

    Source : http://lalettrepatriote.com


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  • Démission du général de La Chesnais : la mauvaise foi éhontée du ministère des Armées

     
     
     
     Le porte-parole du ministère des Armées, M. Hervé Grandjean, a demandé récemment au général de La Chesnais, ancien major général de l’ de terre et directeur de la campagne d’Éric Zemmour, de partir à la retraite afin de se mettre en conformité avec le Code de la défense. 
     
    Techniquement, en effet, le général est en deuxième section ; ce statut, hérité des conflits de masse, lui permet d’être rappelé à tout moment pour commander des troupes de réserve - cas peu probable aujourd’hui - ou, plus généralement, pour servir son pays en cas de conflit, comme il l’a fait pendant près de quarante ans.

    Cette attaque un peu gratuite n’est pas sans une certaine mauvaise foi. En effet, le 16 janvier dernier, le directeur de campagne d’Éric  déclarait au Parisien : « Je suis en disponibilité depuis le 1er janvier 2018, donc libre de mes engagements, comme nombre de mes camarades qui ont un mandat électif. On a le sentiment que le pouvoir  cherche à créer une polémique visant à nuire à un candidat. » Disponibilité ? Hervé Grandjean oublie sans doute que c’est exactement ce dispositif qui a permis au capitaine Laetitia Saint-Paul, officier d'active, de porter les couleurs de La République en marche lors des  législatives de 2017 et d'être élue députée du Maine-et-Loire. Si elle n’est pas réélue en 2022, elle pourra retrouver ainsi son emploi et son statut. Mais il est vrai qu’elle défend le bon camp et qu’on ne saurait donc lui adresser les mêmes reproches.

    Examinons les textes, puisque c'est d'une offensive législative ou statutaire qu'il s'agit : dans la notice à l'attention des officiers généraux en 2e section, édition 2017, publiée par le ministère des Armées, on trouve, page 9, l'article 1.2.6, qui traite de l'« exercice d'une fonction publique élective ». Voyons voir : « Les officiers généraux de la 2e section peuvent librement se porter candidat à toute fonction publique élective. Toutefois, eu égard à leur situation particulière qui les maintient à la disposition du ministre, l’usage veut qu’ils informent le ministre de leur candidature et, le cas échéant, de leur élection. L’officier général candidat à une élection peut faire état de son grade, en précisant son appartenance à la 2e section, mais il doit respecter le devoir de réserve et demeure lié par l’obligation de discrétion professionnelle pour tout ce qui concerne les faits et les informations dont il a eu connaissance dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions militaires. »

    N'est-ce pas exactement ce que fait le général de La Chesnais qui, selon un récent article du Figaro, ne parle pas aux journalistes et ne leur communique pas son numéro de téléphone, tout autant qu'il s'abstient de tout commentaire ou allusion en rapport avec sa carrière passée ? Ne peut-on pas considérer que le fait d'être le directeur de campagne d'un candidat à l'élection présidentielle peut être assimilé à une candidature ? Et, plus encore, n'est-il pas évident qu'une procédure disciplinaire aurait déjà été lancée s'il y avait quoi que ce soit de fondé à reprocher au général (2S) ?

    Au-delà de cet acharnement administratif assez mesquin, on n’a guère de peine à distinguer ce qui se joue ici : le gouvernement, visiblement mis en difficulté par la dynamique du candidat de Reconquête, fait flèche de tout bois pour essayer de l’abattre, jusqu’à lui faire des reproches particulièrement tirés par les cheveux. On ne sait pas si  gagnera ; ce qui est certain - et c’est déjà une victoire -, c’est que l’absence de réponse sur le fond commence à se voir. Derrière les insultes, les indignations déjà vues cent fois, les appels au « cercle de la raison » et, donc, les tracasseries et les procédures, il n’y a rien. De même que derrière les discours de Macron, les réformes menées au galop, les parlementaires aux ordres, les injures contre les Français, les scandales médiatiques et les coups d’éclat, il n’y avait rien - depuis le début.


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  • 31 mars 2020 Macron fait interdire l'accès à l'hôpital aux personnes âgées malades


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