• Deux valeureux soldats échangés contre deux crétins égocentriques qui cochent toutes les cases de l’idéologie mondialiste. Un autre symbole du remplacement de population voulu par les dirigeants mondialistes.


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  • L’indécence d’Emmanuel Macron

     L’indécence d’Emmanuel Macron

     
    Le Président de la République a osé aller accueillir à Villacoublay les deux irresponsables, indirectement responsables de la mort de nos deux soldats pour avoir passé outre les recommandations du Ministère des Affaires Etrangères.
     
    On ne sait pas qui a financé le Falcon de retour, mais c’est certainement nos impôts.
     
    Une pétition circule demandant à ce que ces deux énergumènes paient une rente à vie aux familles de nos deux soldats.
    Et que les deux ex-otages présentent des excuses publiques pour leur inconscience.
    Vous pouvez aussi écrire ou téléphoner à l’Élysée.
     
    Il semble que ce genre de messages n’arrêtent pas depuis ce matin.

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  • Nathalie Loiseau fait péter la bombe E



    « Elle ne s’arrête donc jamais », me disait, hier soir, un ami au sujet de Nathalie Loiseau, et l’on se prête à regretter d’avance que la campagne s’achève aussi vite dans deux semaines : deux semaines, c’est tout de même court pour terminer le collier de perles qu’est en train de nous confectionner l’ancien ministre des Affaires européennes.
    Jusqu’alors, la tête de liste « Renaissance » se limitait à un festival de maladresses qui ont été largement évoquées dans ces colonnes. 

    Comme l’écrivait, ici jeudi, notre ami Nicolas Gauthier, suivre en campagne Nathalie Loiseau devient un métier à plein temps. 
    Pas un petit boulot que l’on va chercher en traversant la rue.
    Mais là, maintenant, on est entré dans le dur, dans le programmatique. 
    Dans la perle rare. 
    Il faut frapper vite et fort : c’est le principe de la blitzkrieg, vous me direz. 
    Et faut avouer que, là, Nathalie Loiseau a bien mis le fil rouge sur le bouton rouge, tout comme il faut, tout comme on lui a dit. 
    Elle vient de sortir sa bombe à elle, celle qui va changer la donne, rebattre les cartes, renverser la table, bref, vitrifier le paysage politique en un rien de temps. 
    La surprise stratégique. 
    On a eu la bombe A, puis la bombe H. 
    Voici celle qui va peut-être permettre de gagner quelques pouièmes de points afin d’arriver en tête à la course en sac du 26 mai : la bombe E. E comme écologique. 
    Du lourd, disions-nous : mille milliards ! 
    Au moins mille milliards d’euros d’investissement dans l’écologie d’ici 2024, qu’elle a dit. Carrément. 
    Plus c’est gros, plus ça passe, c’est bien connu. 
    L’effet de subjugation est total et instantané. 
    Le bobo qui envisageait de voter Yannick Jadot, du coup, revoit son intention de vote. 
    Certes, la tête de liste écolo a bien dit que cette proposition n’était pas sérieuse, mais si elle suffit à lui piquer ne serait-ce que 1 ou 2 %, peu importe. 
    Ça fait cher le pourcent, mais tant pis. 
    Quand y faut, y faut. 
    Mille milliards ? 
    Ça fait combien de trottinettes électriques, tout ça ? 
    Faites le calcul vous-même : beaucoup. 
    Même les migrants, qu’on devra accueillir, de gré ou de force – car, comme l’a dit Mme Belloubet, « il ne faut pas se leurrer », l’immigration, « on ne l’arrêtera pas » -, pourront s’en voir offrir une à leur arrivée sur le sol européen. 
    Avec les compliments de la maison et la bénédiction papale en petit plus commercial.
    Mille milliards ? 
    Sur cinq ans, cela fait, en moyenne, 200 milliards par an. 
    Histoire d’avoir un ordre d’idée, savez-vous de combien est le budget annuel de l’Union européenne ? 
    160 milliards d’euros. 
    On attend donc avec impatience les explications forcément très techno de Mme Loiseau « qui connaît bien ses dossiers », selon l’expression désormais consacrée et qui pose sa femme ou son homme. 
    Où compte-t-elle donc trouver tout cet argent ? 
    Mille milliards, ça ne se trouve pas sous les sabots d’un cheval, même d’un cheval tirant la roulotte de la « romanichelle de l’ENA ». 
    Une augmentation de la contribution des États ? 
    En 2019, celle de la France dépasse déjà les 23 milliards d’euros (soit 1,6 milliard de plus par rapport à 2018 : quand on aime l’Europe, on compte pas !) pour un retour évalué à 9 ou 10 milliards. 

