• Marion Maréchal interdite au MEDEF : quelques heures auront suffi à faire plier Geoffroy Roux de Bézieux…



    Pour les Français qui doutaient encore de ce que notre pays est en train de sombrer dans une dictature des idées, l’interdiction faite au MEDEF par le parti présidentiel La République en marche de recevoir Marion Maréchal à l’occasion de ses prochaines universités d’été vient d’en apporter la preuve flagrante.
    L’ancienne députée de Vaucluse, actuellement en retrait de la vie politique, faisait en effet partie de ces personnalités de la société civile susceptibles d’intervenir lors de la prochaine réunion annuelle des patrons de France. 

    Mais c’était sans compter sur le sectarisme de certains élus du parti d’Emmanuel Macron, dont le président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, Gilles Le Gendre, qui ont aussitôt fait part de leur désapprobation et annoncé qu’ils boycotteraient, au besoin, la réunion patronale programmée pour le mois de septembre. 
    Face à cette levée de boucliers et aux menaces de boycott, Geoffroy Roux de Bézieux, le patron des patrons, a fini par annoncer qu’il renonçait à inviter la petite-fille du fondateur du Front national.
    Le bras de fer entre le président du MEDEF et le parti présidentiel n’aura donc duré que ce que durent les roses. 
    Quelques heures auront suffi pour qu’une poignée de politiciens peu soucieux de démocratie imposent sa conduite au syndicat des patrons français, et le silence à une ancienne élue du peuple.
    Il faut reconnaître que le combat ne s’effectuait pas à armes égales. 
    En effet, que pesait la personne de Marion Maréchal face aux avantages que peut proposer le pouvoir en place au MEDEF ? Rien.
    Il faut savoir que le mouvement patronal, au même titre que les syndicats de salariés et d’autres organisations d’employeurs, reçoit chaque année des subventions grâce au fonds pour le financement du dialogue social. 
    Si la CGT prend la part du lion, avec près de 19 millions d’euros, le MEDEF a perçu pour sa part, en 2018, plus de 12 millions d’euros
    Il reçoit également des fonds dans le cadre de conventions avec les organismes paritaires comme la CNAF, la CNAM ou l’UNEDIC. 
    C’est ainsi qu’à ce titre, il a obtenu près de 4 millions d’euros l’an passé. 
    On le voit donc, les enjeux pour l’organisation patronale sont énormes, et les capacités de nuisance du pouvoir en place à son égard, tout autant.
    Mais là ne s’arrêtent pas les éventuels moyens de pression. 
    Ainsi, nos patrons, qui sont friands d’honneurs et de distinctions, reçoivent-ils chaque année un lot important de Légions d’honneur et de croix de l’ordre national du Mérite. 
    Transgresser l’interdiction faite par les représentants zélés du pouvoir n’aurait certainement pas été sans conséquences sur ce qui, pour beaucoup, peut apparaître comme insignifiant, mais qui, dans certains milieux, constitue l’alpha et l’oméga de la réussite sociale et de la respectabilité..

    Voilà comment, en France, pays des droits de l’homme, patrie de Voltaire, Rousseau et Hugo, la liberté de parole est désormais monopolisée par une caste politique au détriment de tous ceux et toutes celles qui veulent et souhaitent s’exprimer au nom de la liberté d’opinion. 

    Après la répression féroce des manifestations des gilets jaunes, dénoncée par de nombreuses instances internationales, après la mainmise sur une grande partie de la presse nationale, voici venu le temps des pressions et des mesures d’intimidation sur nos dirigeants syndicaux. 

    Dés lors, que reste-t-il de la France des Lumières ? 

    Que reste-t-il du sacrifice de tous ces Français, résistants de toutes les époques, qui sont morts au nom de la liberté ? 

    Plus grand-chose, en vérité. 

    Olivier Damien

    votre commentaire
  • Var : depuis 30 ans, des fonctionnaires "fantômes" continuent d'être payés

    Var : depuis 30 ans, des fonctionnaires "fantômes" continuent d'être payés 
      
    ©Place à Cogolin, Google street view
               
    6Medias, publié le samedi 29 juin 2019 
                       
    Une trentaine de fonctionnaires territoriaux continuent de toucher un salaire alors qu'ils n'ont pas retrouvé une affectation. 

