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  •  Le bureau PN9A..
     
    L'Algérie n'as jamais été colonisée ,c'était des départements Français que je sache . 
     
     
     

    Non au 19 mars 1962

     
    Quand je vois que L'Obs publie un hors-série intitulé « L'Algérie coloniale, 1830-1962 », en insistant bien sur le mot « coloniale » et avec en couverture une photo d'un militaire Français armé à côté de deux « Algériens » à terre et les mains en l'air, sous-entendant que cette photo résume finalement toute l'histoire de cette période, on comprend bien toute la gloire mesquine que tire ce journal d'avoir directement contribué avec tout son acharnement à humilier son pays et pousser à l'exode un million de ses compatriotes par son soutien au FLN. L'Obs est vraiment une des plus détestables incarnations de cette gauche autoproclamée progressiste qui comme a dit un jour Soustelle, « voulait bien défendre les droits de l’Homme, mais pas quand l’Homme s’appelait Hernandez. » 60 ans après on constate qu'ils sont toujours aussi fiers d'avoir pris le parti d'un peuple contre un autre, toujours aussi fiers d'avoir soutenu les pires des extrémistes, toujours aussi fiers de n'avoir pas eu l'intelligence de proposer des solutions intelligentes à un conflit fratricide, toujours aussi fiers de leur naïveté pour avoir cru qu'il était possible de trouver un terrain d'entente avec le FLN par la solution magique de « la négociation », toujours aussi fiers d'avoir gonflé les souffrances de l'ennemi et nié les souffrances des leurs. Toujours aussi fiers quand bien même l'idéologie portée par le FLN indigéniste, antioccidental, islamiste et islamo-gauchiste qu'ils ont largement contribué à diffuser est en train aujourd'hui de leur exploser à la figure.
     
    « Il y a des gens de France qui, après avoir annexé un vocabulaire et de bons sentiments, se sont, la bouche haineuse et le ventre plein, assis dessus comme sur un tas d’or. (...) (Ces traîtres, ce sont les représentants de) la gauche intellectuelle et progressiste, la gauche dans le vent. (...) Ils n’ont reculé devant aucun mensonge, aucune hypocrisie, aucune lâcheté. La victoire qu’ils souhaitaient, ils l’ont obtenue. Là où il y avait la vie, il y a la mort ; là où il y avait la joie, il y a la misère ; là où il y avait du travail, il y a la faim. La mort, la misère, la faim, voilà la victoire d’une gauche « intellectuelle et progressiste ». » (Hubert Bassot, 1965)
     

    Non au 19 mars 1962


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  • Sanctions contre la Russie : l'Allemagne s'attend à d'«importantes répercussions» sur son économie

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    Le ministre allemand de l’Economie s'attend à ce que les sanctions prises contre la Russie aient d’«importantes répercussions» sur sa propre économie. Avant même le début du conflit, Berlin anticipait un recul de son activité au second trimestre.

    «L'impact des sanctions et de la guerre est tel que l'on peut craindre que même de petites perturbations aient d'importantes répercussions», a déclaré ce 3 mars le ministre de l'Economie d’Allemagne Robert Habeck lors d'une conférence de presse à Berlin, après des discussions avec le patronat allemand. 

    Le ministre a ajouté que ces effets étaient «prévisibles et déjà partiellement perceptibles», et a estimé être «confronté à une situation d'une complexité jamais vue depuis plusieurs années». 

    Robert Habeck a précisé que les «entreprises allemandes détenaient environ 20 milliards d'euros d’investissement, dont seulement 7,4 milliards d'euros couverts par des assurances». Pour compenser ces pertes, il a annoncé le déblocage de certaines aides pour les entreprises allemandes présentes en Russie, sans toutefois préciser les sommes débloquées. «Nous allons mettre en place un programme de crédit [...] afin que les entreprises en difficulté puissent bénéficier des taux d'intérêts favorables de l'Etat», a-t-il ajouté. 

    Les conséquences du conflit en Ukraine interviennent alors que l'Allemagne était déjà plombée, depuis plusieurs mois, par la pandémie de Covid-19, et les pénuries sur les chaînes d'approvisionnement mondiale. En vertu des sanctions prises contre la Russie par les Occidentaux, de nombreux grands groupes allemands ont annoncé la suspension de leurs opérations dans ce pays ainsi que leurs livraisons de marchandises. 