    L’emprunt, donc la dette, c’est-à-dire les impôts de nos enfants ?

    Mille milliards de quoi ? De mille sabord(ages) ? 

    Georges Michel

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  • Emmanuel Macron tente de sauver une liste en perdition

     


    Ainsi donc, Narcisse-Jupiter qui prétendait mener les Français vers le Nouveau Monde, qui se voulait le champion du progressisme européen, se retrouve dans l’étroit champ du combat des partis, à fixer, pour enjeu aux élections européennes, de ne pas offrir la première place au Rassemblement national.
    Il clame qu’il va y mettre toute son énergie. 

    C’est pathétique et dérisoire sur tous les plans. 
    Un président de la République ne doit pas laisser choir sa fonction au niveau des guerres partisanes. C’est vrai que lui n’a jamais été que l’homme de son parti, une formation artificielle, dénuée de racines, mais disposant de moyens étonnants dès sa création en raison de dons généreux. 
    Une formation narcissique, dont les initiales reprennent celle du « chef », sans que les courtisans médiatiques n’en soulignent le ridicule.

    Pour ceux qui avaient confondu le brio superficiel et l’arrogance d’E.M. avec de l’intelligence, c’est une autre déception. 

    Voilà des lustres que la gauche, et ce qu’on appelle « la droite », suiveuse selon son habitude, brandissent l’épouvantail du Front – devenu Rassemblement – national. 
    Voilà des années que les Français sont appelés à voter contre lui plutôt que pour un homme ou des idées. 
    Voilà, pourtant, qu’il progresse au point de devenir le parti qui, même isolé, récolte le plus de voix sans avoir un nombre de députés en proportion ni s’être vu confier la présidence d’une région. 
    Le « génial conducteur » en est donc acculé à sortir le vieil anathème pour tenter de sauver un parti en perdition, tandis que celle qui conduit la liste « présidentielle », dont les espérances se situent à 1 Français sur 5 des 40 % qui comptent voter, vole lourdement d’une gaffe à une autre, de blitzkrieg en D-Day.
    Mesure-t-on la chute de celui qui appelait l’Europe progressiste à se rallier à son panache, déjà quelque peu rabougri, et qui se trouve renvoyé dans ses buts pour éviter de se prendre une dérouillée à domicile ? 
    Elle est sévère et même vertigineuse, tant les résultats ne sont pas au rendez-vous alors que la plupart des pays européens tirent un bénéfice plus évident, en matière de chômage, par exemple, d’un contexte mondial favorable. 
    Qui plus est, la méthode est insoutenable.
    Monseigneur distribue sa manne au bon peuple selon son bon vouloir. 
    Mais les Français ne sont pas idiots. 
    Ils ont compris que l’occupant de l’Élysée le croyait et parfois leur disait. 
    Le technocrate joue avec les clefs de l’économie comme un enfant avec un jouet tout neuf. 
    Mais ce jeu ne soulève pas la confiance et l’espoir, qui sont les ressorts d’un redressement économique. 
    Les Français savent que toutes les mises se font avec leur argent, celui de leurs impôts, et que, dans le meilleur des cas, on ne leur rend que ce qu’on leur a pris. 
    La gesticulation sur l’argent des retraités est psychologiquement insupportable. 
    Elle consiste à user, selon le bon plaisir d’un jeune homme, bien loin d’avoir fait ses preuves, de ce qui, dans l’esprit des pensionnés, est le juste retour d’une vie de travail, le respect d’un contrat moral qu’ils n’acceptent pas de voir déchirer. 
    Quant à l’alibi écolo pour justifier l’augmentation des taxes, il y a longtemps que le bobard est éventé.
    Les élections européennes sont proportionnelles. 
    Elles envoient au « Parlement » européen des députés qui auront à jouer un rôle pour briser ou maintenir l’engrenage mondialiste de destruction des souverainetés nationales, pour briser ou maintenir une mécanique de moins en moins démocratique parce qu’elle retire aux peuples le pouvoir de décider de leur avenir, pour confier celui-ci à une technocratie dominée par des lobbies, et insoucieuse de maintenir l’identité culturelle des peuples européens, une technocratie qui veut seulement des travailleurs au rabais. 
    Ce débat-là est le seul qui vaille, et c’est ainsi qu’il faut le poser. 

    Christian Vanneste

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