    C'est une fraude qui continue de durer.Var Matin révèle que depuis maintenant 30 ans, des fonctionnaires de la région n'ont cessé de contourner le système. 
    Dans un rapport alarmant, la chambre régionale des comptes Provence-Alpes-Côte d'Azur rappelle que « le centre de gestion du Var rémunère toujours une trentaine d'agents privés d'emploi. » 
    Dans sa ligne de mire, ceux qui proviennent notamment de Cogolin, Toulon ou même La Seyne-sur-Mer. 
    Ils parviennent à exploiter sans scrupules le système actuel.

    Le rapport les qualifie de fonctionnaires « fantômes »
    Ils sont officiellement considérés comme « en position d'activité » sauf que beaucoup ne sont plus actifs. 
    Dans un premier temps, ils étaient employés au centre de gestion de la fonction publique. 
    Elle les payait logiquement mais la dépense était prise en charge par la commune à laquelle ils étaient rattachés. 
    Un entre-deux administratif qui a permis à certains de continuer à toucher un salaire.. alors même qu'ils n'étaient plus affectés à aucun centre de gestion. 
    Une situation rocambolesque qui dure depuis 1989 pour certains.
    Une manière de progresser professionnellement

     Un homme a profité d'être payé pendant huit ans pour devenir entre temps « gérant d'une société commerciale dans les Hautes-Alpes »
    Outre la fraude volontaire de nombreux agents, d'autres ont profité de ce flou pour tenter de s'élever dans la hiérarchie. 
    La chambre régionale confirme que certains « ont pu bénéficier d'avancements d'échelons et de reclassements statutaires. » 
    L'un d'entre eux a même tenté d'obtenir un grade supérieur car il s'estimait « désavantagé dans le déroulement de sa carrière par rapport aux anciens de ses collègues » qui ont, eux, obtenu gain de cause.

    Cette faille dans le système a été exploitée jusqu'au bout. 
    Les fonctionnaires ont trouvé le moyen d'obtenir la meilleure retraite possible. 
    Une partie « importante (d'entre eux) ne demande pas leur admission à la retraite dès l'âge légal de départ, mais attend bien souvent la limite d'âge, restant de ce fait à charge encore plus longtemps pour le centre de gestion. »

    Face à ce surplus de dépenses, la chambre régionale des comptes tente de trouver des solutions. 
    Une loi datant de 2016 doit permettre une dégressivité des rémunérations dans ces situations. 

    Cependant, les centres de gestion n'inciteraient que très peu au reclassement des intéressés « du fait de la prise en charge de l'essentiel de la dépense par la collectivité d'origine. » 

    Au total, le coût pour les finances publiques locales s'élève environ à « plus d'un million d'euros par an. »
     

    actu.orange

    votre commentaire
  • Burkini : Anne Hidalgo ne parvient pas à noyer le poisson

      

     La gauche a résolu le problème du burkini dans les piscines : il y a plus important en France.
    Sujet suivant, s’il vous plaît. Le porc dans les cantines ? 
    Il y a plus important. Et puis ? 
    Les prières de rue ? 
    Il y a plus grave. Et puis ? Je dois mettre une djellaba et voiler ma femme ? Mais bien entendu. Si je ne veux pas, vous me coupez la tête ? 
    Mais je vous comprends. Puis-je vous offrir un sabre ?

    Alors qu’elle recevait son ami Sadiq Khan, maire de Londres, sous la halle Freyssinet, rebaptisée « Station F, incubateur de start-up », Anne Hidalgo s’est livrée à un exercice de relativisation de toute beauté à propos du maillot de bain islamique intégral fermé à double tour devant huissier.
    L’aspect dérisoire de l’affaire fut confirmé devant Sadiq en ces termes : « Il y a d’autres choses beaucoup plus importantes en France. » 
    Alors que l’assistance l’attendait sur la canicule, le réchauffement des trottinettes et bien d’autres sujets brûlants, le maire de Paris s’en fut désigner les thèmes capitaux sur lesquels se concentrer énormément : « Je pense que notamment autour de l’éducation, autour de la cohésion sociale, autour du vivre ensemble… » 
    Premier bug sous la halle dédiée aux start-up du numérique. 
    Le disque dur d’Anne Hidalgo ne voit aucun rapport entre l’irruption d’islamistes dans une piscine et le « vivre ensemble ». 
    Faute d’informaticien présent dans la salle pour rechercher l’origine de la panne, madame Bisounours continua à dérouler son argumentaire : « Autour du vivre ensemble, autour du droit des femmes, il y a encore beaucoup de choses à faire, avant de se jeter tête baissée dans un sujet qui ne laissera que des fractures. »
    Sous le verbiage, la plage. 
    Ses burkinis et ses absences de fractures pour les utilisatrices. 
    Après tout, les autres ne sont-elles pas impudiques ? 
    L’invocation du dérisoire est le prétexte pour ne pas prendre position. 
    Mue, sans doute, par une volonté de rester sur le thème aquatique, Anne Hidalgo s’évertue à noyer le poisson. 
    Mais entre deux plongées, l’animal confie ce que tout le monde avait déjà deviné. 
    Madame le maire est pour l’autorisation du burkini dans les piscines. 
    Sinon, fracture ! Crac ! Et qui c’est qui va plâtrer ? Eh ben, c’est la gauche. 
    Toujours de permanence aux urgences du vivre ensemble. Alors, merci bien.
    Aux piscines contraintes à des mesures d’hygiène, la gauche préfère la nage en eaux troubles. Bermuda interdit : pas fracture. 
    Burkini : patatras ! Et bon courage au personnel pour justifier ce règlement ubuesque. 
    L’utilisateur s’efforcera d’expliquer qu’il porte un bermuda islamique. 
    Que son épouse ne tolère pas qu’il montre ses jambes au-dessus du genou.

