• « Le gros problème est que les gens profitent de la gratuité des soins : de nombreux cas n’ont rien d’urgent ! »

    Les urgences des hôpitaux français sont en danger et le personnel épuisé crie au secours et descend dans la rue : comment en est-on arrivé là ? Boulevard Voltaire a tendu le micro à un étudiant en médecine qui vient d’y faire trois mois de stage.


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  • Commémoration du 6 juin 1944 : Macron outrage 10 millions de soldats russes tombés face aux nazis

      
      François Hollande n’a pas été un grand président de la République.
    Loin s’en faut. Pourtant, celui qui fut affublé des sobriquets les plus divers, et parfois les plus cruels et irrespectueux, tels « Flanby » par Montebourg, « capitaine de pédalo » par Mélenchon,ou bien encore « Pépère » par son entourage à l’Élysée, a été capable, en de très rares occasions il est vrai, de faire preuve d’un certain panache.

    Tel fut le cas lors des célébrations du 70e anniversaire du débarquement allié en Normandie, en 2014, pour lesquelles il invita, aux côtés des chefs d’État occidentaux, le président de la Russie Vladimir Poutine. 
    Beaucoup, surtout en France, lui reprochèrent cette décision. 
    Notamment le toujours haineux et sectaire BHL. 
    Mais Hollande tint bon. 
    Il savait, en effet, lui, quel avait été le rôle déterminant de la Russie pendant la Seconde Guerre mondiale, et que sans le sacrifice de millions de soldats russes sur le front de l’Est, jamais le débarquement allié n’aurait pu réussir. 
    L’issue de ce conflit mondial en eût sans doute été profondément changée.
    Ainsi, il y a cinq ans, en invitant Vladimir Poutine en France, Hollande a-t-il voulu en tout premier lieu rendre hommage au 21 millions de citoyens soviétiques, civils et militaires confondus, tombés pour avoir lutté contre la barbarie nazie. 
    En agissant de la sorte, le Président français démontrait que pour les grandes occasions qui jalonnent l’histoire des peuples, il est bon de savoir dépasser les antagonismes politiques pour célébrer la mémoire de ceux qui, autant que les Alliés occidentaux, contribuèrent, directement ou indirectement, à l’édification de notre pays.
    Beaucoup auraient aimé que cette année, pour le 75e anniversaire de cet événement historique majeur, Macron se montre capable d’autant de courage politique et de magnanimité. 
    Qu’à l’image d’un de Gaulle, dont il ne manque pas de se prévaloir parfois, il se hisse à la hauteur d’un grand chef d’État et impose, pour la grandeur de la France, sa vision de l’Histoire. 
    Une vision non polluée par les intérêts politico-mercantiles et bassement intéressés qui caractérisent trop souvent, aujourd’hui, les relations internationales. 
    Faire preuve de cette hauteur de vue n’aurait, bien entendu, rien enlevé au sacrifice des soldats américains, anglais, canadiens et de tous ceux qui sont tombés au champ d’honneur lors de cette vaste et unique opération militaire. 
    Cela aurait même permis, grâce au souvenir du sacrifice commun dont ils furent capables, il y trois quarts de siècle, de rapprocher des pays qui ont parfois pris, depuis, des chemins différents.
    Ce faux pas de Macron, que d’aucuns pourraient qualifier de faute politique historique, vient malheureusement prouver une nouvelle fois que n’a pas le sens de l’Histoire qui veut. 
    Que l’on peut avoir fait les plus grandes écoles, avoir eu les meilleurs maîtres et occuper les plus hautes fonctions mais tout ignorer de ce qui fait la grandeur d’un pays comme la France. 
    À force de tout réduire à ce qui est monnayable, on finit par perdre de vue l’essentiel : la fierté d’appartenir à une grande nation. 
    Ainsi, au moment où il allait, aux côtés de Donald Trump et de nombreux chefs d’État et de gouvernement, célébrer cette bataille de Normandie qui fut le début de la reconquête de la France, Emmanuel Macron aurait pu se souvenir de cette phrase prononcée à Londres, le 1er mars 1941, par celui qui n’était alors que le chef de la France libre : « Il y a un pacte vingt fois séculaire entre la grandeur de la France et la liberté du monde. » 
    Sans doute cette réalité l’eût-elle éclairé dans la dimension qu’il convenait, en 2019, de donner à ces commémorations. 

    Olivier Damien

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  • Message d'une soignante à macron au sujet de ceux qui méritent la Légion d'Honneur

    ♠ąş đε þïҩųε♠ #Matricule1765@imhotep1338
     
     

    Message d une soignante à @EmmanuelMacron en réponse à la légion d'honneur remise aux joueurs de l équipe de France.

     
    219 personnes parlent à ce sujet
     

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  • Braquage à visage découvert d’une bijouterie de l’avenue Franklin-Roosevelt : 200 000€ de bijoux dérobés

    (MàJ: video tournée dans le magasin)

    François de souche
    Pierre Sautarel@FrDesouche
     
     

    Braquage bijouterie

     
    735 personnes parlent à ce sujet
     

    2 individus, dont l’un à visage découvert, ont braqué une bijouterie de l’avenue Franklin-Roosevelt ce matin à Paris. Les auteurs ont pris la fuite avec 200.000€ de bijoux selon Le Parisien.


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  • Douai (59): Thomas Dubois, ancien militaire, père de 3 enfants, tué à coups de pierre pour quelques centaines d’euros, cinq personnes présentées au juge

     

    Trois hommes et deux femmes sont sur le point d’être présentés au juge d’instruction dans le cadre de l’enquête sur la mort de Thomas Dubois, dont le corps avait été retrouvé inanimé sur une friche de Douai samedi 1er juin, a-t-on appris ce mercredi par le parquet de Douai.

    Six personnes âgées de 20 à 30 ans – constituant trois couples – avaient été interpellées lundi après-midi par la police judiciaire de Lille, sur une commission rogatoire du juge d’instruction

    […]

    « ils ont rencontré la victime qui se promenait dans le secteur, ont sympathisé et au cours de la soirée, les trois hommes ont commis des violences sur la victime dans le but de lui prendre son argent« . Jusqu’à tuer le Douaisien « en se servant d’une lourde pierre« .

    […]

    Thomas Dubois, 38 ans et père de trois enfants, était un ancien caporal-chef du premier R.A.M.A (Régiment d’artillerie de marine). Ses funérailles auront lieu samedi à Dorignies-lez-Douai.

    France 3

    Par François de souche


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