    Certaines industries, comme les constructeurs automobiles, ont également dit souffrir de problèmes d'approvisionnement en raison de l'interruption de l'activité chez leurs fournisseurs ukrainiens. Le conflit devrait donc freiner la reprise de l'économie allemande, qui était déjà affectée ces derniers mois par la pandémie de coronavirus. 

    «Une récession serait à craindre si l'économie allemande n'était plus en mesure de produire, c'est-à-dire si le scénario du pire se produisait effectivement, mais nous sommes un gouvernement capable d'agir, nous sommes un pays fort [...] et nous travaillons pour que cela ne se produise pas», a voulu rassurer Robert Habeck.

    55% de gaz russe

    Toutefois, avant même le déclenchement de l’opération militaire russe en Ukraine, la Bundesbank avait prévu qu'une chute «sensible» de l'activité pour le début d'année 2022, après un trimestre de léger recul (-0,3%) au quatrième trimestre 2021, autrement dit, deux trimestres consécutifs de recul économique signifiant une récession. 

    L'Allemagne peut aussi s'inquiéter des conséquences du conflit sur l'approvisionnement en gaz de son économie, qui dépend pour l'instant à plus de 55% de la Russie.

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  • L'OTAN ne compte pas intervenir en Ukraine : "Nous ne faisons pas partie de ce conflit"

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    Le secrétaire général de l'OTAN a déclaré que les avions de l'Alliance ne devraient pas opérer dans l'espace aérien ukrainien et qu'il ne devrait pas y avoir de troupes au sol. L'OTAN examine les options mais ne voit pas de place pour ses propres troupes en Ukraine.


    Les membres de l'OTAN ont discuté des demandes de l'Ukraine visant à établir une "zone d'exclusion aérienne" au-dessus du pays, mais l'alliance est déterminée à ne pas s'engager directement dans la confrontation militaire entre Moscou et Kiev, a déclaré vendredi le secrétaire général Jens Stoltenberg, à l'issue d'une réunion des ministres des Affaires étrangères des alliés.

    "L'OTAN est une alliance de défense. Notre tâche principale est d'assurer la sécurité de nos 30 nations. Nous ne faisons pas partie de ce conflit. Et nous avons la responsabilité de veiller à ce qu'il ne s'intensifie pas et ne s'étende pas au-delà de l'Ukraine", a-t-il déclaré. "L'OTAN ne cherche pas à entrer en guerre avec la Russie".

    Cela dit, a ajouté M. Stoltenberg, l'alliance a intensifié les consultations avec la Suède et la Finlande, pays non membres, qui participent désormais à tous les événements de l'OTAN. Elle a également renforcé son soutien à la Géorgie et à la Bosnie-Herzégovine, a-t-il ajouté.

     

    Kiev demande une mission de maintien de la paix de l'ONU

    L'option d'une "zone d'exclusion aérienne", que Kiev demande aux membres de l'OTAN, a été "évoquée" au cours de la réunion, a déclaré M. Stoltenberg, mais les États membres "sont convenus que les avions de l'OTAN ne devaient pas survoler l'espace aérien ukrainien ni les troupes de l'OTAN se trouver sur le territoire ukrainien."

    Une "zone d'exclusion aérienne" nécessiterait que l'OTAN abatte les avions militaires russes impliqués dans l'offensive en Ukraine, a souligné Stoltenberg. Le président russe Vladimir Poutine a prévenu lors de l'annonce de l'invasion la semaine dernière que toute tierce partie tentant d'intervenir dans l'opération aurait des conséquences "sans commune mesure avec ce qu'elles ont connu dans leur histoire." De nombreux pays occidentaux ont pris cela comme une menace à peine voilée d'utiliser des armes nucléaires.

    M. Stoltenberg a revendiqué la formation et l'armement de dizaines de milliers de soldats ukrainiens au fil des ans, affirmant que cela leur permettait de repousser l'attaque russe. M. Poutine a cité l'expansion rampante de l'OTAN en Ukraine comme l'une des principales raisons pour lesquelles il a ordonné l'attaque en premier lieu. Depuis des années, la Russie affirme qu'entraîner son voisin occidental dans l'OTAN lui ferait franchir une ligne rouge et qu'elle devrait répondre à ce qu'elle considère comme une menace existentielle pour sa sécurité nationale.

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