    Zineb El Rhazoui rappelle que « burqini » doit s’écrire avec un Q et non un K, car le mot vient de « burqa » et non de « bikini ». 

    Il était impossible de trouver une lettre plus adaptée au niveau de la revendication. 

    Jany Leroy

    votre commentaire
  • Violences policières : une plainte collective engagée contre Castaner

    Violences policières : une plainte collective engagée contre Castaner
    Author: Pierrick Tillet 
    Une « class action » (plainte collective) vient d’être engagée devant la justice contre le ministre Christophe Castaner à propos de violences policières inacceptables commises sur les Gilets jaunes et contre tous ceux qui font mine de vouloir contester un ordre établi insupportable.

    Chacun d’entre nous peut s’y joindre et j’invite le maximum de personnes à le faire en remplissant le formulaire en lien avec copie de sa carte d’identité en PJ (moi, c’est fait).
     
    Vidéo intégrée
    LaVéritéVaincra#ONLR#StopMacron✊@D_MoS_Kr_A_Tos
     
     

    <img class="Emoji Emoji--forText" title="Clap de cinéma" src="http://ekladata.com/Q_UyRKtBbS1alSD34n0K95-D4pE.png" alt="

     

     

     

    Formulaire de dépôt – plainte collective nationale

    En remplissant ce formulaire, je donne mandat à Maître David Libeskind (Robes noires et Gilets jaunes) pour déposer plainte auprès du Défenseur des droits et apporter des éléments complémentaires pour toute initiative déjà enclenchée auprès de la Cour pénale internationale (CPI). À titre non exhaustif les faits reprochés sont :

    – RIO des personnels et plaques d’immatriculations des véhicules de police masqués sur certains lieux de manifestations des citoyens.
    – Mensonges et fake-news répétées à l’encontre du mouvement des Gilets jaunes.
    – Violences policières (coups et gestes dégradants) et provocations perpétuelles sur des citoyens exerçant leur droit constitutionnel à manifester.
    – Utilisations d’armes de guerre et de gaz empoisonnants la santé des citoyens et des forces de l’ordre.
    – Vols en réunion de la part des forces de l’ordre de matériels et objets personnels nécessaires pour exercer leur droit à manifester (gilets jaunes, écharpes et foulards pour se protéger des gaz, bouteilles d’eau, matériels médicaux des Street-Médics, etc…).
    – Mise en place de restriction de circulations et fermetures de lignes de transports en communs.
    – Fouilles et mises en gardes à vue de citoyens arbitraires sans fondements, contraires à l’Éthique et à la Déontologie, restriction des libertés individuelles dans les mises en place de gardes à vue à ciel ouvert. Interpellations préventives.

    Dans ce formulaire je joins le fichier de la copie de ma carte d’identité pour officialiser ma plainte (le nom de la pièce d’identité doit être le même que le nom saisi dans ce formulaire).

    Merci de votre participation – On ne lâche rien !!


    votre commentaire
  • Vous avez voulu "INTÉGRATION"Posté par:Pieds Noirs 9A..

    Vous avez voulu "INTÉGRATION"

    "Le VIVRE ENSEMBLE" depuis des années ...

    Maintenant faudra en payer les frais ...

     
         
     
    Puis tous ses collabos hommes politiques et médiatiques 
     
    l'enrichissement culturel Voila ou nous en sommes

    votre commentaire